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Gin Fizz
29 octobre 2006

"On s'appelle, on s'fait une soirée troc ?"

La quatrième (ou cinquième ?) édition des désormais réputées soirées troc a eu lieu hier soir, accueillie cette fois par la courageuse Géraldine, qui n’a pas tremblé une seconde à l’idée de voir débarquer chez elle vingt minettes heureuses d'être inscrites sur la V.I.P. list.

Mais quésako que ce truc-là, allez-vous me dire ? Alors je répète, pour les deux du fond qui bavardaient au lieu de suivre. Partant du principe (très juste) que les penderies et tiroirs de salle de bain des filles débordent de trucs dont elles ne se servent pas ou plus, Hélène a eu cette idée folle un jour d’inventer les soirées troc. Chacune apporte et échange les jupes, pulls, mascaras, gloss, foulards et autres trousses à maquillage dont elle veut se séparer. Le tout dans une humeur joyeuse et détendue, des papotages et des rires, et un buffet royal.

Je mets d’ailleurs au défi quiconque de venir me dire « mais les filles c’est chiant, ça bouffe trois feuilles de salade verte et ça n’a plus faim », parce que vu la profusion de cakes salés, saucisson, foie gras,  quiches, vin rouge et petites « tueries » au chocolat, on serait une bonne vingtaine à lui rire allègrement au nez.

Passons sur le fait que la soirée fut évidemment très sympathique. Mis à part les vingt nanas présentes hier soir, vous n’étiez pas là pour voir combien ces petits rassemblements entre gens de bonne compagnie sont plaisants, et vous vous fichez sans doute éperdument de savoir que les chaussures de Caroline étaient canons, que la moquette a été rebaptisée cinq fois au vin rouge, que le cake de Jeanne déchirait sa race (au moins), et que lebeau collier que j’étrennais pour la première fois a eu son petit succès. Donc je n’insiste pas.

Et je ne vous ferai pas non plus l’affront d’écrire cette petite phrase tant et tant entendue au lendemain des rencontres entre blogueurs : « ça fait plaisir de mettre enfin un visage sur un nom… ou l’inverse ». Même si c’est pourtant vrai.

Arrivée avec un sac de choses à donner gros comme une caravane (photo de gauche), je suis repartie beaucoup plus légère, avec mon lot de petits trésors (photo de droite) : adorable veste rose, bustier trop craquant, top coloré à bretelles, petit haut blanc qui porte encore l’étiquette du magasin (et je connais la coupable !), cache-cœur rose clair sans manches, t-shirt à motif, plus quelques trucs non photographiés.

sac_trocresultat_troc













Mille mercis à et sa-moquette-qui-craint-rien pour leur accueil ultra chaleureux, à Hélène pour son organisation hors pair, et à toutes les autres pour leur bonne humeur : (et là, c’est l’horreur, j’ai trop la trouille d’oublier quelqu’un…) : la méchante et sa gentille maman calpurnia, deedee aux bas filés, caroline, laure sans son foie gras, celinette la bientôt blogueuse (à ne pas confondre avec TheCélinette), béa, lilo, delphinoïd, julie, marion, pomme, anne, anne-lise, jeanne (qui reverra bientôt ses pieds), lucie (la photographe de la soirée), capucine et nina.
(C’est bon ? Manque personne ?)
;-)

 

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20 octobre 2006

Nan

bouderPas de billet aujourd'hui.
Je boude. Je sais pas quoi vous dire.

Enfin si... mais j'ai TROOOOOOP la flemme d'écrire...
hé ouais... c'est comme ça... On verra demain (ou pas) (hé hé hé) ('tain, le suspens qui tue).

5 octobre 2006

Parce que...

ordi_2

Parce que je manque de temps

Parce que j’ai la tête ailleurs en ce moment

Parce que j’ai été bâlâde et peu en forme depuis trois jours

Parce que dans ces cas-là, la flemme reprend le dessus facilement

Parce que j’ai un peu fait le « blog buissonnier »

Parce que l’inspiration n’est pas au rendez-vous

Parce que tout ce que je commence à écrire dernièrement ne me plait pas et est aussitôt effacé après relecture

Parce que y’a des jours comme ça

Parce que ça va passer

Parce que je vais me remotiver dare-dare

Parce qu’on en passe tous par là parfois

Parce que vous saurez être compréhensifs

3 octobre 2006

En aparté

coeur_1A toi qui es arrivé sur ce blog en tapant sur Google « recherche fille idéale »…

