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Gin Fizz

17 janvier 2011

Blog-Notes #2

post_it4ENTENDU :
Facebook, bientôt mort ? Peut-être bien... Partant du principe - sans doute assez vrai - que l'on ne peut se lier d'amitié (de VRAIE amitié, j'entends) qu'avec une soixantaine de personnes maximum, l'application Iphone PATH reprend tous les codes du réseau social, à la différence qu'elle ne vous permet de sélectionner que cinquante ami(e)s. Pas un de plus.  Il va donc falloir la jouer serrer. Ouste la vieille cousine amie sur Facebook avec qui on ne cause que tous les 36 du mois pour parler cadeau collectif de mariage de famille. Dehors les vagues copinous des années lycée à qui on n'a plus jamais adressé la parole, sortis des traditionnels "et tu deviens quoi, sinon ?". Du balai, les relous croisés en soirées et autres cocktails pseudo-mondains, dont on s'est juste échangés le nom pour faire grossir le chiffre de notre compteur friendien (oui, ce mot n'existe pas, et alors ?). Le bon vieil adage "la qualité, pas la quantité", ça vous dit quelque chose ?


TESTE :
Envoyer un mail à mon moi futur. En ce début d'année, je ne prendrai pas de bonnes résolutions (vu que je ne les tiens pas plus loin que le 12 Janvier, soyons honnête), mais je me suis dit qu'un petit bilan sur moi-même était peut-être plus approprié. Sauf qu'au lieu de le consigner dans un journal intime que je n'ai pas, ou de le griffonner sur un carnet que je vais clairement paumer dans le bordel ambiant des tiroirs de mon bureau, j'ai préféré recourir à la technique so mignonne du site www.futureme.org, qui propose de s'envoyer un mail à une date future. Dans un mois, un an, cinq ans (suspemmmmmssss), je recevrai donc ce message mystérieux que je me suis écrit à moi-même, et qui retrace au moment M mon petit bilan de vie, mes envies, mes attentes et mes rêves futurs. Aurai-je évolué ? (je me le souhaite). Aurai-je accompli une partie de ce que j'ai en tête ces temps-ci ? (je me le souhaite aussi !)...
Bon, pour faire simple et plus léger, on peut aussi juste se souhaiter un joyeux anniversaire, s'envoyer une photo de soi avant régime, faire un cahier de grossesse ou de naissance en s'envoyant régulièrement des mails à une date clé très lointaine... que sais-je encore !
(Adresse de site trouvée dans le fabuleux livre My Little Paris dont je vous ai déjà parlé)


COUP DE COEUR :

Les addicts aux vernis à ongles passaient déjà pas mal de temps à argumenter en faveur du rouge pétant so glam et femme fatale ou du marron taupe so chic et raffiné, à grands coups de référence de vernis Chanel, OPI et consorts. Dior relance tous les débats, avec sa nouvelle collection de 3 vernis City Gris, inspiré des 3 métropoles les plus fashion et tendance : Paris, of course, incarne le gris Montaigne sobre et chic, comme l'avenue du même nom. Londres évoque l'emblématique brouillard dans un gris teinté de reflet bleus, nommé Bond Street. New-York, quant à elle, inspire l'asphalte luisant et le reflet des buildings dans un gris métallisé très stylé, NY 57th (du nom de l'adresse mythique de la boutique Dior à NY).

GrisCity_DIOR


Mes pauvres petites mimines ont trop souffert de stress dernièrement pour que je vous inflige la photo des knakis peinturlurées avec ces petites merveilles chromatiques, mais je vous poste une photo du gris Montaigne porté (mon coup de coeur) dès que possible.


TO COME :
Et comme cette rubrique s'appelle "Blog-Notes", j'ai bien le droit d'y parler de mon blog, et de vous dire que, si tout se passe bien, j'aurai très prochainement une nouvelle jolie bannière ici, qui remplacera l'actuelle, déjà en place depuis.. pfouuuu... plus de 4 ans ! (c'est une honte !). Quelque chose de plus simple, de plus classique (terminées, les multiples petites photos fourre-tout) mais peut-être de plus sobre aussi, qui correspond sans doute plus à mon "moi blogueuse" actuel. Pour le reste, on ne change rien. Vous, moi, les billets d'humeur, les petites notes sur les coups de coeur ou les coups de gueule, les concours de temps en temps, et tutti va bene !

