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Gin Fizz
31 juillet 2007

Et Dieu créa la flemme

hamac_pieBen là, franchement, ouais. Grosse flemme. Du genre à préférer très clairement glandouiller ailleurs que devant un ordinateur, tu vois ?
Alors du coup, je me suis dit que c’est toi, lecteur, qui allait faire un peu l’animation aujourd’hui. Je sais, je sais, ça fait vraiment feignasse puissance douze de faire ça. Mais après tout, je suis une feignasse. Et puis comme ça, ça ressemblera parfaitement à un post digne du 31 juillet. Même pas mal.
Bon, évidemment, pour ça, faudrait pas que toi et tous tes petits copinous se soient barrés en douce à la plage comme des traîtres, hein ?

Donc aujourd’hui, c’est journée portes ouvertes : t’as le droit de dire tout ce que tu veux à propos de mon blogounet, tant que c’est un chouïa argumenté. Remarques, critiques, suggestions…

T’as le droit, par exemple, de me donner des idées de futurs billets, parce qu’on va pas se voiler la face, y’a quand même des jours où franchement, je me demande bien ce que je vais pouvoir te raconter ici. (T’inquiète, après, je trouve toujours, je suis super forte, comme nana. Mais néanmoins, une petite liste d’idées potentielles, je suis pas contre, tu vois ?)

T’as le droit, aussi, de me dire que c’est complètement crétin d’avoir mis des trucs qui ressemblent à des Mojitos dans ma bannière, alors que mon blog s’appelle GinFizz. Et t’aurais raison, en même temps. (Mais je te répondrais que vu que j’ai déjà mis trois plombes à pondre cette bannière-là, va falloir être patient pour attendre la prochaine. J’ai d’autres priorités sur ma to-do list que d’apprendre Photoshop par cœur, mon biquet…)

Juste deux petits bémols, parce que quand même, je suis de bonne humeur, mais que je tiens à le rester :
-
Les critiques, j’accepte, of course. Mais uniquement avec plan argumentaire détaillé en trois parties (thèse/antithèse/synthèse), citation d’illustration des propos et indication des sources et de la bibliographie en fin de page. Nan parce que sinon, c’est trop facile, quoi…
-
Les insultes gratuites et nases, comme j’ai pu le voir dernièrement… ben là, bizarrement, je suis légèrement moins tolérante. Sérieux, si t’as envie de te défouler les nerfs sur ton clavier, écris plutôt à ton centre des impôts, ton ex qui t’a largué(e) avec la bombasse du coin, ou ton coiffeur qui a foiré son coup. A la limite, copie-nous ton truc dans les commentaires, ça nous fera rire aussi. Mais basta.

Si tu me cherches, je suis juste dans le hamac, en haut à droite, là. Mais t’inquiète, j’ai un peu de temps libre aujourd’hui, je te surveille du coin de l’œil...

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12 juillet 2007

Desperate Whitehouse

* Note avec des cadeaux dedans
** Mais note très longue (on n’a rien sans rien, en même temps)

canderel… Oui, bon, forcément, à première vue, tu peux pas piger le génialissime jeu de mot de mon titre. Voire même, à première vue, tu flippes légèrement en te disant « merde, la GinFizz, elle est en train de nous péter un câble, elle se met à nous causer politique de Bush, course à la Maison Blanche et tout le bordel ».
Mais naaaaan, attends, pars pas, j’t’explique. Tu vas voir, en fait, c’est hyper recherché, mon truc. Même pas tu vas en revenir, j’crois bien.

Figure-toi, l’ami, que ta copinette la blogueuse dont tu lis assidûment les billets jour après jour (hé ? t’as un problème avec mon argumentation, là ? bon, j’préfère…) a été officiellement nommée "Ambassadrice Canderel". Ouais monsieur, rien que ça. Pffiouuu, c’est ma mère qui va être contente. Même pas besoin de passer par la case mariage, bagouze et confettis, et déjà un titre honorifique. La classe.
« Et ça veut dire quoi, madame, ambassadrice ? ». Ca veut dire, mis à part le fait que mes soirées sont toujours un succès quand j’achète des tonneaux entiers de Ferrero Rochers (ce qui est quand même con, vu que j’aime pas ça) que, en gros, je vais avoir l’infime honneur, durant les mois qui viennent, de te faire découvrir des tas de produits Canderel, et te faire gagner des beaux p’tits cadeaux, à condition que tu te bouges le boule.

