Et Dieu créa la flemme
Ben là, franchement, ouais. Grosse flemme. Du genre à préférer très clairement glandouiller ailleurs que devant un ordinateur, tu vois ?
Alors du coup, je me suis dit que c’est toi, lecteur, qui allait faire un peu l’animation aujourd’hui. Je sais, je sais, ça fait vraiment feignasse puissance douze de faire ça. Mais après tout, je suis une feignasse. Et puis comme ça, ça ressemblera parfaitement à un post digne du 31 juillet. Même pas mal.
Bon, évidemment, pour ça, faudrait pas que toi et tous tes petits copinous se soient barrés en douce à la plage comme des traîtres, hein ?
Donc aujourd’hui, c’est journée portes ouvertes : t’as le droit de dire tout ce que tu veux à propos de mon blogounet, tant que c’est un chouïa argumenté. Remarques, critiques, suggestions…
T’as le droit, par exemple, de me donner des idées de futurs billets, parce qu’on va pas se voiler la face, y’a quand même des jours où franchement, je me demande bien ce que je vais pouvoir te raconter ici. (T’inquiète, après, je trouve toujours, je suis super forte, comme nana. Mais néanmoins, une petite liste d’idées potentielles, je suis pas contre, tu vois ?)
T’as le droit, aussi, de me dire que c’est complètement crétin d’avoir mis des trucs qui ressemblent à des Mojitos dans ma bannière, alors que mon blog s’appelle GinFizz. Et t’aurais raison, en même temps. (Mais je te répondrais que vu que j’ai déjà mis trois plombes à pondre cette bannière-là, va falloir être patient pour attendre la prochaine. J’ai d’autres priorités sur ma to-do list que d’apprendre Photoshop par cœur, mon biquet…)
Juste deux petits bémols, parce que quand même, je suis de bonne humeur, mais que je tiens à le rester :
- Les critiques, j’accepte, of course. Mais uniquement avec plan argumentaire détaillé en trois parties (thèse/antithèse/synthèse), citation d’illustration des propos et indication des sources et de la bibliographie en fin de page. Nan parce que sinon, c’est trop facile, quoi…
- Les insultes gratuites et nases, comme j’ai pu le voir dernièrement… ben là, bizarrement, je suis légèrement moins tolérante. Sérieux, si t’as envie de te défouler les nerfs sur ton clavier, écris plutôt à ton centre des impôts, ton ex qui t’a largué(e) avec la bombasse du coin, ou ton coiffeur qui a foiré son coup. A la limite, copie-nous ton truc dans les commentaires, ça nous fera rire aussi. Mais basta.
Si tu me cherches, je suis juste dans le hamac, en haut à droite, là. Mais t’inquiète, j’ai un peu de temps libre aujourd’hui, je te surveille du coin de l’œil...