Excellente semaine à toutes / tous !

 

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4 janvier 2011

Happy 2011 !

chaussetteOuf. Ca y est. Une fois de plus, les fêtes sont derrière nous. On est tranquille pour un bon moment avant de recommencer la sempiternelle course aux cadeaux, et la quête du menu parfait à la fois traditionnel MAIS original. Pffioouuu...

Manque plus qu'on débarrasse tous les sapins agonisants dans les caniveaux et que les centaines de cadavres de bouteilles de champagne entassés au pied des bennes de recyclage du verre soient embarquées, et zou, on pourra définitivement considérer que l'année 2011 est bel et bien lancée !

Oui, vous l'aurez compris, cette période est loin d'être ma préférée de l'année, je suis définitivement plus une fille de l'été. Mais ça ne m'empêchera pas de vous souhaiter une nouvelle année pétillante, chavirante et enivrante, pleine de douceur et de petites folies, de soleil et de confettis, de chamallows et de chantilly !

Et j'en profite au passage pour vous remercier de continuer à lire mes petites bulles de vie depuis bientôt 5 ans déjà, bon gré mal gré, en fonction de l'inspiration, des envies, du temps disponible, ou des aléas de la vie.

Très belle année 2011 à toutes et tous !

21 décembre 2010

My Little Paris, le livre : un cadeau qu'il est beau ! (Concours inside)

photoHey, psssstttt ! Pour les retardataires du cadeau de Noël, j'ai LE bon plan de dernière minute (bon, ok, tellement de dernière minute qu'il ne sera peut-être pas à temps sous le sapin, mais bref...).

My Little Paris, vous connaissez ? Mais siiiiii, le super site de tous les bons plans parisiens et de toutes les adresses secrètes et insolites in qu'on se refile sous le manteau pour connaître les meilleurs endroits de la capitale. Ahhh, vous voyez, que ça vous intéresse, j'en vois d'ici qui ont la pupille qui se dilate et qui brille !

Fort de son succès croissant, le site devient aujourd'hui un livre, rassemblant en 150 pages le meilleur du best of de tous ces bons plans (un peu comme un bêtisier de fin d'année, voyez, mais en sélectionnant uniquement le "plus mieux"), dans un ravissant petit ouvrage à la maquette raffinée, ni trop fifille, ni trop "n-ième guide parisien qui se la pète".

Au programme, au hasard des pages ouvertes :
- retrouver le cercle des poètes disparus
- accepter une demande en non-mariage
- assister à une messe de gospel comme à Harlem
- déguster un dîner qui voltige
- apprendre la chorégraphie de Dirty Dancing
- servir de cobaye à un chef étoilé junior
- s'envoyer un mail à soi-même dans dix ans
...
Je n'en dis pas plus, au risque de gâcher la jolie surprise !

Ce que je peux vous dire, en revanche, c'est que j'ai exceptionnellement 5 exemplaires de ce bouquin à vous offrir, et que ça me fait drôlement plaisir, à la veille de Noël ! Tenté(e)s ? Hé ben hop, fastoche ! Un petit commentaire ci-dessous, et si le sort est avec vous, My Little Paris arrivera direct dans votre boîte aux lettres d'ici quelques jours. Bioutifoul, isn't it ?
Date limite de participation : dimanche 26 décembre 2010, 19h. A vos claviers & good luck !

My Little Paris, le Paris secret des Parisiennes
Éditions du Chêne, 14,90 €
Plus d'infos sur le livre ici !

EDIT : Concours terminé, merci pour vos participations (et vos voeux !). Les 5 happy gagnantes sont (pour cette fois-ci) : Céline in Paris, Hanae-Combines, Clairechen, Eldoé et Rimini ! Joyeux Noël un poil en retard, les filles ! Envoyez-moi vite vos coordonnées par mail par le biais du formulaire "contacter l'auteur".


