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Gin Fizz

30 juin 2006

Astro-logique

Mon horoscope d'aujourd'hui, dans le journal Métro (le top du top en matière de prédictions astrologiques, comme chacun sait !) :

imagesVERSEAU : Vénus, la planète de l'amour, entre dans votre cinquième maison solaire et vous convie à des festivités sentimentales. Un coup de foudre ou un coup de coeur se profile. Vous retrouvez la fougue de votre adolescence.

Bon... Ben y'a plus qu'à... ;-)

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30 juin 2006

Considérations bloguesques diverses et variées

image_11

Depuis deux mois que je tiens ce blog, je me surprends parfois à avoir des réactions inattendues. Parce que très souvent, au lieu de penser tout court (comme un certain René D. nous l'a appris, et je l’en remercie au passage, d’ailleurs.), je « pense blog ». C’est pas clair ? Je m’explique :

Les idées de sujet de billet
Ce que je vois, ce que j’entends, ce que je lis, ce que je pense, ce que je rêve… tout peut être matière à faire un billet. C’est hallucinant comme le moindre épisode de ma vie me fait penser tout bas « tiens, ca, je vais le raconter demain » ou « ça me donne une idée de chronique ».
Je me suis un peu calmée dernièrement, mais au tout début, j’étais gravement atteinte. Les idées arrivaient par camion remorque, et fourmillaient littéralement dans ma tête. Profitant de mes phases d’insomnies, je me réveillais parfois en pleine nuit, attrapais un papier et un stylo et notais en vrac tout ce que j’avais envie de raconter (et pourtant, les idées qu’on peut avoir vers 3 ou 4 heures du mat’ ne sont pas toujours bonnes à prendre !). J’avais même un petit carnet dans mon sac, au cas où je serais prise d’inspiration subite au beau milieu du bus ou dans la salle d’attente du dentiste.
Force est de constater que le soufflet est un peu retombé. J’aime toujours autant écrire ici, mais l’inspiration se bouscule moins au portillon ! (Et mettons aussi ça sur le compte du boulot multi-prises de tête ces derniers temps, un peu d’indulgence, bordel ! ;-) )

Le nombre de visiteurs du blog
Ca, c’est terrifiant. C’est une vraie drogue, je vous jure. Je clique au moins vingt fois par jour dans ma rubrique « statistiques » pour espérer voir le nombre de ceux-ci grimper en flèche. C’est une attitude un peu névrotique, je le reconnais, mais ça m’occupe beaucoup.
Au fur et à mesure de sa « popularité » grandissante, on voit grimper dans ses statistiques le nombre de visites par jour, et on est hyper déçu le jour où on fait moins bien que la veille. Ce qui est très con, parce que les visiteurs ont peut-être autre chose à foutre de leur journée que de venir quinze fois par jour sur votre blog. Et ça ne remet pas spécialement en cause l’intérêt qu’ils portent à vos textes.
Le pire, c’est le lundi matin. Comme je n’ai pas d’accès à internet le week-end (pour le moment), je me rue sur la rubrique stat’ comme un poney affamé sur une carotte moisie, pour voir à quel point les choses ont évolué en deux jours. Parfois, je suis ravie du résultat. Et parfois, navrée de voir que bon, bah, c’était un dimanche où il a fait beau, les gens n’étaient pas devant leur ordinateurs, sans doute… (on se trouve les excuses qu’on peut, hein ?).
Dites-moi que vous faites pareil, vous aussi ? Au moins au début. Hein, que je ne suis pas complètement frapadingue ?

Le nombre de commentaires laissés par ces visiteurs
Là, c’est comme à la roulette. On sait jamais sur quoi on va tomber ! Je suis souvent étonnée de voir que les sujets que je pensais complètement anodins peuvent parfois déchaîner les foules. Enfin, « déchaîner », entendons-nous bien : à mon stade, une moyenne de 15/20 commentaires est déjà un exploit. Alors quand je frôle les 35 com, ouhlalaaaa, mon cœur se met à palpiter dare-dare ! Vite, un médecin ! Docteur Carter ?

Les requêtes Google et mots-clés qui ont amené des visiteurs par ici
Je sais que c’est l’un des sujets favoris des blogueurs et blogueuses que je lis régulièrement. Il n’y a donc jamais rien d’original à s’extasier sur les demandes souvent déjantées des surfeurs du oueb. Seulement voilà, quand on s’aperçoit qu’un type a fait le lien entre notre blog et des mots comme « quéquette à l’air », ben, heu… on se pose des questions.