Hé ouais, mon gars, hé ouais. Autant y’en a qui raflent des téléphones portables, des appareils photos numériques ou des ipods Nike-je-sais-plus-quoi, autant moi, j’ai droit à toute la gamme Canderel en avant-prem’s. Carrément, quoi. Alors, je sais. T’es en train de te dire « pffff, c’est trop clair, elle a couché ». Ben même pas. Ou alors si, mais de toute façon, je ne parlerai qu’en présence de mon avocat.

Mais bref, revenons à nos poneys, parce que je sens bien que là, on s’égare dangereusement, et que j’en ai déjà perdu deux trois en cours de route.

L’équipe Canderel a donc organisé il y a quelques temps un petit cocktail rassemblant les diverses "ambassadrices" (rhhhha, j’adore, j’me la pète trop) dans le superbe cadre de la Maison Blanche, Avenue Montaigne, à Paris. Alors, déjà, tu notes : premier effet kiss cool de mon super titre qui déchire : "Maison Blanche"/"Whitehouse"… Tu saisis ? C’est fort, non ?

But de l’opé : ben primo, faire connaissance, on n’est pas des chiens, quoi. Et deuz’, nous montrer et nous filer les produits dont j’vais te causer dans pas longtemps (oh la la, mais quel suspens, je n’y tiens plus) et les petits cadeaux à te faire gagner via un super concours où tu vas pouvoir déchaîner ta créativité. Et les cadeaux, tu sais pas quoi, ils sont sur le thème de… "Desperate Housewive".
Tadaaaaaam, deuxième effet kiss cool : "Desperate Housewive"/"Desperate Whitehouse". Capiche ? Ouais, je sais, ça tue. Je suis trop forte. Allez, pendant que tu reprends tes esprits, j’en profite pour te parler des produits, ok ?

frambD’abord, on a les DélicéO. Kézako que ce machin, tu vas me dire. Des sticks de poudre aromatisée à diluer dans l’eau (ou le lait, ou la vodka… tu fais bien comme tu veux, après tout), qui lui donnent un petit goût sucré/fruité avec quasi zéro calories. En gros, quand t’es une nana qui doit s’ingurgiter son litron de flotte par jour pour éliminer les toxines, ben c’est pas désagréable de remplacer l’eau de la fontaine du bureau par un truc au goût un peu plus sexy-miam, tu vois ? Et c’est légèrement plus light que le Fanta orange tout chimique, aussi. Ca existe pour le moment en trois parfums : menthe fraîche (j’aime pas trop), citron-citron vert (pas mal du tout) et framboise-cassis (mon préféré).
Boite_Vanilla_40_SticksOn a de l’autre côté les sucres aromatisés, qui servent à sucrer (c’est fou, quand même) en ajoutant une touche gustative insolite : une pointe de vanille, ou un goût caramélisé. Super pratique pour « funkyser » un yaourt nature, un café ou un chocolat chaud.

Mais le must, c’est de détourner ces produits de leur utilisation d’origine pour leur en trouver de nouvelles. Et c’est justement là qu’intervient ze famous concours : 1001 façons d’utiliser les sticks Canderel.
Alors, à ton avis ? Qu’est-ce qu’on peut en faire d’autres, de ces sticks Canderel ?
Allez, je t’aide un coup, pour te donner quelques pistes : saupoudrer un Canderel caramel sur une tranche d’ananas frais, mélanger un DélicéO menthe à une salade d’agrumes, ajouter un DélicéO citron à la cuisson d’un poisson au lait de coco. Quoi ? Tu veux un exemple plus concret ? Rrrrhooo, faut vraiment te mâcher le boulot, hein. Bon, _le_vanill_eben, disons que tu rassembles dans un shaker un demi yaourt nature, un peu de nectar de mangue et du jus d’ananas, un stick de Canderel Vanilla. Hé ben en un claquement de doigt, t’obtiens un truc frais et coloré qui ressemble à la photo, là, sur le côté. Ca a de la gueule, non ? Bon, évidemment, ça nécessite d’avoir un shaker. Evidemment…