20 décembre 2010

Instantané #3

Petits plaisirs d'hiver et note d'ambiance cocooning. J'ai bien une cheminée dans mon salon, mais on ne peut pas y faire de feu. Qu'à cela ne tienne, j'ai trouvé le parfait subterfuge...

bougie1_Pola_20101213214627

Bougie Durance, Feu de Bois.


Pour faire illusion, l'odeur légèrement boisée des bougies Durance l'emporte sur le crépitement des bûches jetées dans le feu. Également testée, mais pas validée : la bougie qui imite le crépitement, chez Hype Noses. Sincèrement, beaucoup de bruit pour rien (façon de parler, on n'entend pas grand chose...).

Prochaine étape ? Peut-être le faux feu de cheminée, comme Anne-So l'avait présenté il y a quelques temps ? Mmm, pas sûr que Chéribibi ne soit vraiment d'accord...

Bonne semaine hivernale à tous... et joyeux compte à rebours jusqu'au 24 !

 

13 décembre 2010

Oh mon Bento-oooo, tu es le plus beau des Bentos !

Colis_(Attention, note à forte teneur en kawaïeries).

Ma dernière lubie arrive tout droit du Japon. De Kyoto, pour être précise. Tout ça parce qu'un beau jour, partant du constat qu'on avait au bureau une bien belle cuisine équipée d'un micro-ondes, mais pas des tonnes de petits endroits où déjeuner dans le quartier (sans y perdre un bras et un oeil, j'entends), j'ai décrété que j'avais absolument besoin d'un bento.
"Gnééé ?", "qu'est-ce qu'elle dit, la dame ?". Mais siiiii, un BEN-TO. Une jolie boîte japonaise dans laquelle on colle son repas ou son pique-nique, mais mille fois plus belle qu'un moche tuperware. Le genre de truc qui file direct la classe devant les collègues, quoi.

J'ai donc ardemment arpenté les pages virtuelles de mon ordinateur (ceux qui me rétorqueront qu'on trouve des Bentos à la pelle dans le quartier des restos japonais - soit à deux pas du bureau - seront à tout jamais bannis de ce blog, au motif de n'avoir définitivement PAS compris le fonctionnement tortueux d'une fille comme moi), pour finir par atterrir chez Bento&Co, bien joli site tout choupi, chez qui j'ai immédiatement trouvé mon bonheur.

Bien entendu, j'ai rajouté pleins de merdouilles à ma commande, en plus du bento initialement prévu. Ils sont fourbes, ces japonais, je ne vous dis pas. Et vas-y que je te colle des tas de trucs rigolos et colorés tout girly partout. Ca n'a pas loupé, je suis tombée dans le panneau direct ! "Ajouter au panier" ? Oui !

Et du coup, tadaaaaammmmmmm, voilà mon nouveau tout joli tuperware top chic qui se la raconte trop :

bento1

bento_2
Des petites fioles / bouteilles pour transporter de la sauce (genre, je vais faire ma vinaigrette. Genre.)

Bento_3
Des séparateurs d'aliments, pour que le riz n'aille pas fricoter de trop près avec les petits pois !

bento_4
Avouez qu'elle a de la gueule, ma lunch-box, non ?

Bon.
OK.
J'admets.
Tout ceci ne fait pas très "working girl trentenaire" ni "executive woman à responsabilités". Soit.
Mais quand même... des séparateurs en forme de lapin, quoi ! Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !

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29 novembre 2010

Méthode Couette

couetteJe me fais un peu moins présente ici ces temps-ci, vous l'aurez remarqué. Je pourrais vous inventer que c'est parce que j'ai une vie sociale complètement débridée, à base de cocktails mondains, avant-premières et vernissages en tout genre, mais qui me croirait, casanière comme je suis ? Je pourrais vous laisser entendre que c'est parce que j'ai tellement de boulot ces derniers jours, pfiouuuu-la-la-c'est-difficile... mais qui avalerait ça, l'approche des fêtes de fin d'année ayant plutôt tendance à calmer le jeu dans mon type de profession. Je pourrais aussi vous faire croire que j'étais partie cette dernière semaine sous de lointaines contrées exotiques, mais la nuance 'bidet blafard option cachet d'aspirine' de mon teint démasquerait vite fait le subterfuge (ou alors, c'est que je serais partie en Norvège).