Les perspectives qu’ouvre la création d’un blog
C’est le plus beau de l’histoire. On a beau râler qu’un blog, ça sert à rien, que c’est une démarche égocentrique, que c’est rien que du virtuel, que c’est pour les geeks, blablablaaaaaaaa… ma petite expérience en la matière tend à me prouver le contraire.
Via un blog, on rencontre plein de gens, d’abord virtuellement, et puis parfois en vrai. On se fait aborder dans la rue, parce qu’un de nos lecteurs nous a reconnu(e). On se fait des potes, on crée des événements spécifiques autour de la blogosphère. On parle de nous dans la presse, ou même à la télé. On devient trend-setter ou leader d’opinion, et on se fait courtiser par les marques, qui ont fini par piger à quel point c’était pas con de se servir de ce nouveau phénomène. Parfois même, on trouve un nouveau job… Comme quoi, le virtuel et le réel ne sont pas si éloignés que ça...

Et vous donc ? Est-ce que vous aussi, vous avez eu vos phases "je blog donc je suis" ? Allez, faites-moi péter le compteur des commentaires, histoire que je puisse crâner un peu... ;-)

28 juin 2006

Et maintenant, une page de pub

Un livre, un disque

livreDécouvert au rayon filles de la Fnac, un joli (et gros) bouquin rose girly et un titre intrigant : "Comment marcher sur des talons aiguilles". Sous-titre non moins aguicheur : "Le guide sur absolument tout pour être tendance !". Bon bah moi, vous voyez, un bouquin comme ça, forcément, je l’ouvre et j’y jette un œil.
L’affaire s’avère être effectivement un guide sur tout et n’importe quoi, écrit par une certaine Camilla Morton, journaliste et chroniqueuse de mode anglaise, totalement inconnue au bataillon pour ma part, mais qui a l’air calée dans son domaine, si l’on en croit la préface de John Galliano. (Ou alors, on se dit juste que la Camilla a profité de la notoriété de son pote Johnny, et lui a demandé de lui pondre une jolie intro bien vendeuse. Tout est possible, allez savoir !).
Enfin peu importe. Le bouquin en question aborde des thèmes ultra variés, et donne de vrais conseils, mais sur un ton très humoristique. Le tout est parsemé de citations qu’on se plaira à réciter dans nos dîners mondains, pour faire la fille qui s’y connaît. (Allez, une pour la route : "Le plus difficile pour les jeunes d’aujourd’hui, c’est d’apprendre les bonnes manières sans en avoir jamais vu". Fred Astaire).

 

 

Quelques exemples de sujets traités :
- Comment faire face au vernis qui s’écaille ?
- Comment cacher des cheveux tristes ?
- Comment survivre au réveillon du nouvel an ?
- Comment repousser des avances ?
- Comment s’en sortir au karaoké ?
- Comment se plaindre avec classe ?
- Comment manger élégamment avec les doigts ?
- Comment avoir l’air fraîche après une cuite ?
- Comment éviter les drames au bureau ?
- Comment obtenir une augmentation sans coucher avec le patron ?
- Comment se pelotonner sur son canapé en restant élégante ?

 

 

Bref… Mesdames, je vous le dis, TOUT ce que vous avez toujours voulu savoir sans jamais oser le demander est dans ce bouquin !
Je suis bien entendue repartie de la Fnac avec ce truc sous le bras. Pas encore eu le temps de le lire entièrement, mais l’avantage, c’est que ça ne se lit pas comme un roman. On pioche au fil du hasard ou de ses besoins les pages qu’il faut lire, et ça, j’aime !

"Comment marcher sur des talons aiguilles"
de Camilla Morton (Préface de John Galliano)
Editions City.
18.95 € (oui, je sais, c’est pas donné…)

disqueEvidemment, une virée à la Fnac se rentabilise en passant par tous les rayons, y compris les nouveaux disques. Je savais que j’allais avoir du mal à résister au dernier Laurent Voulzy, et j’avais raison.
Déjà, j’aime l’homme. Simple, humble, élégant, discret, pas du tout "j’me la pète à St-Tropez". Ensuite, j’aime sa voix, depuis longtemps. Je n’ai pas toujours adhéré à tous ses tubes, mais de façon globale, je vote pour.
Son dernier album, La Septième Vague, est une compil’ d’été, qui reprend les tubes que Lolo aime, chantés à sa façon. L’idée était, d’après l’auteur, d’avoir enfin un disque à mettre en fond sonore pour toutes les soirées d’été sur la plage, en voiture, dans son hamac… (oui, je sais, je l’ai vu chez Ardisson, on dirait que j’ai bien appris mon texte, c’est ça ?). Résultat : un disque qui s’écoute en boucle, qui évoque plein de choses, soit par le choix de la chanson, soit par la façon que Lolo a de les chanter.
Je ne résiste pas par exemple à la reprise de La Madrague, très doux et mélancolique, au Oh Lori, qui me rappelle tellement tellement de choses, ou au limite ringard Derniers Baisers (un bon vieux C. Jérôme pour évoquer nos amours de vacances adolescentes, y’a que ça de vrai !). En revanche, je me serais bien passée de Santiano. Non pas que j’aie quelque chose contre Hugues Aufray, mais je crois que la reprise bassinée par la Star Ac’ l’hiver dernier m’a vaccinée pour un moment. Pas grave, Lolo, je te pardonne, on fait tous des erreurs.

