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Gin Fizz
24 février 2013

Kitchen Invaders

 invader_blog

Petit clin d'oeil déco pour l'article du jour. Si toi aussi, tu t'ennuies les dimanches après-midi froids et neigeux, j'ai l'idée qu'il te faut pour t'occuper environ quinze minutes. (C'est déjà ça de pris). Et par la même occasion, donner un petit coup de pep's "urban style" à ton interieur douillet.

J'ai trouvé ces petites pochettes stickers "Invaders" dans une boutique-caverne-d'Alibaba, et j'ai sauté sur les modèles rouge et noir qui s'accorderaient parfaitement avec la déco de ma cuisine, aux placards rouge vif et stores gris anthracite. (Je sais, je suis trop fofolle parfois).

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Ce week-end, zou, passage à l'action :

// Dégraissage du mur, histoire que les stickers collent bien (et tiennent plus de 4 jours, si possible).

// Gros calcul savant pour positionner le tout premier sticker.

// Concentration et langue tirée pour coller tous les autres à peu près régulièrement.

// Admiration du résultat.

Tadaaaaaaammmmm... !!! Ma cuisine adopte désormais un look urbain digne des grandes villes du monde redécorées par l'artiste Invader.

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Comment ça, "c'est pas posé très droit tout ça madame !" ? Heu... c'est fait ex-eu-près, d'accord ? Bon.


Pas encore décidé où je vais poser le sticker noir. Peut-être sur le miroir de l'entrée... ? On verra ça dimanche prochain. S'il neige !

Stickers Stikaz, environ 6 euros, trouvés chez La Minaudière, 43, rue de la Folie-Méricourt, Paris 11.

 

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16 octobre 2012

Paris Paris combien, parie tout ce que tu veux

Paris_Priceless_2

Les parisiens sont râleurs, c'est un fait. Pourtant, dans leur grande majorité, ce sont aussi bien souvent des amoureux notoires de leur belle ville, capables de s'émouvoir de choses finalement simples, mais essentielles à leur bien-être et leur bonheur de citadin.
Moi, parisienne depuis presque toujours, je me surprends parfois à admirer ma ville avec des yeux de touriste, ou à l'inverse, j'aime parvenir à l'apprivoiser comme si je la connaissais par coeur, même si c'est bien entendu très illusoire...

J'aime quand, par exemple :

* Je rentre de voyage, de vacances, et m'imagine à la place d'un étranger qui débarquerait à Paris pour la première fois. Les taxis de l'aéroport qui filent à toute allure, le métro crasseux qui recèle pourtant de jolies stations, les lignes aériennes qui enjambent la Seine et laissent découvrir au détour d'un virage quelques uns des plus beaux monuments au monde. (Oui, je suis un peu chauvine là, je m'en rends bien compte). J'aime imaginer ce que pourrait penser un touriste anglais, japonais ou turc, qui découvre enfin la ville Lumière après l'avoir vue sous toutes les coutures dans les films et sur les cartes postales.

* Les rares fois où je dois me lever à l'aube, j'aime redécouvrir Paris encore endormie aux premiers rayons du soleil. Les rues calmes, les boulangeries qui distillent la bonne odeur du croissant frais, ou le métro qui ne draine pas encore son flot de jeunes cadres dynamiques des heures de pointes. Cliché, certainement, mais dans ces moments, j'aime me sentir parisienne.

* J'aime bien repasser devant l'immeuble où j'ai habité petite. Notre premier logement parisien, sur ce grand boulevard du 11ème arrondissement, qui n'avait à l'époque pas du tout la même connotation bobo qu'aujourd'hui. Regarder "nos" fenêtres, imaginer la nouvelle vie qui se déroule derrière. Est-ce aussi une famille avec trois enfants ? Et le commerçant en bas de l'immeuble, a-t-il changé ? Ah non, il a juste modernisé son enseigne, mais il est toujours là... Nostalgie du temps passé, et en même temps satisfaction du chemin parcouru depuis ces moments-là...

* Malgré mon horreur de prendre le scooter, j'aime rentrer tard le soir en 2-roues en passager arrière, et voir défiler autour de moi la ville et ses lumières. Le jeu continuel des feux tricolores, les enseignes allumées toute la nuit, les phares des voitures, les réverbères des trottoirs... Un spectacle son et lumières que je savoure en silence, murée dans mon casque qui assourdit le bruit autour mais le rend encore plus intense en même temps. Pour un peu, je me croirais presque dans mon propre générique de "Paris Dernière".

* J'aime enfin savoir qu'ici, tout est possible. Musées, théâtres, opéras, vernissages, spectacles de rue, petits concerts dans les bars, nouveaux restaurants... partout, tout le temps, il peut se passer quelque chose. Je n'y participe pas la plupart des jours, bien sûr, mais je sais que la ville est là, autour de moi, bien vivante, bien vibrante, et qu'il n'y aurait qu'à descendre dans la rue pour bousculer un peu mon ordinaire.

...
Pourquoi je vous raconte tout ça ? Non, je n'ai pas respiré trop de parfum de nostalgie ce week-end, ni avalé un paquet entier de madeleines de Proust. Je rebondis juste sur le sujet principal d'une très chouette opération dont j'ai eu envie de vous parler :

"Il y a certaines choses qui ne s'achètent pas...". Ce slogan vous dit certainement quelque chose. Depuis 1999, c'est une partie de la signature de communication de Mastercard, qui capitalise sur ce concept fort pour lancer, en cette fin d'année 2012, un projet de grande envergure à destination des parisiens (ou des amoureux de Paris) : Mon Paris Priceless. Forte d'une longue étude menée auprès de parisiens, la marque a déterminé tout ce qui rend Paris "priceless" aux yeux de ses habitants. A 80%, ceux-ci se déclarent toujours émerveillés par cette ville, et 74% considèrent que l'on y vit plus de moments inestimables, comparé à d'autres villes françaises ou internationales.