Non, la raison est toute autre, et tellement plus évidente. Je suis simplement entrée en hibernation. Point barre. Ne cherchez pas plus loin.

Avec l'hiver qui s'affirme et les températures qui plongent, l'appel de la couette est définitivement le plus fort, et j'ai mille fois tendance à préférer m'y vautrer copieusement, munie d'un bon bouquin ou de mes dernières séries fétiches, plutôt qu'autre chose. Le pyjama en pilou-pilou n'est pas encore de mise, mais il ne faudrait pas me pousser beaucoup, je le sens.

Quant aux grasses matinées, elles n'ont jamais aussi bien porté leur nom. A ce stade, on pourrait presque parler de matinées obèses, même, puisqu'il m'est récemment arrivé de dormir jusqu'à... quinze heures non stop. (Oui, mais j'étais vraiment très fatiguée, monsieur le Juge).
Certes, je vous l'accorde, autant dire qu'après un tel marathon du sommeil, la journée entamée semble plutôt bien plombée. Mais qu'importe. En ce moment, rien ne me parait plus salvateur que quelques heures de sommeil en plus. Au diable le shopping, le remplissage du frigo et la sortie culturelle ! Dans mon lit, j'y suis, j'y reste ! Au moins, vous saurez où me trouver.

Autant vous dire que les matins de semaine, le réveil strident qui sonne au petit jour me donne grise mine. Et j'en viens, comme tous les ans à la même époque, à me poser la fatidique question : pourquoi ne passe-t-on jamais à l'heure d'hiver
pour le boulot aussi ? Hein ?
Partant du principe qu'on a moins d'énergie, qu'on doit la conserver pour lutter contre le froid de l'hiver, et qu'il est biologiquement prouvé (ah, ça, la nature est stricte sur ce point) que tout organisme a besoin d'un temps de latence pour retrouver toute sa vigueur, pourquoi (bordel) conserve-t-on le même foutu rythme de vie hiver comme été ?
A quand les journées de six heures de boulot de novembre à mars ? A quand les congés imposés dès que le mercure frôle le zéro ? A quand la médaille du mérite pour les dormeurs de plus de douze heures par nuit, qui R.E.S.P.E.C.T.E.N.T leur bio-rythme ? ;-)

Oh, ça va, je vous vois ricaner dans votre coin, à base de "elle est bien mignonne celle-ci, mais elle a pas trop les pieds sur terre et la réalité en face des trous" (ou un truc dans ce goût-là). Bon, hé ben très bien, puisqu'on ne peut pas discuter avec vous, je m'en vais bouder. Sous ma couette. Ah ah.


15 novembre 2010

Parigots, têtes de veaux ?

veauJusqu'à hier soir dimanche 18h, je ne savais pas trop ce que j'allais bien pouvoir raconter sur ce blog, et me voyais bien commencer la semaine en laissant honteusement ces pages virtuelles un peu en friche. Oh, ne le prenez pas personnellement, hein, mais comprenez-moi : je viens de passer cinq jours en pleine campagne, à respirer l'air pur pyrénéen, compter les feuilles des arbres qui tombent, sentir le doux soleil de fin d'automne réchauffer mes bras lors d'un ultime petit déjeuner en extérieur, et n'avoir aucune contrainte d'autre ordre que 'je lis d'abord le Elle ou je finis mon bouquin ?', 'apéro vautrée sur le canapé ou dehors face aux montagnes ?', 'jean/baskets ou... jean/baskets ?'. Ah ça, je peux vous dire que les neurones ont été sévèrement au repos pendant ce long week-end.

Et puis il a fallut rentrer.
Refaire son sac, reprendre le train, revenir vers Paris, sa grisaille et sa pluie de novembre.