Ne cherche plus : tu m’as trouvée…  :-)

19 septembre 2006

Ravalement de façade

56007108

J’ai honte. Cinq mois de blog, et pas le moindre petit changement de mise en page. Il était temps de faire quelque chose. Alors dans un premier temps, ce sera un petit quelque chose : une bannière un peu plus colorée et dynamique que mes deux pauvres lignes de texte sur fond bleu. Ca casse pas trois pattes à un canard, vu que les logiciels de mise en page et moi, ça fait à peu près douze. Mais c’est un début. Qui ne demande qu’à s’améliorer.
Dans la foulée, remise à jour de ma liste de liens, avec les nombreux blogs que je lis régulièrement depuis des semaines, mais que je n’ai jamais pris le temps de « linker » ici. Voilà qui est fait !

Pfffff… Quand je vous dis que ça prend un temps FOU de s’occuper d’un blog… (et avec tout ça, j’ai laissé passer la date limite pour les impôts, et je suis pas très fière de moi…)

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17 septembre 2006

Avec ou sans chantilly ?

La_fraise_party

Hier soir, parmi moult soirées parisiennes branchouilles et conviviales, avait lieu ze famous fraise party number five. Officiellement, les aux revoirs de l'équipe actuelle La Fraise. Officieusement, une occasion en or d’étrenner mon nouveau t-shirt lafraise, et de retrouver plein de gens fortiches pour mettre de l’ambiance. Vous pensez bien que j’allais pas louper ça.

Recette pour une fraise party réussie :
Réunir les ingrédients de base indispensables : Célinette (ma jumelle de t-shirt), La méchante (rebaptisée pour l’occasion la vilaine, la dégueulasse, ou mieux, la chanmé), Joëlle et Larcenette, Astigo (dont le niveau sonore n’est toujours pas ajusté ;-) ), le tandem de choc MaTT et Guillaume (on attend toujours le péstacle, les gars), TiBlond, Peter, Patrick, sa caméra et ses questions à la con (à venir prochainement, une vidéo bien débile dont il a le secret…).
Relever de quelques saveurs inédites, jusqu’alors inconnues : Sophie (ravie d’avoir fait ta connaissance ma belle), Edwood et Seb (j’attends les photos, comme promis !), Funkyflo (trop fier que je porte le t-shirt dont il est l’auteur), Romain, toute l’équipe lafraise… Impossible de citer tout le monde, autant vous recopier l’annuaire, ce serait plus vite fait.
Saupoudrer d’une pointe de têtes connues, mais juste entr’aperçues hier soir : Mathilde, Raphaël, Greg
Napper d’une bonne musique ringarde des années 80’s.
Remuer délicatement le tout.
Laisser mijoter quelques heures.
Admirer le travail.
Savourer jusqu’au bout de la nuit.

Suggestion d’accompagnement :
Haribo_fraises

 

 

 







La fraise party number five, c’était aussi, en vrac : un zouli piti badge en kdo (arrivée trop tard pour le polo), trois superbes tableaux offerts aux patrons, des croques monsieur à 2 heures du mat’, un serveur en terrasse qui devrait se payer des cours d’amabilité, de la bière à la cerise (c’est miam pour les filles, ça !), des tentatives de discussions interrompues, des glaçons qui volent, et des appareils photos qui mitraillent... (photos à venir)

 

 

 

« C’était bien, c’était chouette, on y retournera… »

 

 

 

