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Gin Fizz

6 novembre 2006

Pole position

pole_dance_4Dans le genre « idées saugrenues », Caroline nous en a dernièrement trouvé une bien bonne : aller tester un cours de pole dance au mythique club parisien Pink Paradise. « Qu’est-ce que c’est, madame, la pole dance ? ». C’est de la danse acrobatique et sensuelle autour d’une barre métallique verticale.

J’en vois déjà qui crient au scandale : c’est vulgaire, aguicheur et trop associé à l’univers sulfureux des strip-teases. Oui mais non, j’ai envie de dire. Bien sûr, l’idée de base reste de développer toute la sensualité qui est en nous (ahem...) et d’apprendre à exploiter tout notre potentiel érotique (fait chaud là, non ?). Mais c’est aussi une excellente façon de se dessiner un corps de rêve, puisque les exercices de pole dance requièrent une bonne musculature et une souplesse de félin.

Devant tant d’arguments, Deedee, et moi-même avons décidé fièrement de relever le défi de Caroline. C’est toutes les quatre que nous irons nous transformer en bombe sexy au Pink Paradise. Restait plus qu’à…

J’empoigne donc mon téléphone pour m’inscrire au prochain cours, et demander par la même occasion quelques détails. « Vous prenez un jogging pour l’échauffement, des talons hauts et un short pour la danse ». Premier gloups : un short ? Ah mais ça va pas être possible, ça, ma p’tite dame. Déjà parce que j’en ai pas, de short, et ensuite parce que non. Je sais bien que le ridicule ne tue pas, mais j’ai mes limites quand même. Ce sera bidouillage avec mon vieux jogging. Point barre.

Le jour J, nous arrivons une à une devant le Pink Paradise. Deuxième gloups : la porte d’entrée est ultra moche, on se croirait devant un garage automobile désaffecté à Nogent-le-Rotrou plutôt que devant l’un des clubs de strip-tease les plus réputés de la capitale. Pour un peu, je tournais les talons direct.

Enfin quand faut y aller, faut y aller. On ne va pas se dégonfler si près du but, moi aussi je veux un corps de rêve ! En plus de nous quatre, deux autres « élèves » se sont inscrites. Ce qui fait un cours de six personnes. Troisième gloups : je pensais pouvoir me fondre dans la masse, mais en étant si peu nombreuses, la prof ne nous lâchera pas d’un œil, c’est clair.

L’échauffement commence. Ca rigole, ça papote et ça pouffe au rythme des étirements et des petits sauts. La prof se marre, elle sait que dans dix minutes, on n’aura plus de souffle. C’est pas faux : quand vient l’heure de faire les abdos fessiers et les pompes, y’a plus personne pour ricaner, et tout le monde souffre en silence. Quatrième gloups : je vois d’ici les courbatures que je vais me taper demain. Ca déconne pas, la pole dance, dis donc.

C’est pourtant maintenant que les choses se corsent : talons chaussés, face à la barre, on attaque les mouvements de danse. Déhanchements à droite, cambrements à gauche. La prof nous demande de nous familiariser avec la barre, de nous lâcher un bon coup, de « faire les crâneuses ». Cinquième gloups : moi je voudrais bien faire la crâneuse, mais vu que je me sens sexy comme une dinde en string, j’ai un peu de mal à « ondouler » mon corps dans tous les sens.

Les mouvements se compliquent de plus en plus : petit pont, grand pont, coucher de soleil… La prof nous fait de belles démonstrations, sexy en diable. Vu de loin, ça a l’air hyper simple à faire. Sixième gloups : vu de près, c’est infernal. Mes talons se prennent dans la moquette, je perds sans cesse l’équilibre, et j’ai la paume des mains qui brûle à force de frotter à la barre. Pour la glamour attitude, on repassera, merci bien.

Vient le moment de faire une mini chorégraphie, histoire de dire qu’on sait enchaîner trois quatre mouvements en ayant l’air d’avoir fait ça toute notre vie. Prince en fond sonore nous susurre Kiiiiiiiiisssssss, et je dois à la fois me concentrer sur mes pas, compter les temps, vivre la musique et sourire. Septième gloups : sourire, ça je sais faire. Pour le reste, heu…

Le cours se termine par une petite séance d’improvisation, qui se révèle être une vraie torture. J’ai beau essayer de mettre en application ce que je viens d’apprendre, j’ai plus l’impression de faire mes courses chez Picard que de réaliser un show torride. Huitième gloups : le côté tigresse que je devais faire ressortir de moi, selon la prof, est resté sagement enfoui sous des tonnes de pudeur, de timidité et de complexes.