"La Septième Vague", Laurent Voulzy
Chez Sony BMG.

(La prochaine fois, si vous le voulez, je vous donnerai des pistes pour claquer son fric dans les fringues, soldes obligent !)

 

26 juin 2006

Là, je sèche...

page_blanche_12Grand vide. Page blanche. Blackout. Je ne sais absolument pas quoi vous raconter aujourd’hui. C’est moche, hein ? A peine deux petits mois de blog, et déjà en manque d’inspiration. J’ai bien fait de ne pas faire journaliste après mon école de communication, parce que j’aurais eu du souci à me faire pour ma carrière.
Pourtant, doit y’en avoir, des idées de billets d’humeur, vu le nombre de journaux qui sortent chaque semaine ou chaque mois. Loin de moi la prétention de me comparer aux journalistes de Elle ou de Cosmo, hein, ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit.
Mais là, pffffiiooouuuttttt. Panne sèche. Enfin, non, pas panne totalement sèche non plus. J’ai plein idées, en vrac (très en vrac, même), mais pour l’instant, je ne me sens pas l’inspiration pour me lancer sur l’un ou l’autre de ces sujets mis de côté. Je suis un peu comme un diesel, pour continuer sur la métaphore de la panne d’essence : faut que ça chauffe doucement mais sûrement. Et parfois, ca ne veut pas chauffer.
C’est que c’est du boulot, un blog, hein ? Ca n’en a pas l’air comme ça, mais c’est quasi un second job à mi-temps.
Alors pour passer le temps, voilà quelques infos absolument pas indispensables, mais qu’est-ce que vous voulez, on peut pas faire du Proust tous les jours* !

film21- N’allez surtout pas voir "La Rupture", avec Jen’ et son nouveau mec. C’est absolument nul. Je ne m’attendais pas à du grand art, mais juste à passer un bon moment devant une comédie simplette et rigolote. Bah non. Tout est téléphoné du début à la fin, les mini-gags m’ont à peine fait esquisser un petit sourire de rien du tout, le générique de début fait has-been avant l’heure. Pas bien !
Heureusement que c’est la fête du cinéma et que je vais pouvoir me rattraper ce soir avec un autre film moins niais !

2- En surfant de blog en blog, je suis parvenue à retrouver le lien qui permet de savoir combien vaut mon blog. Attention, résultat (rrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr… roulement de tambour…) :


My blog is worth $7,903.56.
How much is your blog worth?

Bon, bah c’est pas si mal, pour un petit blog de deux mois d’existence, non ? Pas encore de quoi m’acheter l’appart de mes rêves, mais avec un peu de patience, ça devrait pouvoir se faire d’ici quelques temps (le "quelques" étant une notion assez vague, il est vrai…).

3- D’après mon hébergeur Canalblog, certains mots-clés qui ont conduit à mon blog sont :
- Francis Lalanne chansons débiles (je vois pas bien le rapport…)
- Strasbourg + stripteaseuse (ah… loupé !)
- fesses Thierry Henri (là ok !)
- jupe relevée cu nu (ah tiens ?) (NDLR : les fôtes sont d’origines, of course !)
- niche du chat (c’est conceptuel…)
- comment une fille embrasse un garçon (là faut s’acheter Jeune et Jolie direct, hein !)

4- Je n’ai toujours pas reçu mon nouveau catalogue La Redoute, alors que mon nom de famille commence avec un A, et que je suis toujours dans les prem’s à le recevoir. A tous les coups, c’est encore un de ces grouuummpppfffff de voisins qui me l’a chouré dans ma boîte aux lettres. Ca va chier dans les pétunias, c’est moi qui vous le dit ! C’est un sujet sensible, le catalogue La Redoute, on déconne pas avec ça !

Voilà, c’est tout pour aujourd’hui, parce que je dois quand même dire que j’ai un peu de boulot, à côté de toutes ces choses intéressantes que je viens de raconter.
Promis, la prochaine fois, ce sera plus inspiré !

(* Et je précise à toutes fins utiles que ceci est du second degré, je ne me prends pas encore pour la relève de Jane Austen, ou dans un autre genre, de Alix Girod de l’Ain, journaliste à Elle).