11 septembre 2006

Florian, Thomas et moi

Il y a une quinzaine de jours, j’ai tenté ma chance au concours « Un Tomcast avec Florian Zeller », organisé par Thomas Clément via son blog.
Le concept était archi simple. Thomas proposait à la personne qui posait la question la plus originale de l’accompagner à l’enregistrement de l’interview de Florian Zeller, à l’occasion de la sortie de son quatrième roman, Julien Parme.
FlorianZellerEn toute honnêteté, je ne connais pas hyper bien ce Florian Zeller. Mais comme la photo qui accompagnait l’article de Thomas le présentait coiffé comme l’as de pique, tout le monde y est évidemment allé de son petit commentaire, et les questions ont essentiellement tourné autour de sa marque de gel capillaire, de ses actions chez Fructis ou du nombre de dents qui manquait à son peigne.
Dans la foulée, je me suis lancée, et j’ai posé ma question essentielle : « Etes-vous en procès avec votre coiffeur ou préférez-vous vous coiffer avec le dos d’une cuillère ? ». Bon, j’en conviens, l’information n’est pas vitale, au sujet d’un écrivain.
C’est pour ça que j’ai été d’autant plus surprise quand Thomas m’a annoncé par mail que j’avais remporté le concours. Surprise, mais ravie, pensez donc ! Moi, la seule fois où j’ai été première, c’était à un concours de circonstances, alors pour une fois que je gagne réellement quelque chose…
Restait à avoir le cran d’aller poser ma question toute naze à Florian Zeller, en face à face, et à ne pas me dégonfler au dernier moment. Hum…
Heureusement, Thomas me rassure : « on aime ou pas ses bouquins, mais Florian est le mec le plus adorable qui soit ». Bon admettons. Rendez-vous est donc pris jeudi midi devant les éditions Flammarion, où a lieu l’entretien.

Le jour J arrive. En installant tout son matériel, Thomas me demande si je suis nerveuse. Bah un peu mon neveu !
Surtout inquiète que Florian soit bien coiffé pour une fois, et que ma question tombe complètement à plat, oui ! Sur ce point, on me rassure, et on me dit que c’est impossible. Ouf.
L’auteur arrive enfin. Je confirme : il est décoiffé. Ou plutôt, savamment coiffé, de cette façon artistique qui fait penser qu’il ne l’est pas. Très subtil. Du grand art, à sa manière.
L’entretien commence, Thomas mène la danse avec brio (Avec qui ? … Ok, je sors !), et Florian répond en toute simplicité. Je vous passe les détails, tout est dans la vidéo que vous trouverez sur le blog de Thomas.

Les questions s’enchaînent : Florian, sa vie, son œuvre… Vient la question inéluctable de la gestion de l’image dans les médias... Et v’la-ti pas, mesdames messieurs, que Thomas empiète furieusement sur mes plates-bandes, et commence à aborder la question cruciale de ZE coupe de cheveux ! Non mais ho, Thomas, tu fais quoi, là ? C’était MON sujet, ça ! J’ai l’air de quoi, moi, maintenant, avec ma question à deux escudos trois-quarts ?

Je commence à me recroqueviller sur mon fauteuil, genre « si on pouvait oublier l’histoire de la question cadeau-bonux, ça me ferait bien plaisir », mais c’est trop tard. Thomas me tend le mini-micro et se fend d’un « j’crois que le moment est venu, Katia ».
Je bredouille un pitoyable « heu, oui, heu… » très convaincant, et finis par me lancer. Au final, j’ai eu l’air un peu con, mais pas plus que ça (et de toute façon, vous n’en verrez rien, puisque je n’étais pas filmée, hé hé). Florian est resté très digne, très sobre, ne m’a pas balancé de bouquin dans la tronche (en même temps, il a reconnu que c’est parce qu’il n’en avait pas sous la main).
d_dicaceIl n’est même pas rancunier, car j’ai eu droit à mon exemplaire de Julien Parme accompagné d’une gentille dédicace. La classe, ce Florian Zeller, non ? Et quels yeux, mazette… !

Au passage, merci aussi à Guillaume Robert, l’éditeur de Florian, pour son accueil plus que chaleureux, et pour le petit cadeau supplémentaire qu’il m’a offert : le dernier livre de Tania de Montaigne, Tokyo c’est loin. (Pour voir l’interview de Guillaume réalisée par Thomas, c’est ici que ça se passe !)

28 août 2006

Envie de râler...

C'est juste moi, ou Canalblog râme sévère, ces temps-ci ? ... c'est chiantissime !