Définitivement, la pole dance, c’est pas mon truc. Trop acrobatique et aguicheur pour moi. Je vais plutôt me mettre à la salsa, c’est nettement plus reposant.
Il n’en reste pas moins que ce matin, en prenant le métro, j’ai regardé la barre au milieu du wagon d’un nouvel œil…


Cours de pole dance dispensés par la Pink School, au Pink Paradise

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3 novembre 2006

Marabout - Bout de ficelle

sort_4Sans aller jusqu’à dire que je suis maraboutée ou ensorcelée, je me demande bien pourquoi :

- Il n’y a jamais un seul stylo qui marche à portée de main quand je suis au téléphone avec un client important
- Tous les ordinateurs que je touche plantent au bout de douze minutes maximum
- C’est toujours quand je me lave les mains que mon téléphone se met à sonner
- Ou quand je suis déjà très en retard au boulot que la RATP me fait le coup de la mini grève surprise
- Ce bouton, là, sur le front ? Il n’était pas là hier, quand je moulais devant la télé ? Alors pourquoi il se pointe aujourd’hui, jour de mon dîner avec Bogosse ?
- Il pleut uniquement les jours où je me suis lavé les cheveux ; c’est comme une loi métaphysique, en somme
- Mes chaussettes finissent toujours par perdre leur collègue et se retrouver toute seule (je soupçonne l’existence d’un monde parallèle tout au fond de ma machine à laver)
- La photocopieuse affiche « fatal error system » et fait un bruit bizarre d’Airbus A380 juste avant de rentrer en réunion de clientèle ultra-méga-cruciale, et il me manque bien sûr trois copies du dossier
- « Non, je vous jure monsieur l’agent de la RATP, ma carte orange est dans mon autre sac à main, chez moi ; c’est parce que j’ai transvasé mes affaires dans ce sac-là ce matin, et… » (pourquoi des contrôleurs juste aujourd’hui ?)
- Le 11 novembre tombe un samedi, alors que j’ai tellement besoin d’un jour de congé
- C’est justement les soirs où je me couche tôt pour « récupérer et être en forme » que je ne ferme pas l’œil de la nuit
- C’est toujours pour ma pomme quand le distributeur de café est en rade de gobelet, et que le café coule désespérément dans le vide (sans parler de la touillette en plastoc, qui est toujours trop courte)
- Mon portable ne capte plus pile au moment où j’ai un coup de fil urgentissime à passer (qu’est-ce qu’ils fabriquent chez SFR, ils passent leur temps à jouer au baby-foot ou quoi ?)
- Je perds systématiquement tous mes parapluies (j’ai inventé le concept du parapluie jetable)
- Noël tombe encore en décembre cette année

2 novembre 2006

Deedee's questionnaire

L’un des grands trucs de la blogosphère, c’est de s’amuser à remplir des questionnaires sans queue ni tête et de les refiler ensuite à ses petits camarades blogueurs. Cette semaine, c’est deedee qui m’a refilé le cadeau, et comme je l’aime bien, deedee, je m’y prête de bonne grâce. Attention, moment passionnant en vue !

1°) Attrapez le livre le plus proche, allez à la page 18 et écrivez la 4ème ligne: Génial, ça commence fort : « 4. K22 – L22. Birague Rue de. 36 R St-Antoine. 1 Pl. des Vosges. Bastille ». Ah oui, le plan de Paris par arrondissement, c’est pas ce qu’il y a de plus palpitant, je vous l’accorde. Mais en même temps, avec une question comme ça, fallait pas s’attendre à du Baudelaire, non plus…

2°) Sans vérifier, quelle heure est-il ? 11h24
3°) Vérifiez: 11h24. Je-suis-trop-forte. (et j’ai triché, aussi)

4°) Que portez-vous ? Une tenue des jours bof : pantalon noir, pull gris, sautoir argenté (faut bien que je les porte de temps en temps, vu le nombre, hein ?), et ballerines. Pas de quoi affoler les foules, c’est sûr, mais vu mon envie débordante de venir bosser aujourd’hui, j’ai sauté dans les premières fringues que j’ai attrapées.

5°) Avant de répondre à ce questionnaire, que regardiez-vous ? Le calendrier. Je suis au regret de vous dire que mes prochaines vacances sont encore bien loin.
6°) Quel bruit entendez-vous à part celui de l’ordinateur ? Le balayeur de feuilles mortes dans la rue, Clarika en fond sonore et régulièrement, le téléphone strident qui vient rompre ma quiétude de fin de semaine. Si on ne peut plus glander tranquillement au bureau les lendemains de jours fériés, où va le monde ?