Entouré de partenaires prestigieux tels que Le Fooding, l'Opéra National de Paris, le Plaza Athénée, la Salle Pleyel..., Mastercard entame donc dans les prochaines semaines un programme Paris Priceless destiné à faire partager aux participants des instants uniques et privilégiés, leur permettant ainsi de vivre un moment qui n'a pas de prix. Quelques exemples : faire son marché de Noël à Rungis accompagné d'un chef triplement étoilé, découvrir les coulisses du grand Opéra de Paris, jouer à la pelote basque sur un frontis situé au dernier étage d'un somptueux immeuble ayant vue sur le tout Paris, etc.

Si tout se passe comme prévu, j'aurai bientôt la chance de vivre mon petit moment priceless à moi, dont je vous reparlerai ici. Quant à vous, tenez-vous prêts le 14 novembre prochain, car Paris deviendra très spécial lors de ce Priceless Day, avec mille surprises disséminées sur la base du hasard dans les rues (ou ailleurs). Soyez aux aguets pour vous laisser surprendre et savourer un moment qui ne s'achète pas...

(Billet absolument pas sponsorisé, si ce n'est par l'envie de partager une opération de communication qui me plait beaucoup).

12 septembre 2012

Blog-notes #5

post_it4Oui, ça faisait longtemps, mais la rubrique Blog-notes renaît de ses cendres en cette rentrée chargée. Allez zou, un bon plan, et deux coups de coeur. Paf, comme ça, d'un coup !

LECTURE DU SOIR :
Je cherchais pour cet été un bouquin "suspensifiant" que je n'aurai pas envie de lâcher. Après un appel à l'aide sur Twitter, on m'a conseillé (merci miss) Avant d'aller dormir. Et autant vous le dire, aller dormir, c'était un peu le cadet de mes soucis tellement j'ai été prise par cette lecture ! Pourtant, ce n'est pas un polar classique, avec meurtre et découverte du cadavre au chapitre 1, et intrigue menée tambour battant jusqu'aux dernières pages où l'on découvre que, haaan, en fait c'était le gentil le coupable. Non, ici, point de revolver, d'autopsie ou d'interrogatoire policier.
L'héroïne, Christine, est une anglaise quarantenaire qui se réveille chaque matin avec un affreux trou de mémoire. Qui est-elle, qui est l'homme a côté de qui elle se réveille ? Mystère. Sur les conseils d'un médecin, elle va se mettre à relater chaque soir dans un journal le contenu de ses journées et les infos qu'elle a accumulées au sujet de sa vie, dans le but d'apprivoiser un peu mieux son quotidien. Mais petit à petit, en relisant ces pages, elle perçoit plusieurs incohérences entre ce que lui racontent ses proches d'un jour à l'autre, et ses quelques souvenirs éparses qui lui reviennent par flash. La vérité n'est peut-être pas celle qu'on s'acharne à lui raconter...
(Bon, je suis franchement nulle pour faire un pitch, ne vous fiez pas à ce résumé un peu minable).

Avant_d_aller_dormirJ'aime autant vous prévenir, le style d'écriture est un peu lent, on répète beaucoup les choses (puisqu'il faut répéter à l'héroïne qui elle est, chaque jour), mais pourtant, on ne s'ennuie pas un instant. Au contraire, il est très facile de se glisser dans la peau de Christine et de s'imaginer avoir perdu la mémoire (pourquoi ? comment ?), d'imaginer le désarroi dans lequel elle est plongée, et de cogiter sur "et si ça m'arrivait à moi, comment se passeraient les choses ?".
J'ai avalé ce bouquin en 3 jours chrono, et si ça n'est pas LE livre du siècle, j'en garde une très bonne impression et une envie de le recommander à mon entourage. Vous savez ce qu'il vous reste à faire...

Avant d'aller dormir, S.J. Watson, Editions Sonatine.

ADDICTIF :
Je ne vous parle jamais de séries télévisées sur ce blog, et pourtant, j'en consomme pas mal. J'en regarde certaines toute seule dans mon coin (forcément, Chéribibi n'est pas super fan des scénarios larmoyants de Grey's Anatomy...), mais d'autres constituent souvent notre programme visuel du soir (quand un foutu match de foot ne vient pas interrompre ce déroulé huilé). Dernière jolie découverte en date : Homeland. Vous en avez peut-être entendu parler, puisque la série débarque sur Canal + cette saison, et la chaîne fait un gros battage médiatique autour.
L'histoire, en gros : un soldat américain rentre au pays après avoir passé 8 ans séquestré et torturé par les forces afghanes. La nation le traite en héros et lui déroule le tapis rouge, mais Carrie Mathison, agent de la CIA bien rôdée aux techniques de guerre du Moyen-Orient, est persuadée que le bonhomme n'est pas aussi clean qu'il en a l'air, et qu'il pourrait bien être infiltré à la solde d'Al-Quaida. Elle devra tout mettre en oeuvre pour convaincre ses dirigeants que son intuition est justifiée, malgré ses méthodes de travail peu orthodoxes et un comportement qui ne prêche pas en sa faveur.

HomelandUn peu molasson au début (j'ai failli lâcher l'affaire au second épisode), la série prend vite un rythme soutenu et nous entraîne dans la psychose (justifiée ou pas) de Carrie tandis qu'elle progresse pas à pas dans son enquête. Certaines scènes m'ont fait bondir au plafond devant si peu de réalisme ("mais bien sûr, un agent de la CIA qui réagit comme ça, ben voyons") mais l'ensemble est quand même finement joué et remplit bien son rôle divertissant. Une première saison courte (12 épisodes), une seconde en cours de diffusion aux US... voilà au moins une série qui ne s'éternise pas sur 24 épisodes et va droit au but. Jolie réussite !