21 août 2006

Rentrée des classes

cartable_1

C’est la rentrée… (long long soupir). C’est marrant comme les temps changent. Petite fille, j’adorais ça, la rentrée des classes. Je préparais bien mon cartable, ma trousse, mon stylo quatre-couleurs, ma gomme, mon double décimètre, mon cahier grand format petits carreaux à spirale, et mon quatre-heure banane-choco-brique de lait.
Aujourd’hui, la rentrée des classes, c’est quand même vachement moins funky ! Re métro aux heures de pointe, re « qu’est-ce que j’vais bien pouvoir me mettre sur le poil pour la réunion de demain matin ? », re syndrome du blues du dimanche soir, re joies des déjeuners entre collègues. Enfin, parait que « c’est la vie », et qu’on ne peut pas rester au Kindergarten indéfiniment, selon ma mère (ah ?).
Je le sens gros comme un camion, ça va être chaud-les-marrons pour reprendre un rythme de boulot à peu près correct.
Sans compter que j’ai plein de trucs à vous raconter, plein de trucs à aller lire (apparemment, vos blogs n’ont pas chômé pendant l’été, vous ne prenez jamais de vacances ?), et accessoirement, une vie réelle à vivre (bah oui... accessoirement).
Pffffffiiooouuuuuu, rien que de penser à tout ce que j’ai à faire, je suis déjà fatiguée… c’est pas gagné, c’t’affaire !

4 août 2006

Seule sur le sable, les yeux dans l’eau (bientôt)

vacances_2

Qui dit mois d’août dit aussi vacances, pour certains d’entre nous. J’ai du pot, je fais partie de ceux-là. L’heure est donc venue pour moi de boucler mes valises, de remettre la main sur mon passeport, et de voguer pour quelques temps vers des rivages plus ensoleillés et de nouveaux cieux moins nuageux (j’en profiterai pour prendre des cours de poésie, parce que la phrase que je viens d’écrire, c’est clairement pas possible, mais pour le moment, on va faire avec).
Alors, voyons… que je vérifie si tout est en ordre :
- chat apporté chez maman bien gentille et dévouée : fait !
- appareil photo numérique et mini Ipod chargés : fait !
- plantes suffisamment arrosées pour supporter mon absence : fait !
- produits solaires visage ? corps ? pour début de séjour ? fin de séjour ? après-soleil ? protection des cheveux ? : fait ! fait ! fait ! fait ! (et je vais encore m’en tirer pour un excédent de poids de bagage de huit kilos, pfff…)
- gambettes fraîchement épilées : fait !
- maillots de bain tous essayés, longuement hésité, puis tous fourrés en vrac dans la valise : fait !
- choix de polars et bouquins de plage hautement intellectuels (que je délaisserai pour lire Paris-Match et Marie-Claire de toute façon) : fait !
- liste des adresses où envoyer des cartes postales : pas fait, mais de toute façon, c'est bien connu, les postes étrangères fonctionnent tellement mal... ça ne sert à rien... je leur raconterai au retour... non ?
- magnéto programmé pour enregistrer la fin de Zodiaque : fait ! (si y'a une coupure de courant qui flingue ma programmation, je bute tout le monde, c'est clair ?)

Bon, je crois que c'est tout, je suis fin prête. Mes petits loulous, je vous laisse donc à vos moutons quelques jours, et j'espère vous retrouver en pleine forme et toujours aussi bavards à mon retour ! Et bien qu'il serait intelligent de ma part de profiter de ces vacances pour faire aussi un break avec mon blog, je n'exclue pas la possibilité de passer de temps en temps faire un mini coucou et voir si vous êtes sages.
Hasta la vista, babies !


PS : Un bon point au premier(ère) qui reconnaît le titre de mon post. Et c'est franchement pas dur !