C'est une fois le pied posé en gare Montparnasse que j'ai compris. Compris comment, en à peine cinq minutes chrono, tous les bienfaits d'un petit break au vert pouvaient s'envoler vite fait bien fait si l'on y prenait pas garde. Comment, en un claquement de doigt, toutes les bonnes ondes accumulées, toutes les heures de repos engrangées, tout le stress chassé, pouvaient, HOP, ZOU, BIM, refaire surface d'un coup d'un seul, pour peu que ma "douce" nature de parisienne reprenne ses droits (ou que je la laisse faire, surtout).

* Gare mal aménagée où les escaliers sont plus nombreux que les escalators (vas-y, paye ton lumbago à porter ta valise à roulettes qui sert à queud').
* Supra-bonne idée du chef de gare de faire coïncider à la même heure sur le même quai une arrivée de méga TGV bondé et un départ très prisé aussi (beaucoup plus drôle de voir tout le monde se télescoper dans tous les sens en courant, quand le quai juste à côté reste totalement désert).
* Montée de ton entre voyageurs sur le tapis roulant qui relie la gare à la station de métro (quelle idée, aussi, de s'étaler et de prendre autant de place sur un tapis de un mètre de large, comme si on était là pour prendre le thé !).
* Engueulades devant les machines à ticket, nan-j'étais-là-avant-vous-et-puis-la-queue-c'est-derrière-et-tu-crois-qu'on-poireaute-tous-pour-que-tu-nous-passes-devant-ducon ?
* Sans compter sur tous les gens qui courent dans tous les sens, qui crient que "c'est par làààààà", "noooon, à gauche", ou qui te collent leurs valises dans les mollets sans s'excuser sous prétexte qu'ils sont super pressés, là, tu vois ?

Dix minutes. Il ne m'aurait pas fallu plus de dix minutes pour perdre tout le bénéfice de cinq jours au grand air, si je m'étais laissée faire.
Sauf que. J'ai été plus forte, ha ha. Enfermée dans ma bulle de positive attitude (Lorie, sors de mon corps !), je suis vaillamment rentrée jusque chez moi malgré un parcours semé d'embûches, résolument convaincue que les bienfaits de mon petit séjour au vert résisteront un poil plus longtemps que quelques heures à peine en terre hostile parisienne.

Alors, à votre avis ? Combien de temps ? Trois jours à peine ? Fin de semaine ? Jusqu'à Noël ? On prend les paris ?


12 novembre 2010

Anti-rides, petit prix, maousse costaud (Concours L'Oréal inside)

revitaliftArticle sponsorisé

Hep pssstt, les filles... Vous vous en souvenez peut-être, je vous racontais il y a quelques temps que ma mère avait été rudement bien inspirée de s'abonner très tôt à l'emploi du L'Oréal Revitalift visage et cou en tant qu'anti ride quotidien, vu que celui-ci a été récemment reconnu comme l'un des meilleurs produits de sa catégorie, à la fois en terme d'efficacité et de rapport qualité-prix.

Si ça vous tente, vous aller pouvoir l'imiter et commencer, comme elle, votre cure de jeunesse, puisque j'ai
3 pots de Revitalift Visage et Cou à vous faire gagner ici. (Je vous dis ça comme ça, en passant, mais vous devriez tenter le coup, ma mère ne fait vraiiiiiiiiment pas son âge !) (Quoi ? Comment ça, je ne suis pas objective ? Ohhh, ca va hein, aussi...).

Puisqu'apparemment il vous faut des données scientifiques, en voici quelques unes qui devraient vous motiver un poil :

- Un soin n°1 en France, plébiscité par des millions de consommatrices (dont ma mère, donc. J'vous ai déjà parlé de ma mère ?)
- Le 1er soin "remaillant" contour et cou, qui ne laisse pas le temps alourdir les traits. Un résultat visible dès 4 semaines.
- Une formule alliant 2 fois plus d'Elastine que le soin de jour initial de la gamme, de la Vitafibrine, et du Pro-Rétinol A, tous puissants actifs contre les rides et la distension de la peau.
- Un prix tout petit-mini-riquiqui : moins de 12 euros le pot.

