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Gin Fizz

2 juillet 2013

Voir sur l'Arno le soleil se coucher

Florence_vue_bis

Previously on Ginfizz, on disait donc que j'avais été déçue de mon séjour à Florence, pour moults raisons un peu rocambolesques... Alors oui, je sais. Je SAIS. Je sais que l'Italie ne serait pas l'Italie sans Florence, qu'un touriste digne de ce nom se doit d'avoir "fait" Florence au moins une fois dans sa vie, et que ce n'est pas pour rien que les hordes et troupeaux XXL de visiteurs venus d'Amérique et d'Asie préfèrent souvent faire escale à Florence plutôt qu'à Rome quand ils s'en viennent visiter le pays en forme de botte. Et je sais, donc, que ça peut paraitre un peu "shocking" d'oser dire que, ouais, bon, Florence... sympa, sans plus.

Mais... quand même.

Déjà, la ville a cette particularité que quasiment tous les musées et les bâtiments à visiter se trouvent dans le même mini périmètre. Il en résulte une surconcentration de touristes au mètre carré assez infernale, et cette désagréable impression d'entendre parler tout sauf italien autour de soi. Comprenez-moi bien, je ne critique pas les touristes eux-mêmes (sinon, autant aller visiter Percahoute-les-brouettes, où je suis à peu près certaine d'être peinarde niveau tourisme), mais bien le fait qu'ils (qu'on) soient agglutinés en troupeau de quinze dans une zone déjà pas bien grande. Pour la touche authentique, on repassera un autre jour.

Ensuite, je crois que malheureusement, je ne suis pas vraiment sensible à l'art époque Renaissance sureprésenté à Florence, du fait de son histoire. Honnêtement, la visite de la Galleria dell'Academia, hormis son fameux et spectaculaire David de Michel-Ange, m'a laissée sur ma faim. C'est à dire que les enluminures religieuses entassées le long de douze salles, je suis navrée, mais moi ça ne m'émoustille pas un brin. Je ne m'y connais pas assez pour en saisir la beauté à sa juste valeur, sans aucun doute.

De même, la visite de la superbe Galerie des Offices, l'incontournable des incontournables, m'a finalement déçue aussi. Certes, les quelques Boticelli présentés sont absolument magnifiques (du moins, si on arrive à les contempler dans leur ensemble, et à s'abstraire de la colonie de visiteurs agglutinés au pied de la toile), mais le reste des oeuvres présentées, heu... oui, c'est ça, je ne dois pas être assez calée en la matière, on va dire. Si on ajoute à cela une scénographie désastreuse (éclairages ultra mauvais, contrejour sur les toiles, et textes explicatifs de présentation des oeuvres très sommaires) et une bonne partie des salles vidées car en rénovation, on ressort de là avec une impression hélas mitigée.
(Je précise que ce musée est justement en train d'être rénové pour agrandir la surface disponible, et sans doute repenser l'organisation interne et la mise en avant des toiles et statues présentées. Pour le coup, on a juste joué de malchance dans le timing...)

Quant au Duomo, parlons-en, tiens. Autant cet édifice est spectaculaire de l'extérieur avec une magnifique facade travaillée et pleine de détails, autant l'intérieur assez terne fait retomber le tout comme un soufflé raté. En revanche, je vous conseille grandement de grimper au sommet du dôme malgré les quelques 465 marches, car la vue tout là-haut y est à couper le souffle.

Florence_vue_Duomo_copie

Florence_David     Florence_Duomo

Le David de Michel Ange, qui fait son petit effet / Le Duomo sous un ciel très nuageux.

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Statues et fontaines sur la Piazza della Signoria.

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Le Ponte Vecchio vu depuis la Galerie des Offices.

Florence_vue_du_bar

Vue sur l'Arno depuis le Golden View (adresse plus bas).

Bon, j'ai l'air de ne faire que râler, et pour un peu, on dirait que c'était vraiment une corvée de passer quelques jours à Florence. Non. J'exprime juste (j'espère que vous l'aurez compris) une certaine déception, sans doute à la hauteur des attentes que j'avais de cette ville mythique.

Et il y a quand même des tas de choses que j'ai aimées à Florence. Par exemple :
* Les nombreux jardins, essentiellement situés dans le sud de la ville, de l'autre côté de l'Arno, qui offrent de petites oasis de verdure rafraichissantes au panorama dégagé sur toute la ville. Le Giardino Di Boboli reste un peu plus sauvage que le Giardino Bardini ultra léché, mais les deux se visitent agréablement pour s'extraire un peu de la torpeur des ruelles étroites et engoncées du centre ville.

Florence_ange_fontaine

Florence_fontaine     Florence_statue_visage

* Les quartiers beaucoup moins touristiques que sont Santo Spirito et San Niccolo (où nous logions), ponctués de quelques adresses branchées destinées à la jeunesse locale, et de restaurants et tavernes plus authentiques et moins 'pièges à cons de touristes'.

* Le coucher de soleil sur la ville vue depuis la Piazzale Michelangiolo. Un peu trop couru (coucou les cars de touristes), mais très agréable d'y prendre un verre en regardant le soleil (quand il y en a...) colorer les toits en tuile de Florence.

* La petite virée à Fiesole, patelin du coin situé au nord-est de la ville. On y accède en bus (1h de route), et si le village en lui-même n'est pas palpitant (à moins d'aller y visiter les vestiges gallo-romains), il offre une vue imprenable sur toute la vallée, et les toits de Florence s'étirent à perte de vue, bercés au coeur de collines parsemées de cyprès. (Quand je serai grande, je veux faire Baudelaire).