7°) Quand êtes-vous sortie la dernière fois, qu’avez-vous fait ? Un bon petit resto entre potes de toujours. Une valeur sûre pour passer une bonne soirée !
8°) Avez-vous rêvé cette nuit ?
« Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant,
d’une femme homme inconnue, et que j’aime, et qui m’aime,
et qui n’est, chaque fois, ni tout à fait la le même
ni tout à fait une autre, et m’aime et me comprend. »*
Et puis je me réveille à cause du chat qui miaule parce qu’il n’a plus de croquettes… super…

9°) Quand avez-vous ri la dernière fois ? Au fameux dîner entre potes, justement. Grâce à cette blague bien débile : « vous connaissez la blague du camenbert ? non ? bien fait ! »
10°) Qu’y a-t-il sur les murs de la pièce où vous êtes ? C’est moche. Des fiches de fonctions, des plannings, des chiffres et des tas de gens à rappeler. J’aurais préféré vous répondre de chez moi, mais je suis au bureau. Forcément, ça ressemble pas à ‘Elle Décoration’.

11°) Si vous deveniez multimillionnaire dans la nuit, quelle est la première chose que vous achèteriez ? Brad Pitt ET Johnny Depp. (Comment ça, on n’achète pas les gens, même en étant multimillionnaire ? C’est quoi c’t’arnaque ? Vous l’avez dit à Madonna ? Parce que je suis pas sûre qu’elle soit au courant, vu qu’elle s’achète des bébés africains comme vous et moi des paires de pompes…)
12°) Quel est le dernier film que vous ayez vu ? « Ne le dis à personne », en avant-première (merci Manu !), avec une bonne partie de l’équipe du film, dont Guiiiiiiiiiiillaume Caaaaaaaaaaaanet (cri dela greluche hystérique). Un bon thriller, un casting brillant, et une bande-son au top (faut dire qu’avec -M- aux commandes…), je recommande fortement !

13°) Avez-vous vu quelque chose d'étrange aujourd'hui ? Non, pas aujourd’hui. Mais hier, oui. C’est dommage que la question ne le demande pas, ça…
(et hop, pirouette-cacahouète pour esquiver une question où je ne savais absolument pas quoi répondre !)
14°) Que pensez-vous de ce questionnaire ? Qu’il y a franchement des gens qui ont des questions bizarres à poser. Je me demande aussi qui ça intéresse vraiment. Ca t’intéresse, toi ? Et toi là-bas ? Ca t’intéresse aussi ?

15°) Dites-nous quelque chose de vous que ne savons pas encore : J'ai répondu aux questions de ce questionnaire dans le désordre le plus complet.
16°) Quel serait le prénom de votre enfant si c'était une fille ? + 17°) Quel serait le prénom de votre enfant si c'était un garçon ? Ralph et Lauren. (Quoi ? comment ça, ça sonne bizarre ensemble ?)

18°) Avez-vous déjà pensé à vivre à l'étranger ? Oui. Mais ça m’est vite passé. J’aime trop les vrais croissants au petit déj’, faut croire…
19°) Que voudriez-vous que Dieu vous dise lorsque vous franchirez les portes du paradis ? « Ton Gin Fizz, tu le veux avec ou sans glaçons ? »

20°) Si vous pouviez changer quelque chose dans le monde en dehors de la culpabilité et la politique, que changeriez-vous ? Non, ce genre de question, c’est juste pas possible, on se croirait à l’élection de Miss France sur TF1 avec Fontenay et Foucault en cadeau bonux. Et c’est mon dernier mot, Jean-Pierre.
21°) Aimez-vous danser ? Théoriquement, oui, mais j’ai tellllllllllement l’impression d’être ridicule…

22°) Georges Bush ? The only bush I trust is mine. Démerdez-vous avec cette réponse-là...
23°) Quelle est la dernière chose que vous ayez regardée à la télévision ? Je regarde plus la télé depuis que je blogue, j’ai plus le temps. Et le pire, c’est que c’est vrai…

24°) Quelles sont les 4 personnes qui doivent prendre le relais sur leur blog ? Je n’oblige absolument personne, mais puisqu’il faut citer 4 noms, je dirais… mmm… réfléchissons… la méchante, TheCélinette, Amaury et Chandler & Pik (tu sais ce qu’elle te dit, la morue ;))

* Paul Eluard, pour les ignares :)
Maxi mega mea culpa : Paul Verlaine, of course !!! (là, je passe pour la sombre crétine au Q.I. de poule, mais c'est pas grave, j'assume, la tête haute ! Parfaitement ! (Tu parles... la honteeeeeee !)

31 octobre 2006

L'essentiel, c'est l'accessoire

colliers« Poursuivons la visite, si vous le voulez bien. Vous êtes maintenant dans la chambre à coucher, aux teintes légèrement rosées. Sur le mur de gauche, vous pouvez observer une fascinante collection de colliers et sautoirs fantaisie, dont les pièces les plus vétustes remontent pour certaines aux années collège, preuve de l’attachement de l’auteur à ces bijoux que l’on peut désormais qualifier d’"anciens" ».

Oui, j’admets, je suis un brin compulsive. Quand j’aime un truc (au hasard, disons les colliers et sautoirs fantaisie), j’aime pas ça à moitié. Le jour où la mode ne sera plus au sautoir, j’aurai l’air bien tarte, avec toute ma collec’ sur les bras. Mais en attendant, dès que je croise un spécimen qui ne trouve pas son équivalent plus ou moins grossier dans ce que je possède déjà, zou, j’achète.