Pour 3 d'entres vous, le nirvana anti-rides n'est pas loin. Postez-moi dans les commentaires une petite anecdote en rapport avec vos premières rides, ou votre rituel beauté pour lutter contre elles. Je choisirai les trois personnes qui m'auront le plus interpellée, fait rire ou sourire. Et hop... elles recevront direct dans leur boîte aux lettres un exemplaire du nouveau
L'Oréal Revitalift. Magique, non ? Allez, à vos claviers ! Bonne chance à toutes !

10 novembre 2010

Bons baisers d'Amsterdam #2

moulinPreviously on Gin Fizz...

Ces quelques jours à Amsterdam m'auront donc vue me débattre avec un vélo, et m'instruire un peu... mais pas seulement ! "Et les petits restos ? Et la bonne bouffe, alors ?", que vous me criez tous en choeur dans les rangs ! Du calme, du calme, j'y arrive.

"Bonne bouffe", ce n'est pas spécialement ce que j'emploierais comme qualificatif pour décrire la cuisine néerlandaise. Vous allez encore penser que je passe mon temps à critiquer, mais enfin... c'est à dire... le chou farci et le hareng fumé n'ont jamais constitué mon coeur de gastronomie, désolée.
Rhoooo, ce n'est pas la peine de me regarder sur ce ton, hein. Certains peuvent courir ventre à terre à la première baraque à hareng frais du coin (l'équivalent des baraques à frites, si vous voulez), même s'il n'est que 10h du matin, même si l'on sort tout juste du petit déj'. Je ne fais pas partie de ces gens là. Il parait qu'il en faut pour tous les goûts, je respecte. (Juste... si " ces gens-là" pouvaient penser à se munir de Tic-Tac menthe, ce serait super sympa. Merci pour moi).

Autre point noir relevé (vous allez vraiment finir par penser que je suis chiante, non ?), le sens de la propreté n'est pas la priorité numéro 1 du pays, apparemment. En attestent les traces de bavures de café séché sur les tasses, ou mieux, la feuille de salade rabougrie rapportée sur la cuillère accompagnant celles-ci. Mmm, yummy.

Malgré tout, nous avons déniché 2 petites adresses sympathiques que je partage avec vous :
* Pour des brunchs sympa-top : Greenwoods, un salon de thé vaguement bio mais surtout très bon. Attention, on ferme les yeux sur les ongles crades et les ratiches de traviole de la patronne, et tout se passera bien. Mention TB pour les oeufs bénédictes, et les scones succulents.
Singel 103. 1012 VG Amsterdam. www.greenwoods.eu

brunch

C'est-ti pas tout choupi, ce petit décor typiquement nordique ? Manquerait plus qu'un élan pour décorer, et le compte est bon.


* Pour un repas typique du pays : Moeders, une brasserie servant des plats locaux, décorée de centaines de photographies de mamans, déposées par les clients, et dont toute la vaisselle est volontairement dépareillée, et donc joliment désordonnée.
Attention à ne pas être pressé, ni à ne pas être à cheval sur le sens du service à la française ! Pour vous donner une vague idée : devant l'incommensurable lenteur des plats à arriver à table, nous finissons par "checker" avec la serveuse que la commande est bien en route. Malheur ! Nous avons employé le mot "check", le même mot que pour "addition". Au lieu de nous servir enfin nos repas, la voici qui rapplique tout sourire avec... la note, alors que nous n'avons pas encore mangé. Je la voyais bien se poser quelques questions devant sa caisse enregistreuse, mais il ne lui a pas semblé plus bizarre que ça qu'on demande à payer pour des repas que nous n'avons pas consommé. Ils sont plutôt rigolos dans ce pays, je trouve !
Rozengracht 251. 1016 SX Amsterdam. www.moeders.com

resto1



Enfin, si l'envie vous prend de prendre un peu le large et de quitter le centre ville, enfourchez vos vélos (tsss, c'est moi qui dit ça !) et pédalez jusqu'aux îles de Java et Bornéo, un espace urbain résidentiel où les architectes ont laissé libre cours à leur imaginaire, où il fait bon prendre un bol d'air marin.


borneo1

pont

(Faut pas avoir trop picolé avant de voir ce pont, on risquerait de se poser des questions sur son taux d'alcoolémie...)