* La gastronomie du coin a franchement tout pour me rebuter (les sandwichs aux abats, c'est pas trop mon truc, voyez ?), mais qui aime les classiques de la cuisine italienne mangera très bien à Florence. Quelques adresses testées et appouvées :
- Dans le quartier de San Niccolo, une excellente pizzeria à prix plus que corrects, dans une ambiance décontractée, mi-touristes mi-locaux en grande tablée : I Tarocchi, Via dei Renai, 12/14. Fermée lundi.

- En contre-bas des collines du sud de la ville, une chouette oenothèque réputée pour sa cave et ses fameux crostinis (tartines grillées recouvertes de bonnes choses) à tous les goûts. Jolie terrasse au calme. Enoteca Fuori Porta, Via del Monte alle Croci, 10r.

- Classique, mais diablement efficace, et parfait pour changer des pizzas (très bonnes viandes, grand choix de pastas). Trattoria Bordino, Via Stracciatella, 9r.

- Ultra pittoresque même si assez touristique (à force d'être cité dans tous les guides du monde), le Mercato Centrale pour le large choix de produits frais, et les échoppes où l'on déguste sur place, notamment Nerbone pour les tripes (non merci) et les sandwichs au rosbeef. Piazza del Mercato Centrale.

- Pour un verre avec vue sur l'Arno, et si on s'y prend bien, pile dans l'axe du Ponte Vecchio : Golden View, Via dei Bardi 58r. Assez branchouille et pas donné, mais l'astuce est de profiter de l'happy hour, qui propose un accès gratuit au buffet apéro pour toute consommation. (Assez répandu dans les bars de Florence).
 
Allez, ça ira pour cette fois, je pourrais encore raconter plein de choses (positives et négatives) sur Florence, mais vous ne devez être plus que deux à avoir eu le courage de lire ce billet jusque là (et je vous en remercie, d'ailleurs !). Arriverderci tutti !

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Florence_coucher_soleil

Florence_panneau_ange     Florence_panneau_PacMan

Florence_panneau_flic     Florence_panneau_sardines

Florence_scooter_chien

 

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27 juin 2013

Pink Flamingo

De_tail_1     De_tail_2_

"Voilà l'été, voilà l'été", chantaient les Négresses Vertes en 2001. Il faut bien dire que cette année, on l'aura attendu un sacré bout de temps, l'été. Et encore... si sur le calendrier, on est bien en plein dedans, les discours navrés et dépités d'Evelyne Dhéliat et consorts ont de quoi nous faire hésiter sur la réalité des choses.

J'ai donc eu bien du mal à concocter mon quatrième et dernier look saisonnier (toujours dans le cadre du partenariat avec Les Bijoux Précieux), d'autant que, pour des raisons d'organisation interne, il m'a fallu imaginer ce que serait ce look plusieurs semaines en avance. Pas facile de se constituer une tenue estivale lorsque le thermomètre affiche résolument 9° ou que la pluie de mars avril mai juin s'invite chaque jour au programme.

Et au petit jeu des devinettes météorologiques, j'ai été blousée. Moi qui avait prévu pour ce 4ème édito un look très Gipsy Queen à base de jupon froufroutant et de bijoux tintinabulants, j'ai du me rabattre en vitesse sur une tenue nettement moins olé-olé - mais nettement plus de saison - le jour où il a fallu shooter les quelques photos de look.

C'est donc en jean (mais pastel), en t-shirt (mais strassé) et en bijoux (mais colorés et bling-bling) que j'ai décidé d'apprivoiser cet été mi-figue mi-raisin. Des couleurs douces et light rehaussés de pointes de couleurs et de lumière. Un peu ma marque de fabrique, finalement...

La suite ici, comme d'habitude.

PS : Si tu connais un bon moyen pour perdre facilement le reste de bidou post-grossesse, envoie BIDOU au 8 13 13.

Look_5

Look_3


Joue là comme une blogueuse mode :
Top Des Petits Hauts 2012 / Jean Zara 2011
Ballerines Maloles 2011 / veste Maje 2009 (vintage, quoi !)
/ Sac Dreyfuss
Collier BalaBooste pour Monoprix / Bracelet Shourouk

 

24 juin 2013

Very Little Italy

Vitrine_Florence

Hop, et de quatre ! Moi qui n'avait jamais posé un orteil en Italie il y a encore trois ans, je viens de boucler mon quatuor perso des villes à visiter dans le pays. Venise, Naples, Rome, et enfin ce mois-ci, Florence...

Aaaah, Florence... son fameux Duomo emblématique, ses dizaines d'églises, son Ponte Vecchio, son centre-ville chargé d'histoire, et sa campagne mythique inspirant la Dolce Vita par excellence. Indiscutablement l'une des villes "must seen" à visiter au moins une fois dans sa vie. Certes... Pourquoi, alors, est-ce que je garde ce souvenir mi-figue mi raisin de mon week-end italien ?

Peut-être parce que, finalement, rien ne s'est passé comme prévu.

En réservant les billets d'avion plusieurs mois à l'avance (je vous ai déjà parlé de ma propension à faire des projets de week-ends plus de 10 mois à l'avance ?), je m'y voyais déjà comme si c'était joué : on atterrissait à Pise (vu que les vols Easy Jet ne vont pas à Florence direct), juste assez de temps pour faire un rapide petit tour de la ville, admirer et photographier la célèbre tour bancale, puis on partait rejoindre notre logement à Florence, et après trois jours de visite de la ville, il nous en restait deux pour nous évader en Vespa dans la campagne toscane, à flâner au milieu des cyprès et des oliviers sous un doux soleil printanier.