Hop, à ton tour, trouve-moi des idées de recettes qui pourraient faire intervenir un petit machin Canderel, là. Soit les délicéO, soit les sucres aromatisés, soit les deux ensembles même. T’as le droit à tout : cocktails avec alcool, sans alcool, recettes aux fruits, aux légumes, à base de pâtes, de viande, de poisson… tout !
Juste deux limites : 1- si ta recette me donne presque envie de vomir rien qu’à sa lecture, c’est pas bon signe. 2- le premier qui me file la recette du GinFizz fabriqué à base de DélicéO citron-citron vert prend perpet’ direct. Faut pas déconner avec ces choses-là, t’entends ?

Tu peux répondre dans les commentaires ici, ou bien par mail en cliquant sur "contacter l’auteur" (que je vais bientôt changer en "contacter l’ambassadrice", parce que ça tape plus, quand même, nan ?). Après, si tu veux vraiment gagner, tu peux aussi m’envoyer un gros chèque par la poste (ou des macarons) et je verrai ce que je peux faire, officieusement.

pocket_DHLes deux plus créatifs recevront le coffret des quatre Pockets Collector « Desperate Housewive ». (Oui, bon, toutes celles qui ont déjà reçu le buzz kit avec ces fameux distributeurs, c’est pas la peine de faire les crâneuses, hein. Ca va.). Et puis nan, c’est pas la peine non plus de penser « m’en fous, je l’achèterai direct au Monop’ », parce que c’est pas du tout la même chose de recevoir un beau paquet dans sa boîte aux lettres.
Si besoin est, j’ai même de quoi récompenser un troisième artiste avec un petit quelque chose, mais j’dis pas quoi, ce serait trop facile.

Allez, zou, au boulot tout le monde. Je ramasse les copies dans dix minutes.

… Ok, pas dans dix minutes, parce que t’as de la chance, je pars en vacances la semaine prochaine, donc t’auras tout le temps de bosser pendant que moi, je serai à la playa, les doigts de pieds en éventail.
Ah ben non, pleure pas. Un peu de tenue devant une Ambassadrice, enfin, quoi, merde… :)

EDIT du 25 Juillet : And the winners are...  roulements de tambours...  réponse tout en bas des com' !!!  :)

9 juillet 2007

Fille perdue, cheveux fous

cheveux_1Hé dis donc. Plus d’un an que je vous raconte ma life, et je m’aperçois que je ne vous ai encore jamais parlé de mes cheveux. Je sais, c’est complètement dingue. On va réparer ça tout de suite d’ailleurs, parce que je ne supporte pas l’idée de vous laisser un jour de plus dans l’ignorance la plus complète à propos d’un sujet aussi primordial.

En même temps, rassurez-vous, ça va être assez vite fait : mes cheveux, c’est la cata. Voilà. Je crois qu’on peut difficilement faire plus clair.

Je pars évidemment du principe qu’on n’est jamais content de ce qu’on a, bien sûr. Je ne vois pas pourquoi je dérogerais à la règle, ça se saurait si j’étais une fille conciliante. Mais là, quand même, je trouve que cette pétasse de Dame Nature s’est particulièrement foutue de ma gueule.

Je voudrais qu’on m’explique pourquoi il existe dans ce monde des filles qui peuvent se laver les cheveux, les laisser sécher à l’air libre, et ressembler à un truc pas trop mal en finalement assez peu d’efforts, et pourquoi, moi, quand je le fais, je me retrouve avec sur la tête un truc qui ressemble au mieux à une ruche, au pire à la perruque de Louis XVI un lendemain de bal trop arrosé.

