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Gin Fizz
25 août 2008

Reprise des négociations

rentr_e_1Bon. Ben voilà, hein. Là, je crois qu’on y est. L’heure de la rentrée a sonné. Après un bon petit mois à buller (mais pas que), à ne pas penser au boulot (du tout) et à ne consulter les blogs qu’avec parcimonie (ou presque), me revoilà parmi vous.
Cette année, je vais être cool (et originale) et vous épargner la tirade « ouais, super, soleil, vacances, plage, mer, chaud, fête, bronzage, cocktails, nuits blanches et lunettes noires ». Si, si. Par égard pour tous ceux qui ne sont pas partis cet été, ou pour les 80 % qui se sont retrouvés vacanciers dans un coin où la météo avait décidé de nous la jouer remake des « Parapluies de Cherbourg », on va dire que chut. Sympa, quoi. Pas relou pour deux sous, la fille. Mais bon. C’est surtout que mon bronzage et mes mèches blondes parlent pour moi, je vous ferais remarquer.

Et puis, entre nous, vacances top, certes, mais retour beaucoup moins glamour, si vous voulez tout savoir. Déjà, la journée de dimanche sous la pluie, heu, j’veux dire… si c’était parce que vous pensiez que ça m’avait manqué, fallait pas vous donner ce mal, hein.
Sinon, dans la série « mon appart est magique », il m’en a réservé encore deux bien bonnes, comme comité d’accueil. Déjà, impossible de faire redémarrer cette punaise de chaudière. Forcément, quatre semaines qu’elle roupille, celle-là. Faudrait pas trop lui en demander d’un coup non plus, c’est sûr. Mais la douche froide après cinq heures de train, mmm, un délice. Je conseille à tout le monde.
Seconde bonne surprise, le pétage des plombs durant mon absence. Qui fait donc sauter tous les appareils électriques de la maison. Dont le frigo, quasi vide. Et le congélo, quasi plein. Qui ne l’est pas resté longtemps, hein, plein. Puisque j’ai tout viré dans la seconde (enfin, non… ça m’a bien pris trente minutes pour nettoyer les flaques de glaces fondues qui collaient un peu partout).

Enfin, ne soyons pas trop mauvaise langue, le retour des vacances, c’est aussi :
- Une boîte aux lettres qui déborde de factures, publicités, cartes postales, magazines et nouveaux catalogues de VPC où dépenser son argent
-
Un Netvibes plein à craquer de posts à lire sur les blogs préférés
-
Une messagerie internet dégoulinante de propositions en tout genre : Nouveaux amis Facebook, demandes d’échanges de liens de blogs, Viagra en promo, offres d’écrire le prochain Goncourt, suggestions de partenariats mirobolants (un intrus s’est glissé dans cette liste, saurez-vous le retrouver ?)
-
Des appels en pagaille aux copains pour les debriefs de chacun : apéros et restos programmés pour au moins les trois prochaines semaines
-
Un chat (à peu près) content de retrouver sa maîtresse. Preuve : moins de quinze minutes avant de ronronner.

Me voilà donc repartie pour un tour de manège. Reste plus qu’à remettre la main sur mon foutu réveil. Le problème, c’est que je ne sais pas trop ce que j’ai pu en faire, depuis fin juillet…

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28 janvier 2008

Allez hop, on y va, en route pour l'aventure

d_part_1C’était long, hein ?

Oui, je sais. Ma petite pause blog aura duré un peu plus de temps que prévu. Mais cette fois on va dire que ça y est, le contact est rétabli. Figurez-vous que Monsieur Free s’est enfin remué les fesses pour raccorder mon nouveau nid à Internet. Bon, évidemment, je me suis ruinée en hotline et j’ai passé des heures à tapoter sur des touches étoile, dièse et autre dans tous les sens (« si vous trouvez que le technicien freebox est un gros con qui ne travaille pas assez vite, appuyez sur la touche 1 »), mais au final, alléluia eurêka mazel tov, ça marche. C’est beau la technique. Ou alors c’est mon charme ravageur et ma voix séduisante ? Allez savoir…

Il s’en est passé de belles, depuis qu’on ne s’est pas parlés, vous et moi.