Bon. Ca, c'était la théorie.

En pratique, débouler dans la banlieue de Pise avec nos sacs de voyage sous un cagnard de plomb, ca ne motive pas trop à multiplier les aller-retour aéroport/centre ville dans tous les sens. D'autant que le premier bus qu'on a croisé sur le tarmac, c'était la liaison directe pour "Florence/gare centrale", et que le bus partait dans les 5 minutes à venir. Ok, c'est tranché, on zappe. Pise, toi et moi, ce ne sera pas pour cette fois. (Le chéri tente de me faire croire qu'on visitera au retour, avant de reprendre l'avion. Et la marmotte...)

On débarque donc à Florence, à la recherche de notre petit appartement (loué sur Airbnb, une fois de plus). Il fait beau (je rappelle qu'on quittait Paris, où le temps avoisinait les 8° depuis quelques jours), il fait chaud, ma valise a des roulettes, on se dit donc qu'on va marcher jusqu'à l'appart, plutôt que de prendre un taxi ou un bus. Ouh, la bonne idée dis donc ! En pleine heure de pointe, sachant que TOUTES les rues sont pavées ou assimilé, je peux vous dire que j'ai plutôt eu l'impression de faire une maxi séance de PowerPlate que de tirer mon bagage. C'est simple, j'ai continué à entendre les vibrations des roues sur le sol au moins quatre heures après être arrivée à destination. (La valise va bien, merci. Mais j'ai guetté le moment où les roues allaient se barrer en cacahuète et me laisser en rade).

Arrivés à bon port, allégés de nos sacs et de nos écharpes/jean collant/grosses baskets, nous voilà partis pour une première virée dans la vieille ville. C'est PILE ce moment-là que le soleil a choisi pour aller prendre ses RTT en retard. Pluie, nuages, averses, pluie, petite éclaricie, pluie. C'est grosso modo le temps que nous avons eu durant notre séjour. Ok, j'exagère peut-être un peu, j'ai quand même pu attraper un mini coup de soleil sur les épaules durant la seule journée à peu près correcte. M'enfin, il est certain que photographier le Ponte Vecchio ou le Duomo au milieu d'un ciel cotonneux de nuages grisouilles, ça ne rend pas trop justice à la beauté des lieux.

Quant à mon escapade rêvée en Toscane, forcément, on y a revu à deux fois avec ce temps de fin d'automne. La menace de se retrouver éventuellement coincé à 150 bornes de la ville sous des trombes d'eau n'était pas des plus motivantes. Sans compter sur le fait que j'optais pour un Vespa pour découvrir les environs "à la cool-tranquille-Emile", et que Chéribibi ne jurait que par une moto "pour aller plus vite, plus loin, plus fort". (Su-per). Et que de toute façon, on n'a jamais pu trouver une boutique de location (parce qu'on a cherché quand même, c'est bien ça le pire), sans penser une seule seconde à l'évidence : près de la gare. (Sache-le, public, c'est près de la gare qu'on trouve les magasins de location de scooter).

De fait, déçue de toutes ces mini contrariétés accumulées, mon super petit séjour romantique en Toscane a beaucoup perdu en saveur.

"Oui, mais Florence alors ?", trépignez-vous d'impatience. J'y viens, j'y viens. Avis, adresses, photos, vous saurez tout. Mais ce sera pour le prochain billet, parce que nous avons déjà là une bonne tartinette, et que pour un retour sur le blog après un mois d'absence, on va y aller piano, comme ils disent là-bas... 

15 mai 2013

Besoin de rien, Envie de tout - #Mai 2013

Diapositive1

Mince. Mon anniversaire vient de passer, et Noël, c'est dans (trop) longtemps. Mais comme j'adooooooore faire des listes en tout genre, en voici une petite sur mes envies du moment. La carte bleue swinguera-t-elle bientôt ? (Vous le saurez en regardant le prochain épisode de...)

1. Une robe de soleil pour jouer à l'astre des plages. J'ai toujours soigneusement fui le jaune, mais cette année, je ne sais pas pourquoi, j'ai des fringales de fluo, citron et autres teintes vitaminées ! (Princesse TamTam)

2. Le produit magique pour jambes pâlotes du début d'été (faut dire qu'avec ce foutu printemps qui n'arrive pas, hein !). Ce n'est pas un auto-bronzant, donc aucun risque de se faire des zébrures oranges sur le cuissot (vécu), et ça donne la touche éclat qu'il faut pour oser les jambes nues avant d'être naturellement dorée. (Caudalie)

3. Quoi, encore un nouveau sac ? Oui, mais en version noir ! Parce que, comble du comble, je n'en ai pas encore, et "on a toujours besoin d'un sac noir", comme chacun sait. Mais sur le sujet "sac", je dois m'en tenir à ma règle personnelle : un acheté, un revendu (ou donné), et pour le moment, j'aime toute ma collection. (Morgane Sézalory pour Sézane).