Je trouve souvent mon bonheur chez Accessorize, Kookaï, H&M… et aussi (oui, j’avoue) Promod, Etam, et même Pimkie, une fois.
Rhhaaaaa, allez-y, jetez-moi des cailloux, j’ai déshonoré le dieu de la mode et du bon goût, je le mérite.

En même temps, si j’achetais toutes les babioles dont j’ai envie chez Agatha, Scooter, Gas et autres, c’est mon porte-monnaie qui ferait la gueule, et ma banquière qui m’appellerait par des noms d’oiseau. Faut savoir ce qu’on veut.

Et puis je vous livre une mini-info en or (peut-être que vous êtes déjà au courant, mais dans ce cas, soyez gentilles, faites comme si c’était pas le cas, me ruinez pas mon effet d’annonce, merci !). La grande majorité de ces petites merveilles vient d’une chaîne de boutiques absolument fabuleuses, au nom complètement imprononçable : Maijrev. Non, pas Majirev, comme « magie-rêve », ce serait beaucoup trop simple. Maijrev : un truc à consonance moldave ou que sais-je.
Ce sont généralement de toutes petites boutiques tout en longueur, si minus qu’une fois qu’on y est à quatre (vendeuse comprise), on se croirait au Queen un samedi soir tellement on ne peut pas remuer un bras sans se marcher sur les orteils. Pas ultra pratique pour essayer les accessoires vendus, j’en conviens.
Mais le sacrifice en vaut le coup, parce que les collections sont jolies, variées, produites en quantités limitées (donc peu de chance de voir le même collier sur toutes vos copines à la prochaine soirée), fréquemment réassorties, et d’un prix plutôt très correct.

Que demande le peuple… Les adresses ? Ah oui, le peuple pense à tout ! Impossible de trouver la liste des boutiques sur internet (à croire que les pages jaunes ne parlent pas moldave). Pour les parisiennes, il existe une boutique rue de Rivoli, juste en face du Séphora, vers la rue du Pont-Neuf. Et une autre rue Vavin, dans le VIème. Je vous laisse les commentaires ouverts pour en indiquer de nouvelles, car perso, je ne connais que ces deux-là.

Régulièrement, je tente de faire le tri dans tous ces colliers, parce qu’évidemment, dans le tas, y’en a une bonne dizaine que je ne mets jamais. Et puis soyons honnête, je ne peux pas me permettre de planter des clous sur toute la longueur du mur pour continuer à suspendre mes nouvelles acquisitions. A force, ça va devenir ridicule, on va finir pas se croire sur un stand Balaboosté.
Mais rien n’y fait. Au bout du compte, j’en élimine vaillamment deux, que je mets de côté en me disant « je les porte une dernière fois, et puis je les donne à quelqu’un ». Evidemment, je ne les donne jamais à personne car « ça peut toujours servir » ou « c’est encore joli, après tout », et ils finissent immanquablement par rejoindre les copains sur leur mur. Alors je plante d’autres clous. Pas le choix…

Vous aussi, vous êtes compulsives, question accessoires ? Vous aussi, vous pourriez monter un commerce de chaussures / sacs / chapeaux / foulards / bijoux rien qu’avec ce que vous avez dans votre dressing ?

29 octobre 2006

"On s'appelle, on s'fait une soirée troc ?"

La quatrième (ou cinquième ?) édition des désormais réputées soirées troc a eu lieu hier soir, accueillie cette fois par la courageuse Géraldine, qui n’a pas tremblé une seconde à l’idée de voir débarquer chez elle vingt minettes heureuses d'être inscrites sur la V.I.P. list.

Mais quésako que ce truc-là, allez-vous me dire ? Alors je répète, pour les deux du fond qui bavardaient au lieu de suivre. Partant du principe (très juste) que les penderies et tiroirs de salle de bain des filles débordent de trucs dont elles ne se servent pas ou plus, Hélène a eu cette idée folle un jour d’inventer les soirées troc. Chacune apporte et échange les jupes, pulls, mascaras, gloss, foulards et autres trousses à maquillage dont elle veut se séparer. Le tout dans une humeur joyeuse et détendue, des papotages et des rires, et un buffet royal.

Je mets d’ailleurs au défi quiconque de venir me dire « mais les filles c’est chiant, ça bouffe trois feuilles de salade verte et ça n’a plus faim », parce que vu la profusion de cakes salés, saucisson, foie gras,  quiches, vin rouge et petites « tueries » au chocolat, on serait une bonne vingtaine à lui rire allègrement au nez.