21 juin 2006

Compte à rebours

liste1A l’approche de la trentaine, les filles sont souvent prises de "listoïte aiguë", et s’amusent à noircir des pages sur tout ce qu’elles doivent avoir fait avant de souffler leurs trente bougies. Je n’échappe pas à la règle. Il me reste donc environ un an et demi pour (entre autres) :

- Passer un réveillon sous les tropiques avec mes potes (et revenir dorée de partout quand tout le monde a une horrible trace de lunettes de ski sur la trogne)
- Consulter une voyante (juste pour le fun)
- Jeter mes lettres d’amour d’il y a quinze ans (celles où on peut lire des trucs du genre "I love you forever" parce qu’à 12 ans, ça fait in de parler en anglais)
- Arrêter de me ruiner en produits de beauté de grande marque juste au prétexte que ça fait plus joli dans la salle de bain (même si un tube de crème Avène ne vaudra jamais un flacon Dior)
- Apprendre à dire non fermement et rapidement au télévendeur qui cherche à me vendre une yaourtière en promo ou une assurance contre vol/incendie/dégât des eaux/tremblement de terre/tsunami/attaque aérienne de terroriste/invasion de sauterelles dévoreuses de chair humaine/épidémie de pigeons atteint de grippe aviaire (non, je ne veux plus écouter les discours des télévendeurs qui suivent mot pour mot leur texte sans y mettre le ton et la conviction)
- Ne plus regarder "Y’a que la vérité qui compte" (même du coin de l’œil)
- Réussir un Sudoku force 4 (juste pour la gloire)
- Visiter l’Australie (enfin…. un bout, au moins)
- Jeter mes cours d’anglais et d’allemand de fac (de toute façon, personne ne me croit quand je dis que je vais m’y replonger un peu) (et pour cause)
- Arrêter d’avoir une penderie qui ressemble à une rétrospective des dix dernières années, à force de tout garder parce que "ça peut encore servir" (car non, ce pull à rayures vertes et mauves ne pourra décemment plus être porté, à moins d’être invitée à une soirée "mes goûts de chiotte en matière de fringues")
- Limiter les goinfrages de Car-en-sac et Dragibus (ché bon, mais cha colle aux dents !)
- Réussir les créneaux du premier coup (même sur la gauche)
- Goûter une huître (sans faire la grimace)
- Avoir un appart avec un dressing comme celui de Carrie Bradshaw dans "Sex and the City" (il est permis de rêver, non ?)
- Savoir marcher avec des talons aiguilles (pas gagné)
- Savoir courir après le bus avec des talons aiguilles (pas gagné du tout)
- Cuisiner autre chose que la quiche lorraine et le tiramisu (les spaghettis carbonara ne comptent pas)
- M’intéresser un tout petit peu plus à la politique (c’est le moment ou jamais !)
- Avoir enfin un avis tranché sur les films de Woody Allen (les "oui, mais", c’est plus possible)
- Engueuler haut et fort les mecs aux mains baladeuses dans le métro, au lieu de seulement les fusiller du regard (parce que se taire en montrant qu’on a pigé leur manège, ça doit les exciter un peu plus, ces sales pervers !)
- Arrêter de chanter à tue-tête "Tu m’oublieras" de Larusso (sauf sous la douche, où tout est permis)
- Admettre que si je suis chez moi le samedi après-midi, je regarde volontiers "Sous le soleil" (hé bah quoi ? Pas vous, peut-être ?)
- Aller dîner seule au restaurant si j'en ai envie (sans me sentir jugée et observée par les autres clients)
- Stopper une fois pour toute l’eau de toilette "Tartine & Chocolat" (et ce, même les jours de grande régression)
- Avoir (un peu plus) confiance en moi
- Dire merde à mon père (qu’il comprenne que je n’ai plus huit ans)
- Oser plus (en règle générale) (c’est vague, je sais, mais ça veut dire beaucoup de choses pour moi)
- Dire "je t’aime" la première (pour voir, comme ça…)

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20 juin 2006

Compote de pieds

pieds_22NDLR : Deedee a posté un billet sur le même sujet aujourd’hui. J’ai cherché d’autres trucs à vous raconter, pour ne pas faire doublon, mais en fait, je suis un peu à court d’inspiration, et ce billet-là était déjà plus ou moins écrit, donc vous aurez quand même droit à mon histoire à moi de chaussures sadiques ! Deedee, j’espère que tu ne m’en voudras pas trop… ;-)

Je suis fâchée. Pour compenser le coup du lundi-début-de-semaine-c’est-chiant-de-retourner-bosser, je me suis dit hier matin que j’allais me pomponner un peu, et que c’était une journée parfaite pour étrenner mes nouvelles ballerines Prairies de Paris, achetées sur Ebay il y a quelques semaines.
Et ben c’était très mal ouèj !
ballerines3L’objet du délit, c’est elles, là, sur la photo. Ah oui, vous vous dites qu’elles ont l’air mignonnes et sages comme ça, avec leur air de ne pas y toucher, genre "Qui ? Nous ? Non, on n’a rien fait !".
Détrompez-vous, messieurs dames, dé-trom-pez-vous !!! Ces petites garces au minois si charmeur sont en fait de vraies sadiques, capables de vous cisailler insidieusement les petons en moins de temps qu’il n’en faut pour parvenir à la station de métro.