Ps : je serai en vadrouille sans trop d'accès à Internet ces prochains jours, je ne pourrai donc pas répondre à vos commentaires, mais je les lirai tous avec attention et plaisir dès mon retour ! ;-)

8 novembre 2010

Bons baisers d'Amsterdam #1

DSCN9196Il faut croire que j'aime particulièrement les villes à canaux : après Copenhague et Venise, c'est vers Amsterdam que mes pieds bottés ont embarqués le week-end dernier. Très vagues souvenirs d'une première virée au pays des tulipes il y a plus de dix ans déjà, qui méritaient d'être rafraîchis. Voilà qui est chose faite.

Une chose est certaine. Dans une ville comme Amsterdam, croyez-moi, mieux vaut aimer le vélo. Je n'ai absolument rien contre, mais si on pouvait avoir l'amabilité de nous fournir le code de la route qui va avec, ça irait d'autant mieux. Parce qu'il est évident, après trois jours d'observation et de pratique, que les amstellodamois ont un code de la route bien à eux, aussi obscur et indéchiffrable que le nom de leurs rues d'ailleurs. Les bicyclettes et les scooters s'y croisent à toute allure, sans jamais pourtant se percuter ni même donner l'impression que l'accident est inévitable, joli ballet virevoltant et slalomant. A ce stade, ça tiendrait presque du miracle pour nous, parisiens mal embouchés et excités du klaxon.

Seul défaut, se balader dans les rues de la ville relève plus du parcours Koh-Lantesque que de la promenade de santé. Les trottoirs sont envahis par les vélos garés (mal, souvent), et incitent à marcher sur la rue, où chaque cycliste nous frôle en tintinnabulant de la sonnette. Les carrefours nous colleraient vite un torticolis, à vérifier de tous côtés qu'aucun vélo fou ne déboule. Et ne parlons pas des tramways, qui surgissent de nulle part sans qu'on n'ait jamais bien compris s'il fallait regarder à gauche ou à droite avant de traverser. Bref, nous sommes tous revenus entier de ce week-end, et je m'en félicite (étonne ?) encore.

v_los

v_lofleuri


Totalement réfractaire au départ à l'idée de FAIRE du vélo moi-même (m'enfin, vous n'y pensez pas, déjà qu'à pieds, je manque de mourir d'un arrêt cardiaque toutes les trois minutes !), j'ai fini par me laisser convaincre ("on ne m'a pas laissé le choix" seraient les termes plus exacts, en fait) d'enfourcher moi aussi ma petite reine. Mmm... Comment vous dire ? Faudrait quand même prévenir que les freins, c'est le rétropédalage, les gars, merde ! C'était pas possible d'avoir deux manettes sur le guidon, comme tout le monde, non ?
Une fois passée l'apprivoisement de la bestiole à roues, restait à piger comment s'orienter dans la ville. C'est une chose de le faire à pied, avec arrêt-dépliage de plan à chaque coin de rue. C'en est une autre de le faire en vélo, avec lecture ultra rapide du nom des artères croisées au passage. Et je vous prie de croire que lire des trucs compliqués comme Bilderdijkstraat ou Weteringschans, ça met un peu de temps à monter au ciboulot. (Au passage, ça fait des supers noms à placer au scrabble, ces trucs, non ?).

DSCN9234


la_laiti_reNe croyez pas non plus que j'ai passé mes trois jours de week-end à batailler avec mon vélo. Non, j'ai aussi trouvé le temps de me culturifier un peu. Allez, une virée au RijskMuseum ET au Van Gogh Museum dans la foulée, hop hop hop, par ici la culture ! Verdict ? Après 35 minutes de queue dans le froid, je peux vous dire que j'attendais de pied ferme les merveilles de Rembrandt et Vermeer. Autant le somptueux Ronde de Nuit remplit bien son rôle de "j't'en colle pleins les mirettes", autant le minuscule La Laitière m'a laissé sur ma faim. Tout ce raffut pour une toile de la taille d'un timbre poste ? C'était bien la peine de chopper une bronchite, tiens ! Je caricature, évidemment, mais j'ai toujours en mémoire cette immense déception le jour où, du haut de mes onze ans, j'apprenais que le majestueux tableau de La Joconde si réputé et admiré dans le monde mesurait en fait la taille d'un vulgaire A4. Le talent ne se mesure pas en centimètres, certes. Mais quand même.