 

FASHION BON PLAN DU WEEK-END :
Avis aux fauchées, aux radines... ou tout simplement à n'importe qui ayant envie de faire quelques bonnes affaires modesques sans vendre un rein ! Vendredi et samedi prochain aura lieu la nouvelle édition du Vide-Dressing Violette Sauvage, où plus de 150 fashionistas en herbe viendront proposer à des prix touti-mini-riquiquis le trop-plein de leur penderie. Un lieu central (Bastille), un droit d'entrée minime (2 €) et tout plein de bonnes affaires à faire. Perso, j'y serai samedi en tant que vendeuse, car mon récent déménagement m'a permis d'exhumer de mon placard des tonnes de trucs qui seront ravis de s'offrir une seconde vie. A vos marques, prêtes... 

Plus d'infos sur Facebook, ici.

Vide_dressing     Vide_dressing_adresse

 

10 mai 2012

Les talons hauts rapprochent les filles du ciel

Les Talons Hauts rapprochent les filles du cielL'autre jour, j'étais tranquille j'étais peinarde, en train de surfer sur le oueb (bonjour l'expression ringarde) quand j'ai reçu ce message qui me disait en substance : "Hey Ginfizzette, je publie mon premier roman policier dans les jours qui viennent, ça te dit de le lire en avant prem's et de me dire ce que tu en penses ?".

J'ai évidemment sauté sur l'occasion, parce que :
1. Quand un copain vous demande un service aussi simple que ça, on ne peut décemment pas refuser,
(1 bis. Même si le copain en question vous contacte plus pour votre mega influence sur le web, plutôt que pour prendre de vos nouvelles),
2. Je partais en vacances peu de temps après et n'avais rien de précis à lire dans l'avion,
(2 bis. Et quand même douze heures de vol avec escale),
3. Quand il s'agit de critiquer le travail des autres, vous me connaissez, je suis toujours là,
(3 bis. Et en plus, j'avais carte blanche, puisque le copain en question m'a dit "balance, dis moi ce que tu en penses honnêtement").

Du coup, j'ai enfourné son petit fascicule couleur jaune poussin dans ma valise (faudra qu'on cause de cette couverture assez hideuse, d'ailleurs), et roulez roulez petits bolides.

Et j'ai lu. D'abord en traînant des pieds (ou des pages), parce que j'ai toujours un mal de chien à rentrer dans un nouveau bouquin.

Et j'ai commencé à me prendre au jeu.

Et j'ai dévoré le tout en trois jours à peine (mais y'a triche, monsieur l'arbitre, j'avais beaucoup de temps libre, alors ça compte qu'à moitié).

Le pitch, en gros, c'est facile : Fitz, oiseau des nuits branchées parisiennes, se trouve embarqué malgré lui dans une chasse au serial killer s'attaquant aux jeunes filles rencontrées en boîtes de nuit. Avec un flegme attachant et un flair très relatif, le jeune homme va suivre la piste du meurtrier, quitte à y laisser quelques plumes...

(Bon, c'est là que je me dis que décrire un roman en trois lignes, c'est tout un métier. J'aurais mieux fait de recopier la quatrième de couv').

Après avoir dit ça, je suis supposée vous donner mon avis. C'est là que les choses se corsent. Parce que ce n'est jamais très facile de parler du travail de quelqu'un qu'on connait. Certains pourraient penser qu'on a tendance à être plus bienveillant, justement parce qu'on connait l'autre. Personnellement, je me suis trouvée très dure dans mes pensées, en lisant ce roman. Avec la critique facile, le reproche à la volée, et le jugement parfois très tranché. "Ah, j'aurais pas choisi ce mot là. Tiens, c'est vraiment mal dit, cette phrase. Pfff, cette expression qui revient toutes les trois pages, c'est agaçant !"

La jalousie peut-être ? Ou simplement l'envie d'avoir, comme Olivier, réussi à écrire Son roman, et à le faire publier, qui plus est. Ouais, sans doute. Une pincée de jalousie... (allez, va, on va dire ça, ça lui fera plaisir).

Et puis passé ce premier regard mesquin, je me suis plongée dans l'intrigue, j'ai retrouvé avec un sourire quelques touches autobiographiques, et des expressions que j'ai effectivement entendues mille fois dans sa bouche. Le style est plaisant, les références amusantes. Et les 375 pages sont passées toutes seules !

Honnêtement, l'intrigue n'est pas bien folichonne (Paris, des filles, de la vodka, un serial killer) mais ce n'est pas pour elle qu'on aimera le livre. Mais pour ses personnages attachants (certains plus que d'autres), quelques dialogues de haute voltige, et un dénouement qui, ma foi, m'a quand même surprise, malgré un scénario cousu de fil blanc. Ca, plus un titre franchement accrocheur.

La presse féminine ne s'y est pas trompée (je ne sais pas si c'est vraiment un argument vendeur). Biba, Cosmo, Elle et compagnie ont déjà reconnu ce polar comme un très bon "chick thriller", et les critiques élogieuses pleuvent sur "Les Talons Hauts...". Ce roman a été couronné (ça se dit ?) du prix du premier Roman au festival de Beaune, et est "Coup de coeur" des vendeurs de la Fnac. Rien que ça.

En attendant de lire la suite, déjà en préparation (oui, madame), je vais archiver précieusement mon exemplaire dédicacé. Si ça se trouve, je connais le nouveau Guillaume Musso ? (Sauf qu'il y en a un des deux qui se foule légèrement plus pour sa recherche de titres).