Je suis assez dég’, je les trouve vraiment jolies, mais là, franchement, c’est juste pas possible. J’ai vécu un vrai calvaire toute la journée. Heureusement, au bureau, je peux me permettre de marcher pieds nus sur la moquette. Ca fait pas top classe, mais tant qu’il n’y a pas de client qui se pointe, c’est pas très grave.

Mais on est bien d’accord sur un point : "porter des nouvelles chaussures" et "marcher pieds nus", ça devrait pas être dans la même phrase.
Alors ? Je fais quoi moi, maintenant, avec mes ballerines que j’aime mais qui ne m’aiment pas ? Comment ça, "tu les apportes vendredi à la prochaine soirée troc !" ? Qui a dit ça ? C’est mal me connaître, mes bonnes dames ! Non pas que je ne voudrais pas en faire profiter l’une de vous, mais néanmoins, je ne suis pas du genre à baisser les bras – ou plutôt les pieds – aussi facilement.
Une fois que mes petits petons seront rétablis de tous les sévices qu’ils sont eu à subir hier, je leur ferai passer l’examen ultime de la chaussure qui cherche des noises : le coup des chaussettes humides. Vous ne connaissez pas ? Très simple : pour agrandir légèrement des chaussures, il faut porter pendant quelques heures des chaussettes humidifiées (à l’eau, hein, pas à la sueur. J’en vois qui se pincent le nez, au fond là-bas), et il parait que le cuir se met en place tout seul. J’ai déjà testé, ca marche pas mal. Seul souci : obligation de faire ça un jour où on est solo chez soi, parce que les ballerines avec chaussettes, c’est vraiment pas la classe internationale, en matière de fashion.
Et si ça marche pas ? Eh ben… je me rabote les orteils à coup de pièce ponce ? Je défonce mes godasses avec une batte de baseball ? Je les customise en en faisant une paire de mule ? Je les offre à ma pire ennemie qui chausse une pointure de plus que moi ? Mmmm, j’hésite, j’hésite…   

19 juin 2006

Chat alors !

garfield_1

J’ai déjà entendu dire qu’un chat sur trois est un extra-terrestre. Vrai ou faux, je n’en sais rien. Mais on ne peut pas nier que ces bestioles-là sont souvent de sacrés gugusses. Et mon chat à moi se défend assez bien dans la catégorie "attachant, mais CHIANT", faut dire ce qui est.
Déjà, je précise que c’est une femelle. Une chatte, donc. Mais forcément, comme je ne manque jamais de récolter quelques sourires ou jeux de mots graveleux à la prononciation de ce terme, j’ai pris pour habitude de dire "mon chat", et basta.
Un chat, c’est bien. C’est une présence chaleureuse et réconfortante, qui ne demande pas trop d’effort quand même. Pas besoin de se galérer à 8h ou 23h30 pour le sortir faire son petit pissou. Inutile de lui faire prendre un bain après une grande balade dans la pluie boueuse du bois de Vincennes, ni de s’échiner à lui balancer cinquante fois de suite une balle qu’il nous rapportera joyeusement, pleine de bave en cadeau Bonux.
Non, un chat, c’est peinard, calme, dormeur et silencieux. Sauf parfois. Parfois, c’est tout le contraire, même, je dirais.
Mon chat a par exemple la fâcheuse habitude d’aller fouiner systématiquement les recoins ou objets un peu nouveaux pour lui. Placards, tiroirs, boîtes à chaussures, sacs en papier, sacs en plastique… tout lui apparaît comme une potentielle porte vers un ailleurs merveilleux, et lui semble donc indispensable à explorer en urgence. Si possible en faisant le maximum de bruit, et au beau milieu de la nuit, car il va sans dire que c’est toujours plus funky de faire ça aux environs de trois ou quatre heures du matin.
Autre information capitale : le chat a des griffes, et a compris depuis belle lurette qu’il serait fort dommage de ne pas s’en servir. Adieu donc, papier peint refait à neuf, voilages en organza, housses de coussin brodées et pull en cachemire qui aurait du être rangé. Un chat, c’est comme un bébé : faut planquer tout ce qui traîne, sous peine de dommages collatéraux.
Souvent, après un méfait de ce genre, il retourne traquillou pioncer dans un coin, non sans un détour par la case croquettes au thon (un délice pour son haleine, je ne vous dis que ça !). Et quand l’orage gronde au dessus de sa tête –comprendre : quand je me mets à gueuler que c’est plus possible et que si ça continue, je me sépare de lui– il prend l’air détaché et adopte la position dite du "je t’emmerde", qui signifie "tu peux toujours causer ma fille, j’ai même pas peur". D’autant qu’il y a environ zéro pour cent de chance pour qu’un chat obéisse à un être humain. Ca peut être déstabilisant, un chat, vous savez ?
Chose très étrange, le mien est un fan inconditionnel de Vache qui Rit. Au bruit d’un morceau de Vache qui Rit qu’on ouvre avec son petit fil rouge, il devient possible pour mon chat de se déplacer à une vitesse supérieure à celle de la lumière. C’est impressionnant. Et légèrement flippant, en même temps, parce que le bruit en question est quand même assez imperceptible à l’oreille, pour nous pauvres hommes. A ce stade, si je lui fais l’affront de ne pas lui donner un petit bout de fromage, j’ai alors droit à un concerto de miaou en ré mineur, ce qui devient assez vite saoulant. J’ai d’ailleurs surnommé mon chat Doliprane, en hommage aux nombreuses migraines qu’il me colle régulièrement à cause de ses miaulements. Parce que Aspirine, je trouvais ça moche, et Acide acétylsalicylique, un peu trop long…
J’ai aussi l’honneur de vous apprendre que mon chat est le premier producteur au monde de crottes. Oui, oui. J’en ai de la chance, non ? Je ne sais pas comment il s’y prend, et je n’ai jamais vraiment cherché à le savoir d’ailleurs, mais dans ce domaine, c’est une usine qui tourne à plein régime. D’ailleurs, si vous voulez me faire plaisir, dites moi donc où me procurer une litière à chat avec couvercle, système d’aération intégré, et filtrage automatique des crottes vers les égouts. Comment ça, c’est compliqué ?
Enfin de toute façon, en dépit des griffures, crottes, traînées de poils, vases casés, plantes saccagées ou rideaux lacérés, mon chat, je l’aime, et c’est comme chat ! Ceci était un message sponsorisé par la Collective des Chats.