4. J'aime de plus en plus les gros bijoux bien voyants qui allument à eux-seuls une tenue un peu classique. Là, l'alliance du rouge coquelicot et des brillants argentés me fait sauter de joie direct. Non ? (Galia)

5. Oui, c'est un peu incongru de trouver une photo de plante dans une wishlist, mais en fait, pas tant que ça. Parce qu'on n'aime pas que la mode et la beauté (non non non), ma dernière lubie en date se nomme "citron caviar". Une plante dont le fruit est constitué de petites billes translucides (d'où le nom caviar) qui explosent sous la dent et libèrent des arômes citronnés. Un must dans les plats de poissons, les desserts, etc. Le souci : ça coute un rein, et si c'est pour se faire dégommer les fruits par les oiseaux du balcon qui ont déjà saccagé mes jolies fraises, hein, bon. (Plant de citron caviar)

6. Parce qu'un jour il fera beau (ou qu'à défaut, je partirai vivre très loin d'ici) (c'est la mode), des petites sandales légères et dorées, pour gambader l'esprit léger. (Petite Mendigote)

7. Et parce que j'aime bien être un peu perchée sur des talons raisonnables, une paire d'escarpins open-toe qui font la gambette jolie. En bleu. Ou en rouge. Ou en doré. Ou... Ok, je les veux tous. (Patricia Blanchet)

8. On a bouffé du graouuu à toutes les sauces, il était grand temps que le motif zèbre soit à son tour à l'honneur. Voilà un petit sweat d'été qui fera bien la blaguounette. Son prix, moins. (Maje)

Alors ? Qu'est-ce que vous m'offrez ?

 

6 mai 2013

Papillon de lumière

Printemps_veste_iro1

Au temps jadis où l'on croyait encore qu'il y aurait un printemps à Paris (mais en fait, non, cette année, on passe directement de mars à octobre), j'ai commencé à réfléchir à un look "bonne humeur pour la sortie de l'hiver", dans le cadre du troisième volet de mon partenariat avec le site les Bijoux Précieux. (Look Automne par ici, et Look Hiver par là).

Après moult réflexions, j'ai finalement ressorti mon habit de lumière, aka ma veste bleue à sequins qui brille de mille feux, histoire de filer la métaphore de la chenille transformée en papillon (de lumière) à la fin de sa mutation. Moi aussi, je mute. Je passe de tenues d'hiver sobres et souvent passe-partout à de larges touches de lumière et de couleurs, pour faire venir plus vite le soleil. (raté).

Oui, alors, on s'excuse d'avance pour la luminosité un poil loupée des photos, qui ont été prises en des jours pas si lointains sous la lumière blafarde de février. Et on essaye de ne pas focaliser sur les cernes témoins de nuits courtes et le reste de petits kilos post accouchement. (C'est à dire que pour le fameux Mummy Glow supposé rendre radieuse toute nouvelle maman malgré la fatigue, on repassera plus tard, si vous voulez bien).

Pour le reste, c'est ici que ça se passe ! Et je vous donne rendez-vous dans deux mois, pour un Look Eté que j'espère léger, coloré, et fruité. (Si si !)

Printemps_OK_2

 

 

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24 avril 2013

A plus dans l'bus. Ou pas.

Arre_t_bus

Le panneau électronique de l'arrêt de bus indiquait temps d'attente estimé : 3 minutes, ce qui me paraissait très correct. Alors j'ai patienté. Un peu. Puis beaucoup plus. Après 12 minutes de torticolis intense à scruter l'horizon pour voir enfin ce bus débouler (Anne, ma soeur Anne...), toujours rien. Même le panneau électronique n'avait pas changé, il indiquait toujours très gentiment temps d'attente estimé : 3 minutes. Comme une bonne blague moyennement drôle.

Ce qui avait bien changé, en revanche, c'était le nombre de pékins comme vous et moi qui s'étaient mis en tête d'attendre ce foutu bus (parce que, oohh, 3 minutes, c'est bon...). Prise au piège du fameux maintenant-que-j'ai-attendu-j'attendrai-jusqu'au-bout, j'ai poireauté encore 4 bonnes minutes, avant de voir arriver fièrement un bus bondé pire qu'un jour de grève.

Au prix d'efforts surhumains, de ruses de sioux et d'un léger manque de politesse (ouais, mais j'étais là à poireauter AVANT, monsieur), je finis par me glisser à l'intérieur. Un seul pied posé au sol et pas un endroit où m'agripper, mais qu'importe, j'y suis j'y reste. Ah, on est bien Tintin, on est bien. C'est à dire qu'au m2, je pense que des sardines dans leur boîte s'estimeraient super privilégiées par rapport à nous.

Alors je vous vois venir : oh, mais c'est toujours comme ça, les bus aux heures de pointe, entre les embouteillages et le monde.

Oui, mais non.

Ce n'était pas l'heure de pointe. C'était un jour de semaine, parfaitement classique, à une heure banale, et je pensais justement très naïvement que prendre le bus en dehors des heures d'affluence revenait plus à faire une balade tous frais payés dans Paris, plutôt qu'à un combat de titans où seuls les plus forts survivent. (J'exagère ? A peine).

J'ai eu de nombreuses occasions de prendre le bus durant mon congé maternité, gros bidou ou baby-chou n'étant que très moyennement compatibles avec le métro craspouille et ses très trop nombreux escaliers. Et à de très rares exceptions, quels que soient l'heure de la journée, la ligne de bus, ou le jour de la semaine, c'était à chaque fois Règlement de comptes à RATP Coral.
Un peu comme le coup du Monop' aux heures de 'pas-pointe'. Tu penses que tu ne feras pas la queue trop longtemps ? Erreeeeeeeeeur. Entre 14h et 16h, il n'y a que 2 caisses ouvertes, et douze personnes devant toi au mieux.