Déjà, j’ai apprivoisé depuis peu un nouvel appartement, un nouveau quartier, un nouveau mode de vie. Le soleil en pleine fenêtre le matin, vingt minutes seulement de transport pour aller bosser, et l’une des meilleures boulangeries parisiennes en bas de chez moi. Je nageais dans une béatitude quasi complète, jusqu’à ce que je découvre que mes nouveaux voisins ont des rituels nocturnes étranges, et plutôt bruyants. Ceux du dessus, par exemple, sont du genre à détruire tous leurs meubles à coup de batte de baseball, j’ai l’impression. Notez, je ne suis pas aller vérifier, mais en tout cas, niveau décibels, c’est kif-kif. Je suis ra-vie. Surtout quand l’envie leur prend à quatre heures du matin.
Ceux du dessous sont de grands mélomanes qui jouent du piano en chantant et en tapant en rythme avec vigueur. Bon, moi à la base, j’ai rien contre la musique, hein. Mais faudrait encore que ce soit mélodieux. Et là…

Mon chat s’est également fait à sa nouvelle petite vie, en baptisant joyeusement tous les recoins du salon et de la cuisine de belles galettes de croquettes pré-mâchées et revomies. J’adore. Ca pose l’ambiance, tout de suite.

Côté cœur, en revanche, faites vos jeux, rien ne va plus : je me suis séparée de mon mec à moi. A croire que les déménagements me portent la poisse, puisque le précédent m’avait déjà valu une rupture corsée. Je vais peut-être réviser mon feng shui, en fait.
Enfin apparemment, j’ai pas trop à m’en faire : d’après tous les horoscopes que j’ai pu lire, 2008 sera pour les Verseaux l’année du bonheur amoureux et de la félicité. C’est bon, restent encore 338 jours, on a tout le temps. En plus, sacré coup de pot, 2008 est bissextile, c’est toujours ça de pris. Donc maintenant, j’attends, peinarde.

Et sinon, vous ? Ca va comment, depuis tout ce temps ?

7 janvier 2008

En passant

traces_1Si ça peut vous rassurer, non, je n’ai pas complètement disparu de la circulation. Mais je prends un peu mon temps, c’est vrai…

C’est surtout que je suis toujours privée de connexion internet dans mon nouveau home sweet home."Encore quinze jours à trois semaines", qui z’ont dit, les gars de chez Free. Le temps pour eux de se faire un ou eux petits baby foots et de finir Super Mario Kart, à mon avis. Sont pas pressés, quoi.

C’est quand même dommage, parce que j’avais des tas de trucs à vous raconter, depuis le temps.

Par exemple, j’aurais pu me vanter que les meubles Ikéa, désormais, je masterise à fond la caisse. Limite si je ne parle pas couramment suédois, même. Mais j’ai quand même du mal à piger comment une simple chaise peut prendre plus de temps à monter que deux immenses étagères. J’ai failli péter une durite trois ou quatre fois. S’il faut avoir fait Polytechnique pour pouvoir dîner à table, non mais où va le monde ?

Ou bien vous dire que c’est fou tout ce qu’on peut entasser dans un petit deux-pièces en sept ans. Mais ça, on ne le réalise vraiment que le jour où il nous prend l’envie saugrenue de déménager. Perso, j’ai réalisé que je n’avais pas moins de quatre bouillottes. Je suis frileuse, oui, ok. Mais quatre ?!!! Faudra qu’on m’explique…

Ou encore vous apprendre que ma nouvelle voisine du dessus est apparemment une femme raffinée et élégante qui braille en permanence des trucs hypers classes du genre "mon cul ouais !" ou "l’enfoiré de sa mère" sur un ton très étudié de poissonnière du dimanche. J’adore. Très Chanel.

Mais pour tout ça, vous devrez patienter encore un peu. Non, non, inutile de chouiner et de taper du pied comme des gamins, je ne supporte pas les gens capricieux.

En attendant, je retourne déballer mes cartons. Là, y’a urgence. Ca fait quinze jours que je cherche mon sèche-cheveux, je vous raconte même pas la tronche que je me trimballe.

Ah, au fait… quand même… bonne année ! Que 2008 vous apporte pleins de bulles !!!

