La possibilité d'une île
Le départ approche. Dans quelques jours, je m'envole avec Chéribibi à destination d'une île paradisiaque pour des vacances bien méritées.
Après moult hésitation sur l'endroit où l'on souhaitait poser nos valises, après de longues discussions sur les atouts et les défauts de tel ou tel pays ("nan mais attends, moi, les scarabées dans la piaule, c'est niet de chez même pas en rêve !", "j'te préviens, si tu veux te reposer, on part pas à Cuba, c'est du gâchis !"), on a finalement opté pour une destination de rêve - un peu cliché, certes - qui nous faisait envie depuis trrrrèèèèèèèsss longtemps...
Océan Indien. Les Maldives. Atoll de Dhaaluu, îlot sud de Nilandhe. (Je pourrais aussi vous mettre les coordonnées GPS de l'île, mais j'imagine que ce serait vu comme du zèle).
Pas de programme de visite à respecter, puisqu'il n'y a que des îles à la ronde. Pas d"horaires à respecter, si ce ne sont ceux des marées. Pas d'ordinateur sous les yeux toute la journée, et une connexion internet seulement en cas d'absolue nécessité. Pas de tentation shopping, non, même pas le paréo aux couleurs de l'hôtel. Juste le sable blanc, le calme, la quiétude, les fonds marins et l'océan à perte de vue.
Douze heures d'avion avec escale, cinq heures de décalage horaire. Mais au bout du bout, enfin, le nirvana.