Alors moi je veux bien qu'on limite la voiture à Paris, qu'on rende les voies sur berges aux piétons, qu'on favorise les cyclistes, les Autolibs, et tout le merdier qui va avec, mais faudrait quand même voir à faire quelque chose pour les transports déjà existants, non ? Parce que je ne vois pas trop comment on peut avoir envie de limiter ses sorties en voiture si c'est pour :
// se farcir 20 minutes de poireautage entre deux bus
// avoir un affichage des durées d'attente à la limite du poisson d'avril
// être parqués comme des bestiaux dans des conditions franchement peu sympathiques
// payer 2 balles son ticket pour qu'il soit non valable en correspondance (sérieux, 2 € !!! ca fait longtemps que j'ai mon Navigo, j'avais pas réalisé !)
// manquer de se bouffer le poteau à chaque freinage intempestif (et, je le soupçonne, pas toujours nécessaire).
Ne rayer aucune mention inutile.

La prochaine fois, si vous voulez, on parlera à nouveau des joies du métro parisien. Oh, et puis non, j'écris un blog, pas une encyclopédie en 8 volumes.

(Rhaaaaaaaaa, ça fait du bien de râler un petit coup, à nouveau !!!)

11 avril 2013

Gros bidou (et coup de) mou

Minceur

Les amis, l'heure est grave. Autant j'ai adoré mon corps de femme enceinte tout en rondeurs et en courbes, autant je dois dire que mon corps de nouvelle maman, à trois mois de l'accouchement, me laisse... comment dire... perplexe. (Ca, c'est la phrase politiquement correcte pour ne pas dire que j'ai envie de hurler à la mort quand je me regarde dans un miroir).

Vous savez, cette espèce de phase bâtarde où on a un peu minci quand même (faut pas déconner), mais... ah bah non, pas tant que ça. Cette phase où les jeans de grossesse nous font des plis sous les cuisses et nous dégoulinent sur les genoux car trop grands, mais où les bons vieux jeans d'"Avant" nous regardent encore d'un oeil moqueur depuis la plus haute étagère de notre penderie (genre "rêve pas trop, ma pauv' fille !").

"Neuf mois pour faire, neuf mois pour défaire", dit la sagesse populaire. Oui, hé bien c'est très mignon de voir les choses comme ça, mais à l'approche de l'été, c'est que j'ai pas que ça à faire, moi, de poireauter neuf mois pour retourner à la case à-peu-près départ. Tous ces jolis vêtements aux couleurs printanières qui m'appellent de leur douce voix dans les magasins... Les prochaines vacances qui se profilent à l'horizon avec maillot de rigueur...

En attendant d'avoir terminé la rééducation de-tout-ce-qui-doit-être-rééduqué-pas-de-détails-merci et de pouvoir me remettre en sport (ha ha, gros Lolilol caché dans cette phrase), je me reprends en main comme je le peux, avec l'aide de quelques produits beauté assez ciblés.

Si ça marche ? Honnêtement, je n'en sais rien. Mais le simple fait de prendre soin de moi et de me réapproprier mon corps en douceur après cette période un peu "vas-y, c'est bon, j'me lâche, j'ai le droit je suis enceinte" fait déjà du bien dans la tête.

Petite revue des produits coup de coeur qui me sauvent la mise (enfin, je crois...) ces derniers jours. De gauche à droite :

* Lotion au Romarin pour les jambes de Dr Hoschka : on me l'a offerte quand j'étais encore enceinte, mais je n'arrivais pas trop à en voir l'utilité à ce moment-là, où rien n'arrivait à soulager mes poteaux jambes trop lourdes. C'est désormais un super produit pour moi, à masser énergiquement sur les jambes, et qui donne un vrai petit coup de fouet et de légèreté.

* Huile Tonic de Clarins : On ne la présente plus ! L'indispensable soin future et jeune maman. Je l'aime bien car elle s'utilise sous la douche (on se lave, on se rince, on se masse avec l'huile et on termine par un jet d'eau un peu fraîche si on a le courage). Du coup, c'est le produit que je choisis quand je n'ai pas des tonnes de temps pour m'occuper de moi (qui a dit "quasi tous les jours, donc !" ?) parce que le massage sur peau humide est facile, et je n'ai plus rien à faire en sortant de la douche.

* Huile Harmonisante à la rose musquée de Weleda : Un autre incontournable, avec son amie l'huile anti-vergetures. Celle-ci a ma préférence quand j'ai le temps de me bichonner (soit entre 23h48 et 00h16, quand babygirl est couchée), et je la masse longtemps pour en apprécier les vertues.
Bémol : je l'ai choisie pour ses vertues raffermissantes et régénérantes, mais je n'aime pas l'odeur de rose qui l'accompagne (je n'aime pas la rose, de façon générale) (mais j'aime les roses !) (non, mais je dis ça comme ça, hein...)

* Celluli Eraser de Biotherm : J'ai toujours aimé cette marque aux mannequins pub ultra sains, et j'ai été ravie qu'on m'envoie ce produit à tester. Un gel couleur menthol qui se masse bien (j'insiste sur les zones rebelles). Trop tôt pour voir les effets, mais le plaisir à utiliser est bien là.
Bémol : je ne dois pas y aller avec le dos de la cuillère sur les quantités appliquées, car le produit descend très vite...