17 décembre 2007

Ne quittez pas, un opérateur va reprendre la ligne dans quelques instants...

tel_4Si je veux être parfaitement honnête avec vous, je me dois de vous dire que là, je sature un peu. Et que cette histoire de blog commence vraiment à tourner en rond, à mon sens. Vous l’avez peut-être constaté comme moi, depuis un moment, les billets ici se font plus rares et les réponses aux commentaires moins rapides.

L’envie n’est plus là, ces jours-ci.

Inspiration en fuite, motivation en berne, implication en déroute.

L’atmosphère morose et chaotique de la blogosphère ces derniers temps y est sans doute pour quelque chose aussi. L’ambiance « règlements de comptes à OK Corral », bof, pas trop mon truc.

Et puis il y « la vraie vie », celle dans laquelle on a parfois un boulot hyper prenant, une santé qui nous fait des petites blagues, ou un déménagement qui nous oblige à passer toutes nos soirées à faire des cartons, plutôt qu’à écrire des posts pleins d’humour et d’intelligence comme je sais si bien le faire (y’en a un seul qui rigole, je me vexe, je vous préviens).

L’heure est donc venue de faire un petit break bloguesque et prendre un peu de recul.

(Ca laissera le temps à Free de déplacer ma connexion Internet, parce que là, les enfants, on va pas être aidés, si j’en crois le demeuré profond que j’ai eu au téléphone…)

Non non, pleurez pas comme ça, je reviens, promis.

Et d’ici là, je continue à vous lire, évidemment…

31 juillet 2007

Et Dieu créa la flemme

hamac_pieBen là, franchement, ouais. Grosse flemme. Du genre à préférer très clairement glandouiller ailleurs que devant un ordinateur, tu vois ?
Alors du coup, je me suis dit que c’est toi, lecteur, qui allait faire un peu l’animation aujourd’hui. Je sais, je sais, ça fait vraiment feignasse puissance douze de faire ça. Mais après tout, je suis une feignasse. Et puis comme ça, ça ressemblera parfaitement à un post digne du 31 juillet. Même pas mal.
Bon, évidemment, pour ça, faudrait pas que toi et tous tes petits copinous se soient barrés en douce à la plage comme des traîtres, hein ?

Donc aujourd’hui, c’est journée portes ouvertes : t’as le droit de dire tout ce que tu veux à propos de mon blogounet, tant que c’est un chouïa argumenté. Remarques, critiques, suggestions…

T’as le droit, par exemple, de me donner des idées de futurs billets, parce qu’on va pas se voiler la face, y’a quand même des jours où franchement, je me demande bien ce que je vais pouvoir te raconter ici. (T’inquiète, après, je trouve toujours, je suis super forte, comme nana. Mais néanmoins, une petite liste d’idées potentielles, je suis pas contre, tu vois ?)

T’as le droit, aussi, de me dire que c’est complètement crétin d’avoir mis des trucs qui ressemblent à des Mojitos dans ma bannière, alors que mon blog s’appelle GinFizz. Et t’aurais raison, en même temps. (Mais je te répondrais que vu que j’ai déjà mis trois plombes à pondre cette bannière-là, va falloir être patient pour attendre la prochaine. J’ai d’autres priorités sur ma to-do list que d’apprendre Photoshop par cœur, mon biquet…)

Juste deux petits bémols, parce que quand même, je suis de bonne humeur, mais que je tiens à le rester :
-
Les critiques, j’accepte, of course. Mais uniquement avec plan argumentaire détaillé en trois parties (thèse/antithèse/synthèse), citation d’illustration des propos et indication des sources et de la bibliographie en fin de page. Nan parce que sinon, c’est trop facile, quoi…
-
Les insultes gratuites et nases, comme j’ai pu le voir dernièrement… ben là, bizarrement, je suis légèrement moins tolérante. Sérieux, si t’as envie de te défouler les nerfs sur ton clavier, écris plutôt à ton centre des impôts, ton ex qui t’a largué(e) avec la bombasse du coin, ou ton coiffeur qui a foiré son coup. A la limite, copie-nous ton truc dans les commentaires, ça nous fera rire aussi. Mais basta.

Si tu me cherches, je suis juste dans le hamac, en haut à droite, là. Mais t’inquiète, j’ai un peu de temps libre aujourd’hui, je te surveille du coin de l’œil...