Passons sur le fait que la soirée fut évidemment très sympathique. Mis à part les vingt nanas présentes hier soir, vous n’étiez pas là pour voir combien ces petits rassemblements entre gens de bonne compagnie sont plaisants, et vous vous fichez sans doute éperdument de savoir que les chaussures de Caroline étaient canons, que la moquette a été rebaptisée cinq fois au vin rouge, que le cake de Jeanne déchirait sa race (au moins), et que lebeau collier que j’étrennais pour la première fois a eu son petit succès. Donc je n’insiste pas.

Et je ne vous ferai pas non plus l’affront d’écrire cette petite phrase tant et tant entendue au lendemain des rencontres entre blogueurs : « ça fait plaisir de mettre enfin un visage sur un nom… ou l’inverse ». Même si c’est pourtant vrai.

Arrivée avec un sac de choses à donner gros comme une caravane (photo de gauche), je suis repartie beaucoup plus légère, avec mon lot de petits trésors (photo de droite) : adorable veste rose, bustier trop craquant, top coloré à bretelles, petit haut blanc qui porte encore l’étiquette du magasin (et je connais la coupable !), cache-cœur rose clair sans manches, t-shirt à motif, plus quelques trucs non photographiés.

sac_trocresultat_troc













Mille mercis à et sa-moquette-qui-craint-rien pour leur accueil ultra chaleureux, à Hélène pour son organisation hors pair, et à toutes les autres pour leur bonne humeur : (et là, c’est l’horreur, j’ai trop la trouille d’oublier quelqu’un…) : la méchante et sa gentille maman calpurnia, deedee aux bas filés, caroline, laure sans son foie gras, celinette la bientôt blogueuse (à ne pas confondre avec TheCélinette), béa, lilo, delphinoïd, julie, marion, pomme, anne, anne-lise, jeanne (qui reverra bientôt ses pieds), lucie (la photographe de la soirée), capucine et nina.
(C’est bon ? Manque personne ?)
;-)

 

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26 octobre 2006

Et là, c'est le drame

L’histoire commence un soir de semaine ordinaire. Flemme de sortir, flemme de papoter avec les copines au téléphone, flemme de bloguer, flemme aussi de faire à dîner. Mode feignasse par excellence. Juste une envie de glander sur le canapé, à regarder les derniers épisodes de mes séries préférées. Avec du chocolat à portée de main, évidemment.

Le souci, c’est que le genre de séries que j’aime, c’est pas ‘La Petite bicoque dans le pré’ et compagnie. Quand ça cause brebis, clôtures, bible et sermon du pasteur, ça m’intéresse pas.
Non, moi, ce qui me plait, c’est du lourd. Du sang, des organes et des IRM. Des brutes, de la corruption, des évasions. Des disparitions, des expériences scientifiques bizarres, des ours polaires.
Du bon gros stress, quoi ! Avec des situations qui me font hurler sur les personnages. Du genre, au hasard, « Pourquoi tu lui fous pas un coup de boule, là ? Ah mais qu’elle est conne, celle-là ! ».

Choco_videForcément, c’est tendu. Alors je me goinfre de choco pour compenser tout ce stress. Jusqu’au moment où… je tends la main vers la plaquette… et là, c’est le drame…
‘A pu chocolat’ ? Ben non, ‘a pu’. La tablette entière y est passée. En moins d’une heure.

Faut dire que le « cœur de nougat » de chez Nestlé, c’est de la balle atomique. Et je vous dis ça en grande connaisseuse du rayon chocolat de mon Monop’.
Le côté nougatineux a un léger aspect chewing-gum qui apaise mon stress, et le chocolat tout autour, c’est juste miam.
Bon, évidemment, y’a intérêt à aimer le sucré à la base, parce qu’on peut tabler sur une petite moyenne de … quoi … 232 kilojoules par bouchées ? Oui, c’est ça, je viens masochistement de vérifier sur l’emballage.

De toute façon, c’était ça ou mes ongles qui y passaient un à un. J’ai choisi.



Et dire que j’ai un paquet tout neuf de Michoko dans la cuisine.

24 octobre 2006

Petit manuel à l’usage des garçons qui ne comprennent pas bien les filles – chapitre 4

Les filles et leur horoscope

horo_1"T’es quoi comme signe, toi ?". Puisque Cosmo a consacré tout un supplément à la voyance ce mois-ci, penchons-nous aujourd’hui sur une question hautement philosophique : les horoscopes.

Je te vois déjà ricaner bêtement dans ton coin, preuve que tu n’as pas encore compris où se situe le cœur du débat. Car détrompe-toi, jeune homme. La question-clé n’est pas tellement de savoir si c’est complètement crétin d’y croire ou non, puisque - accroche-toi bien, je te livre un scoop - tout le monde lit son horoscope. Hé oui, très cher. Après un rapide sondage auprès de la population masculine qui m’entoure, il s’avère que même tes petits camarades mâles s’amusent à lire les prédictions à deux roupies de Madame Irma quand ils en croisent. Tsss tsss, ne nie pas, j’ai mes sources.