* Multi-Fermeté Corps d'Elancyl : l'alternative à mon produit Biotherm. Un coup je cible la cellulite, un coup je raffermis ! Celui-là a une super texture très douce qui pénètre en deux secondes, et l'odeur un peu poudrée est très agréable.

* BB Cream Hydra-Perfection de Payot : Et pour finir, une n-ième BB cream (que j'ai reçue pour test) et qui ne m'a pas déçue du tout ! Couleur 'light' adaptée à ma peau claire (c'est rarement le cas de ces produits), bonne unification du teint, et facile à appliquer. Le petit geste "coup d'éclat" du visage quand je peux me passer me sortir l'artillerie lourde.
Bémol : je n'aime pas trop son parfum, qui est vraiment trop prononcé à mon goût pour ce genre de produit. Et j'aurais aimé une mention "non comédogène", histoire d'être tranquille.

Avec tout ça, si je n'arrive pas à retrouver un corps de sirène des iles, hein !! (bon, évidemment, faudrait AUSSI zapper les kinder et les plateaux de charcut', pour ça. Mais c'est une autre histoire...)

EDIT : je ne sais pas ce qu'il se passe en dessous, mais l'affichage des commentaires bugge un max, et n'affiche pas les nouveaux com déposés. C'est pas que je boude ou que j'efface vos coms, hein, promis ! :)

2 avril 2013

Little Cigogne deviendra grande

little_cigogne_e_tiquette

J'imagine que, à moins de vivre sur Pluton, la folie des "Box*" qui ont envahi le marché ne vous a pas échappée. Box beauté (mais siiiii, je vous en parlais ici), box Food, box collants, box bonbecs, et même box anti-box (on n'arrête pas le progrès !), un peu too much au bout du compte. 
Et pourtant, c'est bien de Box dont on va parler aujourd'hui. Parce que celle-ci, je l'ai trouvée vraiment très réussie, adorable à recevoir, top à offrir. Alors certes, elle ne parlera pas à tout le monde, car il s'agit d'une Box spéciale vêtements enfants (de 0 à 5 ans).

Déjà, son p'tit nom... Little Cigogne. Chou, non ?

Ensuite, son contenant... Pour changer des classiques boîtes en carton plus ou moins jolies (d'autant qu'au bout d'un moment, on ne sait plus trop bien quoi en faire) (t'as qu'à voir la pile énorme de boîtes vides entassées dans un coin de ma chambre), Little Cigogne a joué la carte du petit baluchon théoriquement transporté dans le bec des cigognes, et vous livre votre surprise dans un joli pochon en organza, à l'intérieur duquel se trouve un lange fermé d'une épingle à nourrice, qui enveloppe les vêtements reçus.

little_cigogne_emballage_hibou

little_cigogne_emballage_lange

Enfin, le contenu... Des vêtements de très jolies marques et/ou de petits créateurs (Jacadi, Le Marchand d'Etoiles, Rose & Théo, La Queue du Chat...) et trois formules au choix (donc 3 prix adaptés) pour recevoir une sélection composée spécialement pour vous par une styliste.
C'est là le gros gros point fort de cette box, qui est entièrement personnalisée pour vous. Couleurs, matières, imprimés, types de vêtements... un petit questionnaire proposé dès l'inscription permet de renseigner vos gouts et besoins. Pour vous donner une idée en comparant avec les Box beauté, ça vous évite, en gros, de recevoir un shampoing cheveux secs quand les votres sont gras comme des frites McDo, ou de se retrouver avec 5 crayons à yeux en l'espace de 6 mois/6 box reçues (c'est du vécu !).

Cerise sur le pudding : si le contenu ne vous plait pas, hop, vous pouvez tout retourner à l'envoyeur (et vous faire rembourser), ou demander à changer les pièces qui ne vous plaisent pas. Si au bout du compte vous avez des fringues qui ne vous conviennent pas, c'est vraiment que vous n'y mettez pas du votre !

J'ai reçu ma première box Little Cigogne il y a trois semaines, mais j'avais été déçue du contenu, justement. Un t-shirt trop "fanfreluché" à mon goût, un pyjama à l'imprimé trop marqué... Après retour + explications de mes nouvelles attentes, j'ai finalement reçu 4 vêtements qui me conviennent tout à fait, et qui plairont vraiment à ma petite croquette d'ici 3 mois (j'ai volontairement choisi du taille 6 mois). Des rayures, des pois, du gris, du rouge... tout ce que j'aime !

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Verdict final ? Moi je dis Banco les cocottes ! Je ne m'abonnerai pas, car j'ai tendance à aimer aller fouiner dans les rayons enfant pour y trouver mes pépites, mais je trouve que c'est une très bonne idée de cadeau à faire (ou à se faire) à l'occasion d'une naissance, ou simplement pour renouveller régulièrement et sans mal la garde robe des bibounets.

Plus d'infos : www.littlecigogne.com

Note : Billet non sponsorisé, Box 'Little Cigogne' achetée par mes soins.

* Le concept des Box : chaque mois, une boîte surprise vous est livrée, avec des articles réunis autour d'un thème précis : l'Asie, la Saint-Valentin, le Cocooning d'hiver...

 

19 mars 2013

Babillages

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Hey, salut les gens de l'autre côté de l'écran,

C'est moi, c'est BabyGirl. Je profite du fait que ma mère est occupée ailleurs et délaisse un peu ce blog pour venir faire une petite incursion clandestine et vous donner quelques nouvelles du front. Voilà un peu plus de deux mois que j'ai débarqué, je commence à peu près à prendre mes marques ici, et ma foi, c'est plutôt cool. Il faudrait d'ailleurs être bien difficile pour penser autrement : logée, nourrie, blanchie. ET chouchoutée, bichonnée, bisoutée, dorlotée, câlinée. Que demande le peuple ?