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20 avril 2007

Déjà...

gateau_1Hé ben mes petits loulous, on dirait pas comme ça, mais mine de rien, ça fait déjà un an aujourd’hui que je vous raconte mes aventures passionnantes de pétasse parisienne râleuse et névrosée (ça, c’est de l’autoportrait !).
Un an, 138 billets, et quelques 3726 commentaires plus tard (ce qui nous fait quand même une jolie moyenne de 27 com’ par billet), me voilà devant mon écran, à me demander ce que je vais pouvoir vous écrire.

Je pourrais vous dire « ce blog, c’est une aventure formidable, c’est parti de rien, un coup de tête, comme ça, je ne savais même pas ce que j’allais y raconter, et aujourd’hui c’est comme une drogue, presque une thérapie, le rapport avec les lecteurs est tellement riche, tellement intense »… mais en fait, non. Parce que vous pourriez prendre la grosse tête.

Je pourrais vous dire « ce blog, bien au-delà du simple échange textuel, m’a permis de faire de très belles rencontres, virtuelles et réelles, de lier des liens avec des personnes que je n’aurais sans doute jamais croisées par ailleurs »… mais en fait, non. Parce que les personnes en question le savent déjà, et les autres s’en contrefoutent.

Je pourrais vous dire « ce blog, c’est mon premier pas vers la gloire, le succès et le star system. Déjà quatre manuscrits en route chez l’éditeur, un contact avec un producteur pour l’adaptation télé d’une série dérivée, et une grosse hésitation entre Marion Cotillard et Emmanuelle Béart pour jouer mon propre rôle »… mais en fait, non. Parce que Emmanuelle Béart, franchement, c’est limite. Je suis beaucoup mieux gaulée qu’elle.

Faisons simple. Quelque part, je me dis juste que… bon… vous et moi, ça fonctionne plutôt bien, non ? Alors… je vous en remets une petite part ? :)

15 mars 2007

Mode "pause" OFF

bronz_e_2"Voilà, c’est finiiiiii", comme dirait Jean-Louis. Me voici donc de retour, après quelques jours de vacances passés à vitesse supersonique, durant lesquels j’ai :

-
bronzé (un peu)
-
glandé sur la plage (pas mal)
-
dormi / siesté (beaucoup) … (ah oui… beaucoup…)
-
bouquiné (que du Nietzsche et du Kant, naturellement)
-
marché (dans le sable brûlant, sur les traces des tout premiers esclaves africains… ou sur la pointe des pieds en rentrant tard le soir)
-
fait la touriste de base (« clic clac »)
-
saccagé l’idée (surfaite) qu’on se fait de l’allure des Françaises (tongues anti-ampoules, bob anti-cagnard : comment briser un mythe en un claquement de doigt)
-
fait gaffe (à l’eau du robinet, aux oursins, aux moustiques, aux coups de soleil)
-
évité (tout ce qui ressemblait de près ou de loin à un ordinateur ou même à un minitel. Break, on a dit !)
-
vidé (ma tête, mon sac, mes sandales pleines de sable, mon tube de Biafine)
-
rempli (ma tête –de belles images–, mon verre –de ginfizz–, mon sac –de coquillages–)
-
observé (les baobabs taille XXL, le ballet des oiseaux assoiffés autour de la piscine, l’intensification de mes marques de bronzage)
-
ignoré (les coupures d’eau intempestives, les oursins dans les rochers, les vagues sournoises et glacées de l’océan)
-
dépensé (des calories, de l’énergie, des tonnes de courtoisie pour ne pas acheter un douzième paréo aux vendeurs ambulants)
-
calculé (le décalage horaire avec la France, la conversion euros/francs CFA, le nombre de calories des cochonneries ingurgitées)
-
perdu (du temps dans les aéroports, l’envie de rentrer à Paris, toutes mes parties de Uno)
-
gagné (des souvenirs, des couleurs, un collier porte-bonheur)

Merci pour vos nombreux messages durant mon absence. Je vois que vous avez parfaitement tenu la maison.

Et chez vous, tout s’est bien passé ?