Je voudrais aussi qu’on m’explique, du coup, pourquoi ces petits cons de cheveux refusent de se laisser boucler en douceur – puisqu’apparemment, ils aiment bien ça – quand j’ai la patience de les "sèche-cheveuter" moi-même au diffuseur. Mais non. Là encore, rien à faire. Je n’arrive qu’à obtenir l’aspect de longs spaghettis vaguement ondulés. A défaut de ruche, je me tape les oreilles d’épagneul breton. Très bof.

Du coup, grands moyens, j’ai investi dans le sèche-cheveux lissant. Et ça, j’vous raconte pas, c’est franchement top. Ca prend trois quarts d’heure, c’est chiant comme la pluie à faire, mais ça fait un beau brushing, qui dure bien… pfffffiouuuu… dix bonnes minutes. Ouaiiiis, fête du slip ! Tout juste le temps d’admirer le boulot.  Après, zou, les pointes rebiquent et les boucles raboulent. Et on est super content de s’être niqué le bras à tenir son sèche-cheveux de quinze tonnes pendant tout ce temps, pour un truc qui ne ressemble une fois de plus à rien. Ou en tout cas, sûrement pas à ce pour quoi on s’est donné ce mal de chien.

L’autre problème, c’est que pendant les vacances, ça devient complètement crétin de se servir d’un sèche-cheveux. Déjà qu’on passe le tiers de sa journée à se tartiner de crème solaire, on ne va peut-être pas perdre encore plus de temps à se lisser les cheveux tous les soirs en rentrant de la plage, si ?
La solution miracle que tous les magazines féminins nous ont dégotées, c’est … tadaaaaam, attention les yeux… « optez pour le look surfeuse ». En gros, on laisse le sel de mer et le vent donner de la matière aux cheveux, et on fait genre on s’en fout de notre look, limite on reste crade des cheveux pendant deux trois jours, même.

Elles ont de l’humour, les rédactrices des magazines féminins, je trouve.

Parce que moi, j’ai testé, l’été dernier, leur bidule de surfeuse-truc, là. C’est vrai que c’est pas moche. De loin. Et sur les photos des magazines. Et puis le jour où on décide de passer au shampoing (parce que bon, faut bien, quand même), on maudit ces nanas sur les huit prochaines générations. Ce truc, ça vous colle un de ces paquets de nœuds à la con sur la tête, j’en chiale encore quand je repense à la douloureuse étape du démêlage. Même mes histoires de poux en colo, c’est de la rigolade, à côté.

Bref, tout ça pour en arriver à la conclusion implacable qu’on est le 9 juillet, que je pars en vacances dans quelques jours, et que comme vous l’aurez noté, j’ai des problèmes existentiels. Parfois, je comprends ce qui est passé par la tête de Britney Spears quand elle s’est rasée le crâne, j’vous jure…
Vous aussi, vous vous prenez la tête avec vos cheveux, comme ça ? (ooooh, quel jeu de mots somptueux,je m’épate toute seule).

3 juillet 2007

Sept ans de réflexion

septC’est à peu près le temps qu’il m’a fallu pour répondre au petit questionnaire qui tourne en ce moment sur la blogobulle : vous dévoiler sept choses que vous ne savez pas encore à propos de moi ou de mon blog.
J’vois pas trop bien qui ça va intéresser, mais puisqu’il faut –parait-il– jouer le jeu, et puisqu’on (elle, lui et elle) m’a refilé le bébé (merci les gens, mais vraiment, fallait pas hein…), je m’y colle à mon tour. Accrochez-vous, ça va être tout simplement fa-sci-nant (et le mot n’est pas trop fort).

Je ne suis partie qu’une seule fois en colo de vacances, et j’en ai gardé un souvenir amer, rapport à la méga honte que je me suis collée l’avant-dernier jour, lorsque tous les gamins subissent le contrôle anti-poux, avant d’être rendus à leurs parents. La fille qui m’a examiné les cheveux a poussé un cri en découvrant l’ampleur des dégâts, et m’a envoyée presto sous la douche avec leur shampooing anti-poux à l’odeur infecte. J’ai joué la niaise, évidemment, disant que j’avais sans doute attrapé ces saletés au poney-club. Mais je suis à peu près certaine d’avoir eu des poux avant même de mettre un pied dans le car, et d’avoir refilé mes saloperies à toute la bande. Hin hin, bien fait pour leurs gueules, z’avaient qu’à pas m’obliger à bouffer leur camembert tout dégueu alors que je déteste ça.