Les Talons hauts rapprochent les filles du ciel, Olivier Gay
Editions du Masque. 6,60 € (pas cher mon fils)

 

20 février 2012

Trois p'tits tours et puis s'en va

Des Petits Hauts

Je me fais rare ces temps-ci, je sais. Manque de temps, manque d'idées, esprit mobilisé par des sujets personnels pas très groovy-baby, ou au contraire temps libre occupé par des projets sympas (organiser les prochaines vacances !), grisaille ambiante, léger ras-le-bol... les raisons sont nombreuses.

Il n'empêche, ce n'est pas non plus une excuse valable pour laisser tomber ce blog trop longtemps. Alors pour vous donner malgré tout un peu de lecture, je vous propose, si cela vous tente, d'aller faire un tour du côté du Glossy Blog, où j'opère régulièrement en tant que rédactrice, uniquement sur des sujets qui me tiennent à coeur.

En vrac, je vous suggère quelques sujets mode et culture/confiture rédigés ces dernières semaines (cliquer sur les images pour accéder à l'article en question) :

* La nouvelle collection Princesse Tamtam, tuerie intersidérale (mais un peu comme toutes leurs collections printemps-été, à vrai dire...)


Princesse Tamtam Body   Maillot Ida  Maillot Evasione

 

* La nouvelle collection de bijoux fantaisie AlphaBeta, la classe à l'état pur.

Drip me  Share me et Mix me  Spleen Me et Arlequin me

 

* La nouvelle collection Des Petits Hauts, explosion de couleurs et de douceur.

Des Petits Hauts 1     Des Petits Hauts 2



* Ma nouvelle addiction de gourmande pour le Bubble Tea (le quoi ?) (allez, filez donc lire !).

Bubble tea

 

* Ma vision de la version moderne du Bourgeois Gentilhomme, avec François Morel, au Théâtre de la Porte Saint-Martin.

Affiche Théâtre

 

* Une idée de cadeau pour vous, les hommes, avec le premier opus du blogueur et dandy Thierry Richard.

Paris Hommes 1     Paris Hommes 2



Quant à moi, je reviens vite (...) pour papoter vernis, Chéribibi, voyages et autres sujets in-con-tour-nables ici ! A très bientôt !



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6 février 2012

Hey mister DJ, put a record on

Ipod et dragibus2

L'autre jour, prise d'une subite envie de refaire l'intégrale de ma bibliothèque Itunes (en fait, c'était ça ou étendre le linge pour la troisième fois en un week-end), j'ai passé plusieurs heures à recomposer de A à Z toutes les playlists de mon Ipod. J'ai donc classé par grandes thématiques le genre de musique que j'ai envie d'écouter, selon mon humeur et/ou le moment de la journée.

Au début, j'ai commencé super simple en créant ma liste "Vrac" : un gros fourre-tout, qui contient à peu près tous les titres que je suis susceptible d'avoir envie d'écouter quand je suis en balade hors de chez moi, dans le métro, le train, la salle d'attente. Autant dire, à ce stade, que je n'avais donc rien trié du tout, et que le titre "Vrac" était judicieusement choisi ! Du coup, j'ai affiné petit à petit, et de fil en aiguille, je me suis retrouvée avec des playlists de plus en plus tordues.

Commençons par les soft et bien pratiques :

"Ambiance (de la brousse)" : un ramassis de trucs un peu cool et bobo, parfait à coller en fond musical quand j'ai des amis à la maison et pas envie de me relever tous les 12 titres pour changer le CD. Ca défile, tout seul, passant du Metronomy au Jack Johnson, tout en naviguant sur la quasi intégrale des Paris Dernière. Simple, facile, efficace. (Et comme la liste dure plus de six heures, ça m'évite le coup du pote qui profite d'un silence entre deux CD pour me coller d'office son dernier truc à la mode-tu-vas-voir-c'est-génial). (Et au passage, aucun rapport avec la brousse, vous l'aurez compris).

"Daily Candy" parle d'elle-même : les pépites du moment que je peux écouter en boucle (oui, j'ai une sacrée facilité pour écouter douze fois de suite un titre s'il me plait vraiment). Ces jours-ci, je tourne avec Gotye (ça s'écoute tout seul !), la so critiquée Lana Del Rey, et l'album d'Angus et Julia Stone.

"Frenchimimi" rassemble uniquement des chanteurs et chanteuses françaises. Parce qu'il y a des moments où j'ai juste envie d'entendre des jolis textes, des jolies voix, ... ou du Patrick Bruel. (Si, ça m'arrive, vous pouvez lancer vos cailloux, j'assume complet).

"Garde la pêche", c'est la playlist parfaite pour quand je cours. Quand je quoi ? Ah ah, je ne cours jamais, ne soyez pas bêtes. Mais SI je courrais, ce serait totalement le genre de musiques entrainantes que j'aurais envie d'avoir dans mes écouteurs : la B.O de Drive, du Beyoncé (bah ouais), du Madonna vieille époque, ou les Black Eyed Peas...

Et puis, y'a les playlists, je me demande encore par quel masochisme je les ai créées (cette phrase sonne bizarre, non ?) :

"C'est bon la honte" pourrait me coller la chouma sur dix générations, tellement elle recèle de trucs honteux. Nan. Naaaaaannn, n'insistez pas, je ne dirai rien sans la présence de mon avocat. Mais il se pourrait bien que trainent par là du Amel Bent, du Larusso, des comédies musicales, ou le générique de Star Academy saison 1 (ouille !) (laaaa musiqueeuuuuuu, oui, la musiqueeuuu).