Pas la peine, donc, de faire le blasé de la vie la prochaine fois qu’une fille te demandera ton signe astrologique, ni de prendre cet air horrifié de dinde à l’approche de Thanksgiving, sous-entendu « moi ? Lire un horoscope ? Jamais de la vie ! Plutôt porter des Dim-up ! ». Sur ce sujet, on est tous dans le même sac.

Encore que. Quand même… Toi, jeune homme, tu aurais tendance à lire ton horoscope simplement parce que c’est juste au dessus de la BD de Garfield dans le journal. Mais sitôt lu, sitôt zappé, et on passe à la page des sports, hautement plus intellectuelle.
Une fille, elle, a ceci de différent avec toi qu’elle va s’obstiner à chercher dans les trois lignes écrites à propos de son signe ce qui pourrait bien coller avec sa vie des derniers jours (et avec celle d’environ un douzième de la population, soit dit en passant).

Là, je t’arrête tout de suite. Parce que oui, je te vois venir gros comme un camion. A coup sûr, tu vas me sortir le cliché de la minette qui ne vit plus qu’en fonction de ce qu’a écrit Elizabeth Tessier et toute sa clique de copines boule-de-voyantisées.
Genre : on lui prédit une grosse rentrée d’argent à la fin du mois ? Elle va la dépenser le midi même chez Zara ou Comptoir des Cotonniers, c’est toujours ça de pris. On lui annonce un coup de foudre imminent avec un Sagittaire ? Elle tire la tronche, son loulou est Capricorne. Ou si elle est célibataire, elle fonce tête baissée repérer autour d’elle tous les mâles nés entre le 22 novembre et le 21 décembre. On lui laisse entrevoir une prochaine promotion ? Hop, lettre de démission sur le bureau du boss dans les 48 heures !

Sache, mon petit, que ton attitude est mesquine. Car une fille aussi a du second degré. Une fille aussi sait lire les horoscopes « pour de rire ». C’est juste un passe-temps comme un autre. Du même niveau, disons, que de comparer les atouts des jantes alliage sur les derniers modèles cabriolets de chez Chrysler.
D’ailleurs, pour preuve, si toi tu connais par cœur toutes les caractéristiques techniques des dites jantes, une fille a de fortes chances de connaître les yeux fermés le signe astro de son copain, de ses meilleures amies, de ses parents, du copain de ses meilleures amies, du prof de piano, de la coiffeuse et du livreur de pizzas. Tu vois, c’est kif-kif. Juste une question d’intérêt.

Allez, zou, travaux pratiques.

Exercices pratiques
Difficulté * : Passé quatorze ans – et la période ado un peu délicate qui va avec – il est fortement recommandé d’arrêter tout jeu de mot crétin à propos du signe de la Vierge. Je te fais un dessin ou bien le message est passé ?

Difficulté ** : Rien de plus gonflant que d’entendre avant chaque lecture d’horoscope un « t’es quoi, déjà, toi ? Scorpion ? Ah non pardon… j’me souvenais plus… ». Essaye d’apprendre rapidos le signe astro de ta/tes copines. Et sans faire de faute de prononciation, tant qu’à faire. Parce que non, ‘Versatile’, ça n’existe pas, c’est ‘Verseau’ qu’on dit. Merci.

Une fois que tu sais répondre sans hésiter à la question piège qui nous préoccupe ici, tu peux passer au niveau supérieur : connaître le signe lunaire, le décan, l’ascendant, l’horoscope numérologique ET le signe chinois de ta copine. Oui, je sais, ça commence à faire lourd. Au besoin, fais une petite fiche, comme quand tu révisais ton bac. A quoi ça sert ? A rien du tout, on est d’accord. Mais encore une fois, elle t’écoute bien parler de jantes en alliage avec tes potes, non ? Bon…

Difficulté **** : A défaut de lui promettre la lune (Ex : « Moi je t’offrirai des perles de pluie venues de pays où il ne pleut pas ».), contente-toi de rester réaliste. ‘Offrir des fleurs venues de Rungis’ est un bon début, par exemple. En poussant un peu, tu peux même aller jusqu’à le faire même les jours où ce n’est ni son anniversaire, ni sa fête, ni la Saint-Valentin, ni votre anniversaire de rencontre, ni, ni, ni… Juste comme ça, quoi. Pour le fun.... Si les étoiles commencent à clignoter dans ses yeux, c'est déjà un signe (justement).

22 octobre 2006

Oops I did it again

Kookai

C’est à croire qu’il y a quelque chose autour du 20 du mois qui me pousse à dégainer ma carte bleue plus vite que mon ombre, parce que j’ai recommencé mes bêtises mon shopping compulsif. Hé ouais. « Baby, baby one more time », comme dirait ma copine Britney. (Je sais, j’enchaîne les références honteuses, j’irai rôtir en enfer).