NDLR : Afin de préserver l’anonymat de mon chat, la photo de celui-ci a été remplacée à sa demande par la photo d’un de ses collègues.

13 juin 2006

De battre mon coeur s'est arrêté

coeur

Du moins temporairement. Jusqu’à la prochaine rencontre. Parce que oui, voilà : le jeune homme qui me procurait tant de papillons dans le ventre et qui me donnait le sourire ces derniers temps ne me semble plus si intéressant que ça. Passées l’ivresse des premiers instants et l’excitation de la découverte de l’autre, l’euphorie est retombée comme un soufflet trop cuit. Verdict : pas mon genre. Pas fait pour moi. Trop ceci, et pas assez cela.
C’est toujours un peu douloureux de devoir renoncer à une histoire qu’on imaginait belle, dans laquelle on avait vraiment envie de croire. Renoncer à tous les projets d’avenir qui n’en auront finalement aucun, parce que nos chemins se séparent plus vite qu’on ne l’aurait pensé, ou voulu. (Pfffouu, on dirait presque du Proust, là, non ?).
La vie est ainsi faite, et je ne regrette pas d’avoir tenté l’expérience, parce que si courte soit-elle, elle me fait aussi avancer. Au pire, ce garçon disparaîtra complètement de ma vie et je n’en entendrai plus jamais parler. Au mieux, il deviendra un copain que j’aurai plaisir à voir de temps en temps. Dans tous les cas, il restera un souvenir. Et c’est parfois mieux ainsi.

En attendant, j’attends toujours mon prince à moi. Pas mon prince d’une vie, non, je ne suis pas si exigeante d’un coup. Mon prince des quelques prochains mois, voire quelques prochaines années, fera très bien l’affaire. Quelqu’un l’a vu ? Ou bien je lance un avis de recherche ?

12 juin 2006

Diary Day

journal

Sur une idée bien trouvée de Lambchop et de La Méchante, je continue la chaîne du Diary Day, qui consiste à recopier mot pour mot sur nos blogs les pages les plus niaises de nos anciens journaux intimes.
Alors voici en exclusivité, sans doute pas la partie la plus niaise du cahier, mais un bon feuilleton à rebondissements à propos de ma quête du Big Love. Merci de ne pas (trop) se moquer, ou je me verrai dans l’obligation de sévir durement.

Contexte : Année de 4ème. Je ne sors pas encore avec un garçon, mais ils m’intéressent bigrement. Et surtout un certain Vincent qui, dans mes souvenirs, était effectivement assez canon ! (Note : certains prénoms trop facilement identifiables ont été modifiés, histoire de dire…)

Morceaux choisis :

Julia (ma copine de classe à l’époque) m’a dit que pendant tout le cours, Vincent et Marion s’étaient passé des petits mots. Marion je la trouve conne depuis quelques temps, elle fait tout ce qu’elle peut pour t’humilier devant les mecs, j’ai horreur de ça ! Julia m’a aussi dit que Vincent ne sort plus avec Julie, et même qu’il lui en veut parce qu’elle l’a largué comme une merde !