Et puis j'ai aussi créé "Cry Baby", dans un élan de... de nostalgie pleurnichouillarde, je dirais. Dedans, tous les tubes qui me collent immédiatement le bourdon et l'envie de chouiner à grosses larmes : les slows de mes boums d'ado (Still loving youuuuuuu), les musiques qui me rappellent ce garçon qui m'avait brisé le coeur à 17 ans, ou cette chanson de Jean-Jacques Goldman qui symbolise une très vieille amitié de lycée brisée en plein élan par les aléas de la vie (c'est beau non ?) et les déménagements à l'étranger décidés par les parents, ces sacrés fouteurs de merde de l'époque.
Inutile de préciser que je n'écoute cette playlist qu'en très petit comité (genre en face à face avec moi-même) et toujours dans les moments un peu sombres, histoire de bien toucher le fond et de creuser encore un peu. (Les mystères de la nature humaine, je ne me les explique pas toujours...)

On pourrait, je crois, écrire une thèse en 5 volumes sur la façon dont les gens segmentent et renomment les listes de leur lecteur MP3. J'ai une copine qui ne s'enquiquine pas trop la vie, elle fait ses listes par jour de la semaine. Une liste pour le lundi, une pour le mardi... L'histoire ne dit pas si elle s'y tient vraiment quand elle enfile ses écouteurs (un peu comme le coup des culottes brodées d'un jour de semaine. Qui va aller vérifier que vous portez bien la culotte "mercredi" le jour dit, hein ?). Une autre copine laisse des messages assez équivoques dans son Ipod : ses listes se nomment "move your fat ass, bitch", "no pain no gain" ou "après l'effort...". (Faudra que je lui demande à l'occasion si elle se fait suivre par un psy) (ou un nutritionniste).

Chacun son truc, chacun sa façon de faire... Et vous, qu'est-ce qu'il raconte sur vous, votre Ipod ?

23 décembre 2011

Jingle bells

décoration de Noel

Certes, je ne suis pas très présente ici ces derniers jours, mais ça ne m'empêchera pas de passer en coup de vent pour vous souhaiter à toutes et tous un très Joyeux Noël, plein de buches, de rennes, de feux de cheminée et de sapins enguirlandés.

J'aurais aimé vous dire que j'allais passer l'entre-fêtes à siroter du bubble tea sous un plaid, vautrée sur mon canapé, le chat d'un côté, le Chéribibi de l'autre, devant mes dvd favoris en cette saison. Oui, souvent, je me refais les films qui ont bercé mon enfance et adolescence (Les Goonies, The Breakfast Club, Dirty Dancing, Mon père ce héros, Lady Hawke, L'Histoire sans fin...). Et of course, les best-of Disney proposés par la téloche, seul programme à peu près valable en cette période.

Mais non. Pas de jours off pour moi cette année, je serai bon petit soldat fidèle au poste à mon bureau. Pour mieux repartir en vacances un peu plus tard ? Qui sait... (suspenmmmmssss)

Du coup, c'est à vous de me faire rêver un peu ! Alors, votre programme pour ces fêtes ?

Et sinon, on se retrouve ici, entre nous, en 2012 ? A très vite tout le monde...


26 avril 2011

Blog-Notes #4

post_it4

ECOLO :
Je suis heureuse et très fière de vous annoncer que je viens d'adopter Marguerite. Marguerite pèse tout juste 33g, a été recueillie sur une plage de France mais ne se sentait pas du tout à sa place. Ah oui... Marguerite est une petite bouteille de lait en plastique, abandonnée lâchement par son propriétaire, comme des tonnes d'autres déchets, laissés à l'abandon chaque année en pleine nature.
En partenariat avec l'ONF (Office National des Forêts), la marque DOP lance l'opération "Adopte un déchet" pour aider à nettoyer toutes les plages de France. Le principe est simple : "adoptons" chacun un déchet virtuel en nous rendant sur ce site. Pour chaque kilo de déchet adopté en ligne, Dop s'engage à financer le ramassage d'un kilo de déchets réels, et de rendre nos plages plus belles (celles de l'ïle d'Oléron dans un premier temps). Ca ne vous dit pas, de trouver des plages clean et propres quand vous déboulerez cet été, serviette et parasol à la main ?


Dop

 

RIGOLO :
m_gotdefiContinuons dans le registre "sauvons la planète" avec une autre initiative très amusante : Flore a 22 ans, et pour le soutien d'un super projet associatif au Pérou (reforestation et commerce équitable), elle a décidé de se lancer dans un pari un peu fou et atypique : constituer une véritable robe réalisée uniquement à partir de mégots de cigarettes ramassés dans les rues durant vingt jours. Soyez sûrs qu'elle trouvera bien assez de matière pour réaliser sa robe, puisque plus de 4,5 billions de mégots sont dispersés dans le monde chaque année. Rien que ça !
Pour soutenir son projet, Flore collecte des fonds sur son site : lemegotdefi.com. Le défi commence aujourd'hui mardi 26 avril. Cette opération bénéficie du soutien de la Mairie de Paris, ainsi que du fabriquant de cendriers de poche NOmad attitudd (le but du projet ne s'inscrit pas dans une logique anti-tabac, mais bel et bien dans une démarche de respect de l'environnement et recyclage des déchets).
Pour aider Flore et son projet mégot-fashionesque : faites connaître le site autour de vous, suivez le déroulé de ses aventures, et éventuellement, faites un petit don sur le site. Ah, et pour info... les mégots salissent et polluent autant que les papiers et mouchoirs jetés à la va-vite, voire même que les crottes de chien. Ca colle juste un peu moins aux semelles...