Bon, soyons sérieux deux minutes. L’ampleur de la crise de « consommationnite aigüe » n’a franchement rien à voir avec celle dont j’ai été terrassée le mois dernier à la même époque. Cette fois-ci, il s’agit juste d’une petite rechute, sans grande gravité à mon avis. Faut dire qu’entre temps, les impôts sont passés par là. Forcément, ça joue.

Le problème, en fait, c’est Kookaï. Ils sont pénibles, parce que cette saison, ils ont plein de jolis trucs. Franchement, c’est pas sympa. Si on rajoute à ça qu’on trouve actuellement (pour les parisiennes) un bon de réduc’ de 20 % dans les pages du 'Elle à Paris', je trouve que c’est carrément de l’abus de pouvoir. Comment voulez-vous qu’on résiste à tout ça ? Hein ?

En tout cas, moi, je me suis fait avoir en beauté. Bilan des courses : une belle jupe en soie noire, un top-tunique gris et mauve en trompe-l’œil tout doux, un joli débardeur gris perle… avec des perles (quelle drôle de coïncidence) et un sautoir noir pour agrémenter tout ça.

La collection actuelle est, à deux trois exceptions près, vraiment ravissante. On y retrouve d’ailleurs une dizaine de pièces bigrement inspirées des classiques du Comptoir des Cotonniers, mais bigrement moins chères aussi. Quant aux minettes qui cherchent déjà leur petite robe noire pour le réveillon du 31, courrez-y, elles sont déjà en rayon. Je ne saurais trop vous recommander de vous magner un peu, c’est bien connu qu’après le 15 novembre, question tenue de soirée, on ne trouve plus que les déguisements de sapin de Noël. A bon entendeur, donc.

Sur ce, je vous laisse, je vais faire mes comptes essayages ;-)

PS : Oui, il m’arrive parfois de poster le dimanche. Comme quoi, tout arrive.

20 octobre 2006

Nan

bouderPas de billet aujourd'hui.
Je boude. Je sais pas quoi vous dire.

Enfin si... mais j'ai TROOOOOOP la flemme d'écrire...
hé ouais... c'est comme ça... On verra demain (ou pas) (hé hé hé) ('tain, le suspens qui tue).

18 octobre 2006

Le roi du poulailler (petite histoire de volatiles)

poules_5

Il fût une époque où je m’étais auto-persuadée que ma carrière professionnelle se jouerait dans le marketing des produits cosmétiques. Comme je suis du genre plutôt obstiné comme nénette, j’ai obtenu gain de cause pendant un temps, avant de (vite fait) mettre les voiles ailleurs.

Le truc marrant, dans ce type de boîte, c’est que c’est plein à craquer de greluches. Des gentilles, des vilaines, des grandes, des grosses, des moches, des petites, des blondes, des brunes, des vieilles, des connes, des binoclardes, des gravures de mode, des sacs à patates… mais bel et bien des greluches.
Ca, y’a pas à dire, niveau pouffiasseries, on est servi. Et je dis ça en toute amitié, je peux parfois faire preuve moi-même d’un degré de « pouffitude* » qui m’étonne au plus haut point.
(*NDLR : Pouffitude : nom commun féminin. Contraction des mots ‘pouffiasse’ et ‘attitude’. Se dit d’une personne qui aime « faire la fille » jusqu’à un niveau parfois exagéré).

Travailler avec des filles, c’est sympa. On assiste à un défilé de mode permanent (Ex : « Oh, t’as les derniers escarpins Mellow Yellow, ils sont trôôôôô bôôôôô »), y’a toujours quelqu’un pour nous tuyauter sur la date des soldes ou le dernier Spa à la mode, et on n’a plus besoin de chuchoter pour demander « quelqu’un aurait un Tampax ? ». Ca ricane, ça papote, ça ragote. Un vrai poulailler à l’heure de ponte.

Oui, mais…et les hommes dans tout ça ? Parce qu’il y en a toujours quelques uns qui sont venus se perdre (volontairement parfois) dans le tas, à leurs risques et périls. Là, si on schématise, deux types de spécimens se dégagent. Deux portraits radicalement opposés : l'homme invisible, et le playboy à deux escudos.

Le premier a généralement le sex-appeal d’un moule à gaufres. S’il a à la base autant confiance en lui qu’un adolescent acnéique à la veille de sa première boum, le fait d’être entouré de filles qui piaillent en parlant string, gloss et cellulite ne le rendra pas nécessairement plus à l’aise dans ses Converses. Voir même, ça lui foutra légèrement les pétoches, je dirais.
Il longe donc les murs en silence, genre courant d’air, et vous finissez par confondre son costard trois pièces avec le papier peint. (Ex : « – T’as pas vu Jérôme ? – Si, il est là, près de la photocopieuse. – Ah oui, pardon… »).