Les parents ont l'air assez détendu, mais ça n'a pas été une mince affaire. Il y a encore quelques semaines, c'était impossible de pioncer tranquille sans que l'un des deux débarque furtivement au dessus du berceau. Ma mère, surtout ! Quelle flippée, celle-là ! Quelle trouille elle m'a fichue plusieurs fois, à me coller sa tête en gros plan devant mes mirettes encore pleines de sommeil ! Mais elle s'est nettement calmée ces derniers jours, heureusement...

Enfin, calmée... c'est vite dit. J'ai remarqué qu'il suffit que je braille un petit coup pour les faire accourir tous les deux aussi sec. Du coup, je m'amuse un peu, tiens. Je crachouille ma tétine, hop, et je déclenche le plan sirène. Bam, dans les dix secondes, en voilà un qui s'occupe de mon cas. Bon, ça marche très bien trois, quatre fois. Au bout de cinq, je mets le holà parce que je sens que le comique de répétition, ca va bien deux minutes.

Dernièrement, j'ai trouvé comment gagner encore plus de points en capital sympathie : je leur décroche de grands sourires jusqu'aux oreilles. Parfois, je pousse même le vice jusqu'à accompagner mes mimiques d'un petit bruitage gazouillant. Alors ça, mes amis, ça les met en transe, je vous raconte même pas. Et vas-y qu'ils se mettent à s'extasier, à parler super aigü et à gagatifier puissance douze. Ils sont mignons. Un peu con-con, mais mignons. Et moi, du coup, pas trop relou, j'essaye de leur faire plaisir, ça ne me coûte pas grand chose.

En revanche, j'ai pas encore trop saisi pourquoi ils poussent de grands cris à chaque fois qu'on change ma couche. Un coup, c'est "ooooohhhh, c'est bien, tu as fait caca, c'est super !", et le lendemain, j'ai droit à "oooooohhhh la vache, mais qu'est-ce que c'est que cette bombe nucléaire que tu nous as pondue ?!!". Faudrait savoir, les gars... Pour la peine, quand ils m'énervent à se contredire, hop, je leur fais le coup du petit pipi freestyle, qui arrive PILE au mauvais moment. Vlan !

Ma mère me fait rire. Elle passe des heuuuuuuuures dans ma chambre. Je l'observe discretos du coin de l'oeil quand elle croit que je fais la sieste, elle n'arrête pas de contempler, ranger et plier mes fringues. Quand je vois l'état de sa penderie, j'ai un peu envie de lui dire qu'elle ferait mieux de s'occuper de son armoire à elle, mais je crois qu'elle compense de cette façon la grosse frustration qu'elle a de ne pas pouvoir faire de shopping pour le moment. Une vague histoire de kilos à perdre et de ventre plat à retrouver, je crois.

Pour encore quelques semaines, j'ai ma mère tout pour moi. Elle arrive à peu près à caser quelques trucs persos à faire dans sa semaine, mais le reste du temps, je l'ai pour moi toute seule. J'adore, et j'en profite encore un peu, puisque je n'hésite pas à la réveiller en pleine nuit si j'ai besoin d'un petit casse-croûte. Elle râle un peu beaucoup, j'ai bien vu, mais elle finit toujours par céder. Mais je sais bien qu'il va falloir que je fasse des efforts bientôt. Elle parle de reprendre le boulot, elle parle de crèche, de rythme à prendre, de nuits complètes à faire. Oui, oui, bon, ok... on verra. Pour le moment, carpe diem. J'ai encore droit à mon petit cocon douillet pour quelques temps, laissez-moi en savourer chaque minute.

Ah, c'est l'heure du bib' ! Les bonnes choses n'attendent pas, je vous laisse sur ces quelques nouvelles, et vous souhaite une bonne semaine. Hasta luego !

 

27 février 2013

Une nouvelle Seat toute Mii-Mii (Article sponsorisé)

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Quand j'étais plus jeune (hier, donc), je regardais régulièrement la série "Sous le soleil" (oh, ca va, j'étais JEUNE, on a dit) et je m'étais auto-persuadée que j'aurai plus tard (quand je serai grande donc) le même type de voiture que l'héroïne Laure Olivier, qui conduit une ravissante petite décapotable bleu marine. Allez comprendre ma fascination pour cette voiture, moi qui n'avait alors même pas le permis, et qui, en bonne parisienne, devrait bien savoir qu'une voiture décapotable à Paris, bon... c'est pas pour tous les jours.

Ce souvenir m'est revenu d'un coup quand on m'a envoyé le communiqué de presse de la nouvelle Seat, baptisée @Mii. Une nouvelle petite voiture citadine "prête à conduire" facile pour la ville. Et... dont le coloris phare est le (je vous le donne en mille, Emile) "blue night" (autrement dit, bleu nuit) (je suis carrément bilingue). 

Alors certes, ce n'est peut-être pas le même modèle que celui de Laure Olivier (déjà, elle fait pas toit ouvrant) mais je dois dire qu'elle est plutôt mignonne, la bougresse, dans le genre petite voiture de ville ultra féminine, non ? (et on a déjà parlé du toit ouvrant à Paris, suivez, s'il vous plait !)