 


DECO :

book_1Moi qui ait des envies de déménagement ces temps-ci, je vous recommande chaudement ces deux petits ouvrages colorés et sympathiques comme tout :
* La déco des parisiennes (petits appartements girly à Paris) :  Même si je ne supporte plus trop le terme "girly" utilisé à tout va, voici douze petits appartements de jeunes parisiennes passionnées de déco. Souvent de très bonnes idées pour meubler et décorer de petits espaces, les rendre chaleureux, cosy et féminins.
* L'art de vivre des parisiennes (nids douillets pour familles d'aujourd'hui) : Les home sweet home de femmes (et/ou mères de familles) modernes, souvent artistes (architecte, décoratrice, designer...) sont une source d'inspiration parfaite pour y piocher LA petite idée qui fera mouche chez vous !
Chaque livre est complété d'un mini carnet d'adresses, et ils sont un vrai plaisir à feuilleter, pleins de pep's et de couleurs.

Aux éditions Chêne, 16,90 € chacun.


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Bonne (et courte) semaine à tous !

21 mars 2011

Blog-Notes #3

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SOUTENU :
Le Japon vit des heures bien sombres, nous en sommes tous conscients. Au delà de toute l'aide morale et humanitaire à laquelle chacun peut participer comme il le souhaite, l'art peut également soutenir à sa façon cette sinistre cause. C'est le cas du projet Tsunami, des images pour le Japon, créé à l'initiative de la communauté CFSL (forum créatif consacré au graphisme, à l'illustration, à la bd, au manga, etc).
Un site qui rassemble les dessins et illustrations de nombreux artistes, leur vision du chaos nippon, du besoin d'aide et de la lueur d'espoir devant les images terrifiantes diffusées depuis quelques jours.
Ces dessins sont mis aux enchères, et seront également rassemblés dans un ouvrage collectif, dont tous les bénéfices des ventes iront à l'association Give2Asia, pour l'aide et la reconstruction du Japon. Parce que relayer l'information, c'est déjà aider un peu... (vu chez Caroline, et chez Libé).

krystel_magnitude_9

Krystel – http://krystelblog.blogspot.com/

thibautrassat_japon

Thibaut Rassat – http://thibautrassat.illustrateur.org/

quibe_tsunennemi

Quibe – quibelog.blogspot.com


COUP DE COEUR :

"Prête-moi ta plume..." chantait l'ami Pierrot, dans la comptine bien connue. Ce petit refrain conviendrait parfaitement à la société Porte-Plume, qui conçoit et édite des livres et recueils entièrement personnalisés. L'idée est belle : imaginez tout ce que votre grand-père aurait à raconter, lui qui a vécu deux guerres, deux chocs pétroliers, les années flower power et douze naissances parmi ses descendants ! Quelle belle idée que de lui offrir la possibilité d'écrire sa biographie, pour la partager avec toute sa nombreuse famille ! En se racontant, il confie à des professionnels chargés de mettre en mots et en page sa vie, ses souvenirs, ses anecdotes. Ilustrations et photos viennent compléter l'ouvrage, un beau livre relié et cartonné chargé de mémoire et d'émotion, édité en un ou plusieurs exemplaires.
Le procédé existe aussi autour des recettes de famille, recettes que l'on se transmet souvent de mère en fille, sorte de "patrimoine culinaire" précieux et riche de souvenirs savoureux. Porte-Plume permet là aussi de rassembler au sein d'un bel ouvrage personnalisé, les meilleures recettes de différentes générations, agrémentées de petits récits et souvenirs propres à celles-ci, pour aller au delà du simple recueil culinaire. Un livre "madeleine de Proust" que les membres d'une tribu auront plaisir à transmettre à leurs petits enfants.
Une très jolie idée de cadeau collectif à offrir à ses parents ou grands-parents, et à inscrire dès maintenant sur la liste des idées sympas pour la fête des mères/pères. Chiche, cette année, ça changera du traditionnel bouquet !


JUST FOR THE FUN OF IT :
¿ sɹǝʌuǝ,l à ǝɹıɹɔé ɹıoʌɐs ǝp ʇıɐɹıp snoʌ ɐɔ. Traduction (à lire en renversant la tête) : Ca vous dirait de savoir écrire à l'envers ? Oui, effectivement, ça ne sert à rien, si ce n'est à être drôle. Pour finir ce blog-notes sur un ton un peu plus léger, je vous donne donc les clés de ce procédé : il suffit de se rendre ici, et d'écrire la phrase à transformer pour obtenir la "traduction" en effet miroir. Je vous préviens tout de suite, envoyer un e-mail entier écrit ainsi risque de coller la migraine au destinataire, donc on fait dans le léger et le court. (Et si tout le monde me colle son commentaire en "verlan" sous cet article, j'aime autant vous dire que je ne partagerai plus mes trouvailles avec vous, non mais !).

Allez, bonne semaine à toutes / tous !

31 janvier 2011

Email Diamant (ou j'ai testé pour vous le blanchiment des dents)

dentsRetrouver un sourire ultra bright... Voilà bien une vieille lubie qui me trottait dans la tête depuis des lustres, régulièrement stoppée dans le passage à l'acte par le prix exorbitant pratiqué par mon dentiste ("mmm, non, j'vais plutôt m'offrir quinze jours de vacances, à choisir...") et les techniques un peu olé-olé des cabinets esthétiques qui ont poussé comme des champignons dans les rues de France dernièrement. Et puis une nouvelle offre apparue récemment, sans l'aide de substances (trop ?) chimiques et à un prix d'appel intéressant, m'a fait sauter le pas. C'est donc toute guillerette et détendue que je me suis rendue au centre de blanchiment, la semaine dernière, prête à retrouver mon sourire de star hollywoodienne.