A l’inverse, si l’homme en question a plutôt la testostérone en ébullition au milieu de toutes ces minettes, il ne manquera pas de vous effectuer régulièrement la parade érotique du mâle en milieu tempéré. Par exemple, il débarque au milieu du bureau dans sa belle chemise Armani bien ajustée, fait son petit numéro de coq, lance des regards coquins et des sourires Colgate en rafales tout en racontant sa dernière réunion clientèle.

Une fois qu’il est bien certain d’avoir capté l’attention de tout son auditoire féminin (et qu’on a définitivement perdu le fil de nos calculs de pourcentages de parts de marché), il considère que sa mission est remplie, et il s’en retourne donc joyeusement vers son bureau, l’ego regonflé à bloc. Non sans avoir ponctué sa sortie d’une petite phrase destinée à bien montrer à son public que quand même, il en a dans le falzard, question virilité (Ex : « Bon allez, j’vais pisser un coup, et je monte voir ‘Boudina’ à la compta pour me faire rembourser mes notes de frais ».). La classe internationale, en quelque sorte.

Ah non, vraiment, on dira ce qu'on voudra : l'ambiance poulailler au boulot, c'est toute une culture à gérer. Prenez-en de la graine, mes petits poussins...
16 octobre 2006

Ma meilleure ennemie

rides_7Et ben voilà. Cette fois, ça y est. On y est. Fallait bien que ça arrive un jour de toute façon. Je m’y étais préparée, mais quand même, le choc est un peu rude. On a beau dire que « c’est la vie » et qu’on en passera forcément par là, moi, ça me fout légèrement les boules.

Les présentations sont faites. Elle est là, elle me fait face. Elle a presque l’air de se foutre de moi, limite. Elle pourrait se permettre de dire tout haut ce qu’elle pense tout bas, je pense même qu’elle éclaterait de rire bien fort, pour montrer à quel point ça la fait marrer de voir la tronche que je tire en la voyant.
Et moi, je reste plantée comme une nouille, silencieuse, à la regarder. Sans trop savoir comment m’y prendre avec elle. Parce que de toute façon, tout ce que je pourrais dire ou faire n’y changerait rien Et c’est bien ça le pire.

Merde, elle m’a eu, la garce ! Elle m’a eu par surprise. J’ai rien vu venir. Je pensais avoir encore un peu de temps devant moi, un peu de tranquillité. Mais non. Que dalle.
Maintenant je n’ai plus le choix. Impossible de faire marche arrière. Bien obligée de l’accepter, et de lui faire une petite place. Puisque je vais devoir vivre avec elle tous les jours à partir d’aujourd’hui.

Ma première ride. Juste là, au coin des yeux.
Fait chier, je deviens vieille.



Bon, plan d’action. C’est quoi, les meilleurs anti-rides du marché ?

13 octobre 2006

Poids lourd

poids_5

Parfois, on aime se faire aborder par un illustre inconnu. Et parfois, non. 13 phrases-clés et 13 réponses cash pour faire passer le message.

Vous êtes toute seule ? Non, j’ai toute la chorale de Vienne qui m’accompagne mais elle s’est planquée derrière le bar.

C’est à vous ces beaux yeux là ? Non, on me les a prêtés le temps qu’un lourd dans votre genre me fasse la réflexion. Voilà, maintenant, je peux les rendre…

Je m’appelle Michel. Et vous ? Pas moi, non.

On ne s’est pas déjà vu quelque part ? C’est possible, je suis secrétaire à la clinique des maladies vénériennes.

Vous avez quel âge ? J’arrive pas trop à savoir, ça change tout le temps.

Vous habitez où ? Chez moi.

Comment se fait-il qu’une jolie fille comme vous attende seule ? Parce que jusqu’à maintenant, j’avais réussi à éviter les glues dans votre genre.

On peut discuter un peu ? Désolée, j’ai un seuil de tolérance à l’ennui très faible.

Pourquoi vous ne répondez rien ? J’étais en train d’essayer de vous imaginer avec de la personnalité…

Je suis avocat en droit pénal international. Et vous, vous faites quoi ? Moi, je crois que vous me confondez avec quelqu’un que votre vie intéresse.

Comment ça se fait qu’on ne se soit jamais croisés ici ? Question de chance, sûrement.

On peut se revoir ? Oui. Avant-hier, ça vous irait ?

Je peux vous laisser mon numéro ? J’aurais bien voulu, mais j’ai pas envie.

Parfois, il faut juste savoir ne pas insister lourdement…

PS anticipé : Ceci est de l’humour. Il est bien évident que je suis une fille gentille et bien élevée, et qu’à moins de croiser un prototype « 2,5 tonnes » question lourdeur, je ne me permets pas de dire tout haut ce genre de phrases (juste de les penser très fort…). Inutile, donc, de m’envoyer le Front de Libération des Hommes Martyrisés, ou de m’adresser des commentaires agacés du style « et ça se plaint d’être célibataire ! ». Merci… ;-)

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