Je suis myope comme une taupe. Et encore. Une taupe, à côté de moi, elle se débrouille « fingers in the nose », hein. Evidemment, je carbure aux lentilles de contact depuis mes 14 ans, parce que bon, les lunettes triple foyer, question féminité, c’est pas en haut de la liste. Et je ne me supporte pas avec ces lunettes sur le nez. Affreux, affreux, affreux, je vous dis. Depuis peu, j’hésite. Opération ? Pas opération ? Ca me changerait la vie, quand même…

Pendant mes études, j’ai fait un stage dans une grande agence de pub où bossait F. Beigbeider à l’époque. Je pense que c’est depuis ce temps-là que je ne porte pas ce type en haute estime, parce qu’on ne peut pas dire que lui et ses petits copains les créatifs, c’était la classe incarnée. Blagues vaseuses, regards déshabilleurs à la moindre jupe qui passe, humour caca-prout-bite… tout ça sur fond de hurlements de « buuuuuuuuutttt » et autres «  alors, connard, qui c’est qu’a la plus grosse, hein ? » autour du baby foot. Un régal. Il a vachement bien fait de critiquer le milieu après, le mec…

Toujours dans cette agence de pub, il m’est arrivé deux ou trois fois de m’absenter de mon bureau pour aller… ahem… faire une sieste dans les toilettes. Comment ? Facile. On retapisse tout le sol avec du PQ pour pouvoir s’asseoir par terre (écolo zéro), on se calle bien contre la porte (fermée à clé, bien entendu), et on laisse venir le sommeil. Bon, j’en suis pas très fière, mais c’était ça, ou je m’écroulais de sommeil sur le bureau, ce qui n’aurait pas été du meilleur effet dans mon évaluation de stage, vous en conviendrez.

J’adore mon blog, et même si j’ai moins de temps pour m’en occuper dernièrement, je n’ai pas envie de le lâcher. Mais je prends souvent les choses trop à cœur en ce qui le concerne. Une baisse du nombre de visiteurs et c’est le drame. Moins de commentaires qu’avant, et je me demande si je n’écris pas de la merde. Un commentaire un peu sec ou qui ne comprend pas le second degré (quand même bien présent sur mon blog), et j’ai envie de tout envoyer bouler. Un commentaire sympa et je suis aux anges. Une vraie gosse !

L’été, j’achète les numéros de "20 ans" et de "Jeune et Jolie" juste pour les cadeaux ringards offerts en supplément. Ouais, j’aime bien les paréos et les débardeurs plouquos à mort marqués de phrases profondes dans le genre « I’m your lucky star ». Bon, bien sûr, ça me fait juste la saison, étant donné qu’après être passé trois fois en machine, le truc n’irait à personne d’autre qu’un troll informe, tellement il a raccourci et ne ressemble plus à rien. Mais après, ça fait les vitres, c’est pratique comme tout. C’est trop con, je crois que c’est râpé pour cette année, le cadeau étant du maquillage de cagole cosmique. Merci mais non merci, j’ai quand même mes propres limites à la pouffe-attitude.

J’aurais voulu être une artiste. Savoir chanter, jouer de la guitare, dessiner, peindre… même cuisiner, à la rigueur. Pas de pot, ma voix déraille au-delà d’une octave, je pianote vaguement « Lettre à Elise » et basta, je ne dessine que les cubes en perspective, et je sais à peine mettre du vernis sur mes ongles sans déborder. Quant à la cuisine, heu, avec moi, faut aimer les pâtes, quoi… Mais c’est bon, les pâtes, non ? :)

Aaaah, ben c’était vraiment très intéressant…

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