La porte à peine poussée, je suis accueillie par le sourire éclatant et la politesse enjouée de notre hôte, que j'appellerai James pour les besoins narratifs. James est beau gosse, certes, mais surtout digne représentant de son business, avec ses jolies dents blanches bien alignées. A priori, je suis donc au bon endroit pour causer quenottes éclatantes.

James m'installe dans l'un des trois box du cabinet, et me précise le déroulé de la séance. C'est là que je commence à me dire qu'on n'est pas vraiment parti pour une grosse marrade. Moi qui pensais venir me détendre à ma pause déj', je vois bien que je n'ai pas misé sur le bon cheval. (Note personnelle : la prochaine fois, me contenter d'une séance shopping).

On commence par se frotter les dents avec un gel posé sur une mini éponge, afin de déposer toute trace de nourriture et/ou de résidu qui risquerait d'altérer le bon résultat. Je me sens un peu couillonne de me quasi-brosser les dents devant James comme si on se connaissait depuis un bail, d'autant que lui ne se lasse pas de sourire (il a du en voir d'autres, je sais bien), et continue à m'expliquer le processus. Il me dégaine alors une affreuse gouttière en plastoque qu'il remplie d'un gel visqueux, que je vais devoir mordre à belles dents pour bien répartir le produit.

Bon. Quand faut y aller, faut y aller. Et je ne suis pas venue pour enfiler des perles, à ce que je sache. Dont acte. Je mords. Et je me retiens de vomir, aussi, devant la sensation assez étrange de gélatine qui se répand partout dans la bouche. (Je refuse catégoriquement de mirer mon joli look dans le miroir posé en face de moi, sous peine d'avoir envie de me mettre à pleurer, en plus).
James, toujours toutes dents dehors, s'assure que la gouttière est bien placée, et continue à m'expliquer : en me plaçant devant la lumière qui fait agir le produit, je vais devoir sourire le plus possible, "comme si je voulais faire bronzer mes dents". Ah ? Ah oui donc là, je ne vais pas pouvoir dormir peinarde, en fait, c'est ça ? C'est ça.

Impossible pour moi d'articuler le moindre mot. Je marmonne donc un vague "mmmfffpppp" qui pourrait vouloir dire aussi bien "ok j'ai tout compris, ça roule" que "putain mais sortez-moi de là, au secours", et James s'en va, me laissant en tête à tête avec ma gouttière, mon gel visqueux, mon sourire forcé et un superbe film de Yann Arthus-Bertrand pour me distraire (ha ha, c'te blague aussi !)

Pendant près de vingt minutes, je me force donc à sourire de toutes mes dents devant la loupiote bleutée, afin d'optimiser le traitement. Inutile de préciser qu'au bout d'à peine huit, j'ai déjà mal aux maxilaires, et que la jeune femme souriante doit plus ressembler à un poney crispé exhibant ses ratiches.

Diiiiing, le premier round est terminé. James accourt, un grand gobelet à la main, et me demande de retirer la gouttière. Je comprends assez rapidement le pourquoi du comment de la présence du gobelet, à l'énorme filet de bave qui coule en même temps que la gouttière que je retire. Glamour, vous avez dit glamour ? Ah non c'est la porte à côté !
Oui, plus la peine de faire des cachotteries sur le sujet : se faire blanchir les dents est TOUT sauf un acte sensuel et délicat, sachez-le. (James, arrête de me regarder crachouiller ma bave, pitié, j'ai déjà bien assez honte comme ça...).

Une fois l'épisode bave/rinçage de bouche/essuyage terminé, nous voilà repartis pour une nouvelle séance de vingt minutes. Lumière bleue, sourire forcé, film hilarant, tutti quanti...
James passe régulièrement la tête pour demander si tout va bien, et je lui réponds régulièrement un "hunnaaahunnn" courtois.

Au bout de la 3ème et dernière session, je n'en peux littéralement plus de toute cette opération. J'ai l'intérieur de la bouche tout fripé, l'impression d'avoir roulé une mega pelle à un Kiss Kool (rapport au goût mentholé du produit), l'envie d'envoyer bouler James quand il me redemande de sourire à pleines dents, et je connais tout des inondations au Bangladesh, pays cher à Arthus-Bertrand.

Quand sonne enfin l'heure de la délivrance, je suis à deux doigts de
l'infarctus de la mâchoire, et supplie James du regard pour qu'il me débarrasse enfin de tout l'attirail anti-glam'. Re-bavouille, re-crachouille, re-rincage de dents.
Et enfin, tadaaaaammmm, résultats en direct live dans le miroir du cabinet. Wouhaaa, ça flashe ! Mes dents sont effectivement plus blanches, et surtout, leur teinte est bien uniformisée, ce qui donne un bel effet fraicheur et netteté à mon sourire. James me prévient que la teinte va redescendre d'une tonalité d'ici douze heures, mais que je vais garder le bel effet uniformité pendant quatre à cinq mois, en fonction de mon mode de vie (cigarettes, café, thé...).

Hé bien, merci pour tout, au revoir, à la prochaine, bonjour chez vous (vite, partir d'ici, avant qu'on ne me fasse le moindre chantage avec les images volées de ces situations embarrassantes et baveuses que je viens de vivre).

Verdict à dix jours de l'opération : La teinte wouhhaaaaouuu obtenue à la sortie du cabinet est effectivement retombée, peut-être un poil plus que ce que j'espérais, d'ailleurs. Je conserve néanmoins une bonne régularité de teinte sur l'ensemble des dents. Gros bémol cependant en ce qui me concerne : deux endroits des gencives complètement irrités depuis le traitement, que je soigne à grands renforts de gel-pansement et bain de bouche. Je précise que j'ai les gencives ultra sensibles, et que l'amie qui a réalisé le blanchiment en même temps que moi n'a pas rencontré ce problème.
Bilan de l'opération et note personnelle : 6/10.   