1 mars 2007

Je suis venue vous dire que je m'en vais

bye_1Ben ouais... Je m’en vais. Je me tire, je me barre, je fous le camp, je lève l’ancre, je mets les voiles. Cassos, quoi. Voici enfin venu le temps de vacances bien méritées. A moi soleil, plage, palmiers et sable fin (quoi ? nan, je cherche pas à vous faire baver d’envie. Absolument pas. Qu’est-ce qui vous fait penser ça ?).

Oui, je sais ce que vous allez dire. Avec l’activité dé-bor-dante de ce blog durant les derniers quinze jours, vous pensiez sans doute que j’étais DEJA en vacances. Et pourtant, non.
Seulement, il y a parfois des moments où la « real life » reprend le pas sur la virtualité : beaucoup de boulot ajouté à des préoccupations d’ordre personnel m’ont tenue un peu éloignée de la blogosphère ces temps-ci. Et puis, il faut bien le dire aussi, une petite baisse de motivation et d’inspiration. Moins d’envie d’écrire pour raconter mes conneries. L’esprit moins léger et la tête trop remplie pour pouvoir me consacrer pleinement à ces petits billets d’humeur qui alimentent régulièrement mon blog.

Ca arrive. Même aux meilleurs. (Aaaaah, ça va, c’est de l’humour, les gars. Reposez vos cailloux, vos tomates et vos œufs pourris, rangez vos houuuuu-ouuuu dans vos poches. Si on peut plus déconner, aussi…)

« Ce n’est rien, tu le sais bien, le temps passe, ce n’est rien », chantait Julien Clerc. Ben voilà, c’est ça. Très exactement ça. Ce n'est rien, rien de grave en tout cas. J’ai juste besoin d’un peu de temps "off" par rapport à tout ça pour me vider la tête un bon coup et revenir avec plein de nouvelles idées à mettre en mots. D’où les vacances qui tombent ultra-méga à pic (pour ceux qui n’auraient pas pigé).

Ce n’est donc qu’un au revoir mes frères, oui nous nous reverrons mes frères, et dans très peu de temps, je vous le promets ! D’ici là, consommez les Ginfizz avec modération, et méfiez-vous des contrefaçons, comme dirait l’autre ! ;)

21 janvier 2007

C'est vous qui l'avez fait !

merciJe vais faire rapide et simple : MERCI. Merci à vous qui m’avez soutenue, qui avez voté pour mon blog inscrit au Festival de Romans, et qui m’avez permis de figurer parmi les dix finalistes de la catégorie « Littérature ». (Zola et Hugo doivent se retourner dans leur tombe, mais bon…).

Je ne m’étends pas plus longuement sur le sujet, je sais que j’en ai déjà saoulé beaucoup avec toutes ces histoires de concours. Mais sachez que votre enthousiasme, votre participation et votre soutien m’ont beaucoup touchée, et plus que jamais boostée. Merci mille fois à vous tous !
(Fin du mode *nian-nian*) ;)

16 janvier 2007

On r'met ça ?

course_5Parce que c’est pas tout ça, mais on est un peu à la traîne, là, hein ?!!
« Gné ? Mais de quoi elle cause, la dame ? Comprends paaaaas… ».
Bah la dame, elle dit juste qu’hier, elle a regardé un peu (… bon… ok… longuement) les premiers résultats de votes pour le Concours du Festival de Romans, et elle en a déduit que ça va être chaud-cacao, les enfants !
Sachant que huit participants sont déjà quasi-qualifiés, aux vues du nombre astronomique de votes reçus, reste que… deux places en finale. Ahem.
Comment dire ? Ca va être collé-serré pour les derniers concurrents qui veulent une place, je vous le dis d’office !

Alors je recommence mon petit manège, juste histoire que tout le monde soit bien au courant (comme ça, on pourra pas dire que) :
Pour voter pour GinFizz, me faire don de votre voix, me booster dans l’écriture de billets d’humeur toujours plus girly, connaître le fin mot de cette histoire de petite annonce dans Libé, avoir ma reconnaissance éternelle et mon dévouement sans limite (surtout, faites-moi signe si j’en fais trop, j’me rends pas bien compte), it iz véri simpeule :
Faut aller directos LA, puis cliquer sur VOTER.
Ewouala ! Vous avez jusqu’à samedi 20 janvier pour vous déchaîner comme des bêtes sur vos claviers. Après, il sera trop tard…
Pour résumer avec une formule-choc qui déchire tout : « 1 clic, 1 vote, 1 voix, 1 sourire ! » (… Merde, on dirait Sophie Davant en train d’animer le Téléthon. Je suis décidemment pas faite pour ce métier, moi).