A suivre... Quelques bons plans resto / brunchs, et une petite échappée exotique !

coffee_ben

(Premier petit clin d'oeil private joke. Comprendra qui voudra !)

cabinet_chat

(Second clin d'oeil moins private joke : Mouii, je suis comme vous, je me demande pourquoi "ils" ont lourdement insisté sur le trou du cul du chat... !)


27 octobre 2010

Non au quotidien quotidien !

quotidienArticle sponsorisé

Si le concept de la routine "métro-boulot-dodo" vous fait fuir au plus haut point...
Si vous trouvez vous aussi que le train-train quotidien ne mérite que les rails de votre indifférence...
Si pour vous, le ronron, ce n'est bon que pour votre chat (et encore, il préfère Whiskas)...
Adoptez sans plus tarder le manifesto Non au Quotidien Quotidien !

Une pincée de créativité, une touche d'excentricité, un soupçon de fantaisie, et voilà un quotidien plus joli et moins gris !
Huit premières pistes pour enjoliver le quotidien et le rendre plus wiiiiizzzzzz :

1. Retomber en enfance et faire un repas "no vaisselle" : interdiction d'utiliser des couverts, on ne se sert que de ses doigts pour manger !
2. Utiliser les gommes du bureau pour faire des tampons-encreurs, et tamponner des petits motifs rigolos sur les post-it des collègues.
3. Se la jouer Punky Brewster, et sortir avec une Converse rouge, et une grise. Ou une bleue et une verte, hein !
4. Acheter un ticket de jeu à gratter. Ne pas le gratter tout de suite. Finir par l'oublier. Le retrouver au bout de cinq jours. Gagner 2 euros. Recommencer.
5. Se faire appeler par un autre prénom que le notre pendant une journée entière. (Si possible, un prénom qui nous plait).
6. Ecrire toute une lettre de la main gauche, si on est droitier (et inversement). Réussir à la faire lire à son voisin.
7. Prendre un petit déjeuner à l'heure du dîner. Pourquoi les tartines seraient uniquement réservées aux heures matinales ?
8. Porter une perruque pendant 24h, et comptabiliser le nombre de gens qui le remarquent, vraiment. Etre étonné(e), en fin de compte.

A votre tour ! Postez ici et/ou sur la page Facebook du Manifesto vos petites astuces pour un quotidien moins quotidien.

Et participez à la première e-flash mob qui réunira tous les fiers représentants du nouveau mouvement des Joyeux Lurons du Quotidien Plus si Quotidien !

Restez connectés, le meilleur reste à venir...

 

25 octobre 2010

Instantané #2

Ce week-end, c'était jour de grand tri de saison dans ma penderie. Au programme : descente à la cave, repêchage des housses de vêtements d'hiver pliés (ahem) sous vide, et grand chambardement pour échanger l'armoire d'été contre l'armoire d'hiver.
Je déteste dire bye bye à mes petites robes aux couleurs acidulées, pour récupérer à la place des gros gilets épais et des manteaux tout rabougris d'avoir passé les six derniers mois entassés sous vide. Sans compter que l'armoire, elle, garde la même taille... et que j'ai l'impression d'avoir juste quatre fois moins de place.

Photo immortalisée à mi-chemin de mon parcours du combattant, avec déjà les vêtements d'été repliés et rangés... et les quelques piles de pulls d'hiver encore à classer et à organiser. Mmm, j'adore ma vie.

tri_Pola_20101024214536

(Au milieu du capharnaüm, un chat guette sa soeur Anne par la fenêtre... Ca, c'était APRES m'avoir bien tapé sur les nerfs en se jetant à quatre pattes toutes griffes dehors sur les pulls en cachemires, et en se roulant en boule sur les écharpes en mohair...)

Alleeeeezzzzz, ouuaaaaaiiisssss, la semaine prochaine, je m'occupe du tri des chaussures. Super !

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