29 juillet 2006

Bien plus que 36 au Quai des Orfèvres

fraise

Hier soir avait lieu le piknik La Fraise* organisé par Astigo sur le Quai des Orfèvres, face au Pont Neuf. Dès 19h30 se sont donc rassemblés peu à peu une soixantaine de blogueurs et de Fraisiens aux t-shirts colorés pour un grand partage de chips, taboulé, rosé frais, m&m’s et fraises tagada, dans une belle ambiance conviviale.
L’occasion pour moi, entre autre, de pouvoir :
-
Assister à un gigantesque concours de bulles de chewing-gum.
-
Dédicacer un … comment dire… un bidule (?) rose à TiBlond en souvenir de sa Pink’d Party, lui dire au revoir puisqu’il repart dans sa ville, et lui faire promettre de revenir bientôt nous organiser la Pink’d Volume II.
-
Faire enfin la connaissance de Willoo qui me charriait depuis quelques temps par blog interposé sur mes histoires de culottes vendues sur Ebay.
-
Admirer le sens de l’organisation de Jo…elle, qui s’est trimballé ses enceintes pour la musique, et ses faux photophores pour l’ambiance romantico-intimiste (et dans un autre registre, ses délicieux mini muffins pour nos estomacs !).
-
Apprendre que Matt et Guillaume n’ont toujours pas monté leur duo comique sur scène, mais que devant le nombre de demandes, ils vont peut-être reconsidérer la chose (à quand un « Matt & Guillaume au Bataclan » ?).
-
Se faire des nouveaux amis inattendus, tel Mister T-shirt yellow tout bourré, qui s’est tapé l’incruste vaillamment toute la soirée après être allé dégobiller l’air de rien derrière un arbre à trois mètres de là.
-
Faire des grands signes en hurlant « vive Daniel Guichard » (Célinette, inutile de nier, on t’a tous entendue !) à tous les bateaux-mouches remplis de touristes qui passent sur la Seine.
-
Avoir une envie folle de faire pipi, mais devoir se retenir vaille que vaille, parce que les cafés sont trop éloignés, et les arbres trop étroits.
Une bien jolie soirée pleine de gaieté pour conclure le mois de juillet en beauté… J’vais finir par y prendre goût, moi, aux soirées de blogueurs…

*La Fraise, pour ceux qui ne connaissent pas, c’est un site de jolis t-shirts et c’est ici que ça se passe. Bon, j’ai l’air de faire ma maligne là comme ça, mais y’a encore deux mois, j’en avais jamais entendu parler, alors pas de complexe s’il vous plait !

24 juillet 2006

La vie en rose

pink(Trois ans après tous les autres, pour cause de non-accès à Internet durant le week-end !)

Samedi dernier, c’était la première édition de la Pink’d Party, organisée par Victor au Zoco Bar : toute une floppée de blogueurs et amis de blogueurs vêtus de rose et buvant de la téquila fraise, ça a de quoi intriguer, c’est sûr !
En tant que petite nouvelle dans la blogosphère (trois mois, c’est que dalle, comparé à certains vétérans), ce rendez-vous était ma première vraie rencontre entre blogueurs, et j’y allais avec beaucoup de motivation et un peu d’appréhension à l’idée de ne connaître personne.
En même temps, étant officiellement la centième inscrite, Victor m’avait promit un cadeau : je ne pouvais pas faire marche arrière (comment ça, je suis une fille intéressée, qui a prononcé ce mot ?).
Une fois sur place, je me sens un peu comme un cheveu au milieu de la soupe. Tout le monde a l’air de se connaître depuis des lustres, et j’ai l’impression de faire tâche dans le tableau. Heureusement, je resitue très rapidement grâce aux photos de la Fraise Mob 3 quelques frimousses de blogueuses que je connais virtuellement.
Petit à petit, téquila-fraise aidant peut-être un peu, les liens se nouent plus facilement, et un début de rencontre qui me laissait perplexe se transforme finalement en soirée très agréable, pleine de rires, de bonne humeur et de jolies rencontres.
C’était un grand plaisir de rencontrer « pour de vrai » La Méchante pas si méchante, Célinette l’impertinente, Jo...elle l’attachante et Larcenette la pétillante.
Message spécial à mes autres compagnons de fin de soirée, Astigo, Guiyom, Matthieu, Peter et Eric : j’ai fini les pieds en sang (non, je n’exagère jamais) à cause de mes fucking shoes, et je vais pouvoir relancer le cours de l’action Hansaplast et Mercurochrome avec tous les pansements dont je vais avoir besoin. Promis, la prochaine fois, je mets des tongs !
Merci à Astigo pour m’avoir déposée devant ma porte malgré l’heure plus que tardive. (Tu voulais que je te remercie dans mon billet et que je vante ta galanterie légendaire, voilà qui est fait !!! ;-) )
Remerciements également à Raphaël, mon binôme d’interview de fin de soirée devant la caméra de Patrick de Dekablog. Y’a pas à dire, on a été brillant – c’est le mot juste je pense - de répartie ! Même s’il a boycotté le rose (shame on him !).
Enfin merci à Victor pour l’organisation de la soirée, et pour le cadeau de la centième inscrite : une belle bouteille de téquila à la fraise, en avant première française, s’il vous plait.

C’est quand qu’on va où pour la prochaine soirée ? 

EDIT du 25/07 : pleins de vidéos de la soirée ici !

 

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