Sur le cahier de texte de Nuria, j’ai trouvé ça : (adresse de Vincent). Intéressant, non ? Je crois qu’il est né vers le 23 mars. En fait, il est né le 21 mars. Ca tombe un samedi. Peut-être qu’il fera une boum ?

Nuria est vraiment chiante, elle devient trop copine avec Julia et du coup, pour les exposés et les trucs à faire à deux, elle lui demande de se mettre avec elle. Demain soir, Julia dort chez elle. Elles vont se dire des trucs sur les mecs et sur moi, connasses !!!!!!

J’ai quand même l’impression que Vincent n’est pas indifférent, parce que y’a des regards qui ne trompent pas. Pourtant, Michaël nous a dit hyper sérieusement que Vincent veut sortir avec Céline. J’espère que c’est pas vrai, sinon je suis dégoûtée.

En français, Vincent s’est retourné vers moi pour me demander un truc, et juste à ce moment-là, j’ai fait tomber mon stylo, et il l’a tout de suite ramassé. Quel homme !

Liste des preuves que Vincent s’intéresse à moi :
- en maths, il n’y avait pas d’autres filles dans le coin où j’étais, et Vincent se retournait souvent vers moi.
- i
l a fait tomber son stylo sous ma chaise et m’a dit "Katou, tu peux me ramasser mon stylo steuplé ?"
- d
ans la queue de la cantine, il m’a lancé un regard hyper long, au moins 15 secondes !
- e
n histoire-géo, la prof l’a déplacé et il est venu se mettre à côté de moi. On a trop rigolé pendant tout le cours, parce que la prof était de mauvaise humeur. A un moment, il m’a regardé pendant longtemps, j’étais gênée.
- a
vant de monter en maths, il m’a lancé un long regard, et quand le prof m’a interrogée sur un truc, il ne m’a pas quittée des yeux.
- au lieu de me lancer mon tipex pour me le rendre, il me l’a donné en main propre.
- en
français, le prof a dit à un moment "et l’amour, je pensais que vous alliez m’en parler ?", et Vincent s’est retourné dans ma direction.
- en cours de grec, Michaël a dit à Julia : "on va au ciné samedi ? J’amène Vincent et toi Katia, comme ça…"

La malchance me poursuit. Julia m’a dit qu’à la sortie des cours, elle s’est un peu arrêtée devant le lycée et qu’elle a vu Vincent qui sortait avec Caroline. Il la tenait par l’épaule et tout. Sniiiiiiffffff ! Connard. Connasse. J’y comprends rien !!! J’en ai marre, merde !!!

(fin)

Sannnnnntttaaaaa Barbarrraaaaaaaaaaa

Punaise, je suis bidonnée rien qu’en repensant à toute cette période. Toutes ces soirées passées à analyser des trucs débiles pour me persuader que le beau Vincent en pinçait légèrement pour moi ("ouais, il a ramassé mon tipex, ca veut trop dire qu’il est amoureux de moi !!!"), toutes ces histoires de mecs, de nanas, de couples qui se forment et se déforment en quelques jours… et que je regardais de loin en tentant d’y comprendre quelque chose.
Je vous épargne en revanche les nombreuses listes de notes qui parsèment mon journal intime de la même époque. Dans de jolis tableaux bien tracés à la règle, tous les gens de la classe, et en face : une note "physique et apparence" sur 10, un note "amitié" sur 10, total sur 20, et classement final par ordre décroissant. J’avais du temps à perdre, hein ?
Alors ? Qui relève le défi de recopier une page de son cahier, maintenant ? Hein ? Qui ?

9 juin 2006

J'peux avoir un échantillon ?

_chantillon

Pour renifler les effluves de la dernière fragrance Sassenbon, tester le rendu satiné du nouveau fond de teint aux particules de poudres micro-ionisées, ou tout simplement remplir de façon light sa trousse de toilette le temps d’un week-end, il faut l’avouer, les échantillons, c’est quand même bien pratique. Dommage qu’il faille presque mener le parcours du combattant pour en obtenir…
Il faudrait quand même que l’on m’explique une chose. Si j’en crois mon Petit Larousse illustré (qui commence à dater un peu, mais devrait encore faire l’affaire sur ce coup-ci), un échantillon se définit comme "une petite quantité de marchandise qui donne une idée de l’ensemble et permet d’en faire apprécier la qualité".