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J'aime, entre autres :

* Rétros blancs et planche de bord assortie : on reste classe et féminine.
* Ecran couleur tactile (navigation, ordinateur de bord, interface multimédia) : la Police ne pourra pas nous reprocher de pianoter sur un écran cette fois !
* Air conditionné : pas besoin de toit ouvrant !
* Radio CD MP3 6 hauts-parleurs : pour chanter à tue-tête dans les bouchons quotidiens.
* Boîte manuelle ou automatique : (tu m'as déjà vue faire un créneau ?)

Bon, Hé bien reste plus qu'à passer le permis ! (En vrai, j'ai déjà le permis - mais si, souvenez-vous... - mais on peut globalement dire que c'est comme si je ne l'avais pas...)


Seat @Mii, disponible à partir de 9 390 euros. Plus d'informations sur le site de la marque seat.fr

Billet sponsorisé Seat via Glam Media. Les opinions exprimées ici sont celles de l'auteur, et ne reflètent pas les opinions ou les positions de Seat.

24 février 2013

Kitchen Invaders

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Petit clin d'oeil déco pour l'article du jour. Si toi aussi, tu t'ennuies les dimanches après-midi froids et neigeux, j'ai l'idée qu'il te faut pour t'occuper environ quinze minutes. (C'est déjà ça de pris). Et par la même occasion, donner un petit coup de pep's "urban style" à ton interieur douillet.

J'ai trouvé ces petites pochettes stickers "Invaders" dans une boutique-caverne-d'Alibaba, et j'ai sauté sur les modèles rouge et noir qui s'accorderaient parfaitement avec la déco de ma cuisine, aux placards rouge vif et stores gris anthracite. (Je sais, je suis trop fofolle parfois).

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Ce week-end, zou, passage à l'action :

// Dégraissage du mur, histoire que les stickers collent bien (et tiennent plus de 4 jours, si possible).

// Gros calcul savant pour positionner le tout premier sticker.

// Concentration et langue tirée pour coller tous les autres à peu près régulièrement.

// Admiration du résultat.

Tadaaaaaaammmmm... !!! Ma cuisine adopte désormais un look urbain digne des grandes villes du monde redécorées par l'artiste Invader.

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Comment ça, "c'est pas posé très droit tout ça madame !" ? Heu... c'est fait ex-eu-près, d'accord ? Bon.


Pas encore décidé où je vais poser le sticker noir. Peut-être sur le miroir de l'entrée... ? On verra ça dimanche prochain. S'il neige !

Stickers Stikaz, environ 6 euros, trouvés chez La Minaudière, 43, rue de la Folie-Méricourt, Paris 11.

 

13 février 2013

Daddy cool

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Avec l'arrivée de Babygirl parmi nous, Chéribibi a fatalement ajouté une nouvelle corde à son arc, et endosse désormais la fameuse casquette de Papa. Serait-ce exagéré de dire, pour presque-citer la grande Simone, qu' "on ne naît pas père, on le devient" ? A observer du coin de l'oeil les relations qui se nouent chaque jour entre Chéribibi et sa fille, je suis en tout cas très amusée de relever quelques changements et nouvelles attitudes chez l'homme de la maison.

Lui qui, il y a quelques semaines encore, confondait les concepts de péridurale et d'épisiotomie (et on est d'accord, ça n'a RIEN à voir), maîtrise aujourd'hui sur le bout des doigts le rituel du bain et des biberons, glisse dans la conversation - l'air de rien - des termes comme 'liniment', et se permet même de donner des conseils sur la meilleure façon de nouer l'écharpe bébé ("tu comprends, il faut qu'elle soit à hauteur de bisou"...).

Ses discussions avec les copains récemment devenus père de famille valent aussi leur pesant de cacahuètes ! Là où, avant, ça discutait changement de scooter, permis moto, Champions' League et dernières Nike, ça parle désormais nombre de biberons par 24 heures, comparaison du poids de bébé et détails peu ragoûtants sur le contenu des couches. Et autant je trouvais que mes centres d'intérêt et de discussions avaient bien changés ces derniers temps (je pense pouvoir réciter l'intégralité du site Baby Center à moi toute seule), autant je constate que les nouveaux pères AUSSI voient leur petit quotidien largement perturbé (en bien) par l'arrivée d'un bout de chou.

Un peu pataud par moment, ses grandes mains galèrent pour boutonner efficacement les tout petits petits boutons pression des tout petits petits bodies, et ça ne lui pose aucun souci d'habiller sa fille avec un pyjama bien chaud en laine et cachemire... mais de lui laisser les petons à l'air. (Toujours ce problème des fichues chaussettes qui se barrent en moins de deux, j'imagine).

Et quand vient le soir, pour qu'un ciel flamboie, lorsque je le laisse en tête à tête avec Babygirl pour qu'il se charge de l'endormir (gros challenge ces temps-ci), je l'écoute du bout de l'oreille chantonner ces petites berceuses improvisées dont il a le secret, qui ne riment pas vraiment, et dont certaines phrases ne veulent rien dire, mais qui ont ce don d'apaiser la mini croquette pendant... ohh... dix bonnes minutes. (Les croquettes préfèrent dormir le jour, sachez-le).
Le plus drôle restant le moment où je les retrouve tous les deux affalés sur le canapé, lui ronflant comme un tractopelle et elle les yeux grands ouverts contemplant le plafond. Drôlement efficace, la berceuse. Juste... pas sur la bonne personne. Il faut croire que Babygirl préfère, aux bras de Morphée, ceux de son daddy poule trop cool...

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