Et puis promis, c’était la dernière fois, après ce post, je vous embête plus avec ce Festival !

Sauf si je vais en finale !!! (…oui, enfin, bon, on s’comprend…)

3 janvier 2007

Des élections avant Les Elections

Bon, les gars, là, on déconne plus du tout. L’heure est grave. Loin de moi l’idée de vous gaver dès le 3 janvier avec les élections qui auront lieu dans quelques mois (surtout qu’on l’est déjà tous un peu, gavés, au lendemain des réveillons).
Mais juste histoire d’être sûr de ne pas avoir perdu la main devant les urnes, je vous propose un petit exercice d’échauffement. Allez hop, on enfile le jogging, on chausse les Nike, et on y go :

festivalDepuis quelques jours, les votes pour le Festival de Romans sont ouverts. Ce concours lancé il y a quelques mois récompense tous les « artistes » qui créent grâce à Internet. A l’heure où les blogs, sites perso et forums se multiplient, moi je dis : c’est pas con, comme idée…

Allez savoir pourquoi, dans un élan d’audace inconsidérée, j’ai décidé d’y inscrire mon petit bloguounet, dans la catégorie « littérature ». Non pas que je me prenne soudainement pour Balzac ou Proust, mais c’était la rubrique qui me correspondait le mieux. Ben oui, y’avait pas de catégorie « billet d’humeur de râleuse professionnelle », dommage.

Bon. Comme vous êtes futés, vous avez déjà tous pigé où je voulais en venir… Si vous vouliez bien être choupinets, allez voter pour moi pour me donner une voix supplémentaire, ça me fera vraiment plaisir. C’est pas compliqué, il suffit de cliquer là, et d’appuyer ensuite sur le bouton « voter ». Ultra fastoche, non ?

Et puis la bonne nouvelle, c’est que vous pouvez voter pour le nombre de participants que vous voulez. Ce qui veut dire que si vous avez déjà voté pour un autre blog (un concurrent, quoi ! Disons les choses clairement !), ou que vous hésitez entre deux participants, pas besoin de tirer à pile ou face : votez pour les deux ! C’est pas beau, ça ? Aaaah, je vous tire une fière chandelle du pied, je parie ! (petite dédicace à mon voisin, au passage).

Inutile de vous rappeler que la plupart de mes amis et proches ignorent tout de mes obscures activités bloguesques, et que je ne peux donc compter que sur vous, chers lecteurs, pour faire grimper mon petit compteur de votes. Allez, montrez-moi que vous m’aimez !!!! :))

* * * * * * * * * * * *

EDIT DE 20h45 : Apparemment (et je pèse mes mots), ayé, les votes sont relancés. A vos claviers, mes p'tits poulets, je compte sur vous !!! Et faites passer le mot, on ne sait jamais... ;))

EDIT DE 17h30 : OH LA LAAAAA, VOUS ETES MIMIS !!!! J'espère juste qu'il ne faudra pas TOUT refaire de zéro, car comme je l'ai dit juste en dessous, il y a eu des magouilles, et les votes ont été suspendus...
J'espère que tout ce que vous avez fait jusqu'à maintenant compte (en tout cas, pour moi, ça compte beaucoup, vous me faîtes TRES PLAISIR !!!)
Davidous, ta bannière, c'est trop chou, comme idée, merci merci !
Je guette les nouvelles du front (du festival, quoi...) pour savoir si oui ou non, tout notre / votre beau travail est bel et bien comptabilisé !
ENCORE MERCI !!!!! (j'en rosis de plaisir, dîtes...) :)))))

EDIT de 12h00 : Bon, les enfants... Les votes sont temporairement suspendus, le temps de trouver un système sécurisé pour éviter les petits tricheurs qui magouillent. Je me permettrai donc de refaire appel à votre grande gentillesse (n'c'pas ?) dès que les choses seront à nouveau possible.
Bonne journée, et merci à tous ceux qui avaient déjà cliqué pour moi !!! (Moi aussi, je vous aime !)