17 janvier 2011

Blog-Notes #2

post_it4ENTENDU :
Facebook, bientôt mort ? Peut-être bien... Partant du principe - sans doute assez vrai - que l'on ne peut se lier d'amitié (de VRAIE amitié, j'entends) qu'avec une soixantaine de personnes maximum, l'application Iphone PATH reprend tous les codes du réseau social, à la différence qu'elle ne vous permet de sélectionner que cinquante ami(e)s. Pas un de plus.  Il va donc falloir la jouer serrer. Ouste la vieille cousine amie sur Facebook avec qui on ne cause que tous les 36 du mois pour parler cadeau collectif de mariage de famille. Dehors les vagues copinous des années lycée à qui on n'a plus jamais adressé la parole, sortis des traditionnels "et tu deviens quoi, sinon ?". Du balai, les relous croisés en soirées et autres cocktails pseudo-mondains, dont on s'est juste échangés le nom pour faire grossir le chiffre de notre compteur friendien (oui, ce mot n'existe pas, et alors ?). Le bon vieil adage "la qualité, pas la quantité", ça vous dit quelque chose ?


TESTE :
Envoyer un mail à mon moi futur. En ce début d'année, je ne prendrai pas de bonnes résolutions (vu que je ne les tiens pas plus loin que le 12 Janvier, soyons honnête), mais je me suis dit qu'un petit bilan sur moi-même était peut-être plus approprié. Sauf qu'au lieu de le consigner dans un journal intime que je n'ai pas, ou de le griffonner sur un carnet que je vais clairement paumer dans le bordel ambiant des tiroirs de mon bureau, j'ai préféré recourir à la technique so mignonne du site www.futureme.org, qui propose de s'envoyer un mail à une date future. Dans un mois, un an, cinq ans (suspemmmmmssss), je recevrai donc ce message mystérieux que je me suis écrit à moi-même, et qui retrace au moment M mon petit bilan de vie, mes envies, mes attentes et mes rêves futurs. Aurai-je évolué ? (je me le souhaite). Aurai-je accompli une partie de ce que j'ai en tête ces temps-ci ? (je me le souhaite aussi !)...
Bon, pour faire simple et plus léger, on peut aussi juste se souhaiter un joyeux anniversaire, s'envoyer une photo de soi avant régime, faire un cahier de grossesse ou de naissance en s'envoyant régulièrement des mails à une date clé très lointaine... que sais-je encore !
(Adresse de site trouvée dans le fabuleux livre My Little Paris dont je vous ai déjà parlé)


COUP DE COEUR :

Les addicts aux vernis à ongles passaient déjà pas mal de temps à argumenter en faveur du rouge pétant so glam et femme fatale ou du marron taupe so chic et raffiné, à grands coups de référence de vernis Chanel, OPI et consorts. Dior relance tous les débats, avec sa nouvelle collection de 3 vernis City Gris, inspiré des 3 métropoles les plus fashion et tendance : Paris, of course, incarne le gris Montaigne sobre et chic, comme l'avenue du même nom. Londres évoque l'emblématique brouillard dans un gris teinté de reflet bleus, nommé Bond Street. New-York, quant à elle, inspire l'asphalte luisant et le reflet des buildings dans un gris métallisé très stylé, NY 57th (du nom de l'adresse mythique de la boutique Dior à NY).

GrisCity_DIOR


Mes pauvres petites mimines ont trop souffert de stress dernièrement pour que je vous inflige la photo des knakis peinturlurées avec ces petites merveilles chromatiques, mais je vous poste une photo du gris Montaigne porté (mon coup de coeur) dès que possible.


TO COME :
Et comme cette rubrique s'appelle "Blog-Notes", j'ai bien le droit d'y parler de mon blog, et de vous dire que, si tout se passe bien, j'aurai très prochainement une nouvelle jolie bannière ici, qui remplacera l'actuelle, déjà en place depuis.. pfouuuu... plus de 4 ans ! (c'est une honte !). Quelque chose de plus simple, de plus classique (terminées, les multiples petites photos fourre-tout) mais peut-être de plus sobre aussi, qui correspond sans doute plus à mon "moi blogueuse" actuel. Pour le reste, on ne change rien. Vous, moi, les billets d'humeur, les petites notes sur les coups de coeur ou les coups de gueule, les concours de temps en temps, et tutti va bene !

Excellente semaine à toutes / tous !

 

4 janvier 2011

Happy 2011 !

chaussetteOuf. Ca y est. Une fois de plus, les fêtes sont derrière nous. On est tranquille pour un bon moment avant de recommencer la sempiternelle course aux cadeaux, et la quête du menu parfait à la fois traditionnel MAIS original. Pffioouuu...

Manque plus qu'on débarrasse tous les sapins agonisants dans les caniveaux et que les centaines de cadavres de bouteilles de champagne entassés au pied des bennes de recyclage du verre soient embarquées, et zou, on pourra définitivement considérer que l'année 2011 est bel et bien lancée !

Oui, vous l'aurez compris, cette période est loin d'être ma préférée de l'année, je suis définitivement plus une fille de l'été. Mais ça ne m'empêchera pas de vous souhaiter une nouvelle année pétillante, chavirante et enivrante, pleine de douceur et de petites folies, de soleil et de confettis, de chamallows et de chantilly !

Et j'en profite au passage pour vous remercier de continuer à lire mes petites bulles de vie depuis bientôt 5 ans déjà, bon gré mal gré, en fonction de l'inspiration, des envies, du temps disponible, ou des aléas de la vie.

Très belle année 2011 à toutes et tous !

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