21 décembre 2006

Flagrant délit

flagrant_d_lit_2"Les mains en l'air, plus un geste, on t'as reconnue GinFizz !"
Hé ouais. Je suis grillée. Enfin, pas moi. Mon blog. Mon petit bout de jardin secret, que j’ai laborieusement réussi à tenir à l’écart de presque tous mes proches depuis huit mois maintenant, est désormais découvert. Mis à nu. Comme ça, pof, en l’espace de trois clics. Je suis obligée de me rendre. Merde, quand même.

Huit mois que je pipote allégrement pour camoufler ma "double-vie" : « Ouais, samedi, j’ai une soirée où faut s’habiller en rose. Non, tu connais personne. Non, tu peux pas venir, c’est sur invit’ uniquement ». Huit mois que je me donne un mal de chien pour éluder les questions embarrassantes : « Le cours de pole dance ? J’ai testé avec des copines blogueu… heu… bigleuses, pour qu’elles se foutent pas trop de moi ». Huit mois que les gens se demandent pourquoi je passe autant de temps devant mon ordi chéri : « Bah Ebay, ça me prend un temps fou, tu sais… ». Surtout ne jamais prononcer le mot "blog" pour ne pas éveiller inutilement les soupçons…

Bref, huit mois de travail intensif et acharné. Et tout ça pour quoi ? Pour que monsieur mon copain B., qui connaît ma vie quasi par cœur depuis douze ans, éprouve le besoin d’aller « googler » mon nom, histoire de découvrir si je ne lui ai pas caché un passé de toxico ou si je ne fais pas des photos de charme à mes heures perdues. Allez comprendre ce qui lui a pris, d’enquêter sur moi comme ça.
Dis-donc, copain de moi, la prochaine fois, convoque-moi direct au commissariat pour interrogatoire en règle, prise des empreintes digitales et photos anthropométriques, tu gagneras du temps !

Le pire, dans l’histoire c’est qu’il a reconnu indéniablement l’auteur de ces lignes grâce à un post plutôt ancien, dans lequel je comparais mes amis mââââles aux sept nains de Blanche-Neige. Manque de pot, par élimination, le fameux B. se retrouvait être « Simplet ». Aouch ! Ramasse tes dents, mon pote. Ca fait toujours plaisir de lire sur Internet tout le bien qu’on pense de vous…

C’est quand même con, ça, non ? Parce que mon blog aurait tout aussi bien pu être découvert par « Le Prince », qui se serait senti flatté d’avoir hérité d’un super titre de noblesse, même éphémère. Ou bien par « Prof », ou « Joyeux ». Plutôt sympa de se faire "traiter" d’'Encyclopédie Universalis' ou de 'Best Comic of the Year'. Ben oui, mais non. C’est « Simplet » qui a fouiné…

Je vous laisse imaginer mon désarroi quand B. m’a appelée en pleine journée pour me dire « oui, bonjour, c’est Monsieur Simplet à l’appareil ». Ahem… Plait-il ? De quoi s’agit-il, monsieur ? Vous devez faire erreur. Le numéro que vous avez demandé n’est plus attribué… (*mode "je patauge, je bois la tasse, je me noie, bloupsssss"*). Grand moment de solitude.

Bon, pour être honnête, je savais bien que ça finirait par arriver, et j’étais moi-même en train de me poser des questions métaphysiques à propos de la révélation de l’existence de ce blog à mes proches. On m’a juste coupé l’herbe sous le pied.

Ce billet est dédicacé à « Simplet » (donc), qui (apparemment) ne m’en a pas (trop) voulu de l’avoir surnommé ainsi (ou qui en tout cas, l’a bien caché), et qui m’a aussi promis (et je le rappelle ici devant mes MILLIONS de lecteurs) de tenir sa langue. Qu’il en profite bien (de sa dédicace). C’est la première, et sans doute la seule fois que je fais ce genre de chose. C’est chez moi, ici, bordel. ; )

C’est quoi, votre philosophie de blog à vous ? Secret or not secret ?

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