Jusque là, je suis d’accord. Là où je ne le suis plus, en revanche, c’est sur la personne qui va être amenée à "apprécier la qualité", justement. Parce qu’aux dernières nouvelles du front, un échantillon, c’est quand même bien fait pour donner envie aux consommatrices d’acheter. Pas fait pour que les vendeuses gardent tout pour elles et leurs copines, si je ne m’abuse !
Or, je ne sais pas si vous l’avez remarqué comme moi, mais j’ai la désagréable impression qu’aujourd’hui, il faudrait presque supplier les vendeuses pour qu’elles acceptent de nous donner quelques exemplaires de ces spécimens en voie d’extinction. On pourrait même - n’ayons pas peur des mots chocs - parler carrément de mission commando. Attention les filles, chaussez les godillots, serrez les mousquetons, affûtez les piolets, c’est parti pour la chasse aux échantillons !
Une règle d’or à connaître si vous souhaitez jouer les Lara Croft de la beauté. Retenez d’ores et déjà que si vous n’avez pas claqué au moins soixante-dix euros en eau de toilette, gloss et anti-cernes, vous ne tirerez rien de votre conseillère en parfumerie. Elle a des consignes, voyez… elle ne donne qu’aux braves filles qui ont déjà compris que pour avoir le droit de tester un nouveau produit, il faut auparavant s’être ruinée en produits relativement moins nouveaux.
Si malgré cette règle, vous osez, malheureuse, demander un échantillon à votre vendeuse, vous aurez sans doute droit à un regard condescendant et à un soupir à peine dissimulé lorsque celle-ci glissera dans votre sac un petit sachet de fond de teint, que vous auriez tout aussi bien pu vous procurer dans les pages publicitaires des magazines de filles. Elle se gardera bien de vous donner les flaconnettes toutes mignonnettes de sérum "spécial teint de bébé" ou les autobronzants "retour d’Ibiza". Pas folle la guêpe ! Elle se les garde pour elle, toutes ces merveilles gratuites !
Dans cette jungle embaumée qu’est le monde de la parfumerie moderne, certaines G.I. Jane tirent toutefois leur épingle du jeu et parviennent à extorquer (le mot n’est pas trop faible) trois ou quatre échantillons d’un coup, sans trop s’alléger le porte-monnaie ou s’égratigner l’amour-propre. Fières d’elles, pensez-vous ? Ha ha ! Jetez donc un œil sur leurs trombines déconfites lorsqu’elles découvriront que leur précieux butin se résume à des échantillons de parfums masculins ("heu, c’était pour MOI que je voulais un échantillon, madame") et qui plus est, d’une fragrance vieille de dix ans. Autant dire que pour un échantillon supposé nous faire découvrir les vertus d’un nouveau produit révolutionnaire aux effets magiques, on repassera, merci bien !
Mais ne soyons pas trop mesquine. Il arrive parfois que notre chère conseillère s’avise d’elle-même de nous gratifier d’un de ces petits cadeaux. Généralement, elle arbore son plus joli sourire pour nous asséner un "je vous ai mis un échantillon du nouveau gel purifiant spécial peaux à problèmes, avec ça, vous verrez, vos pores dilatés se verront moins", ne nous laissant alors que le choix de répondre par un sourire amer et forcé, le regard lanceur d’éclairs fulguropoings et les joues rosies de honte (oui, merci, je sais, j’ai 28 ans et encore des problèmes d’acné).
Remarquez, bientôt, le problème sera entièrement réglé, puisque les échantillons seront payants. Les marques ont déjà flairé le filon, d’ailleurs. Elles proposent leurs échantillons en guise de cadeau pour plusieurs produits achetés. Vous savez, le coup des trois doses d’essai spécial trousse week-end. C’est-à-dire qu’il faut toujours payer pour obtenir les précieux petits trésors, mais maintenant, on nous le dit clairement.
Mon conseil du jour : pour faire le plein d’échantillons, y’a pas trente-six solutions. Je n’en vois personnellement qu’une seule : devenez vous-même "conseillère en parfumerie", et vous pourrez tous les garder pour vous. Bon, sauf les échantillons de parfums masculins existant depuis dix ans, cela va sans dire…

9 juin 2006

Youhouuuu, me revoilou !!!

coucouAyyyyyéééééééé... Ma connexion internet est rétablie ! Pour combien de temps, je ne sais pas trop, mais en attendant, ça marche et je peux enfin revenir parmi vous. Comme quoi, parfois, ça sert de gueuler un bon coup sur les opérateurs internet qui font du travail de sagouin !!!
Pffffiouuu, à peine trois jours sans blog, et je me sentais toute démunie, dis-donc ! C'est grave docteur ? Cela ne démontre-t-il pas une grave addiction aux joies de la communication virtuelle ?
Et à part ça, je vous ai manquée, un peu ? ... ;-)

7 juin 2006

Problème technique

J’ai la preuve qu’une semaine qui commence avec un lundi de Pentecôte travaillé ne peut que mal se terminer : ma connexion Internet au bureau a lâché prise. Comme ça, sans prévenir. Du jour au lendemain, je me retrouve donc coupée du monde virtuel en général, et de mon blog en particulier.
Comme je n’ai pas non plus de connexion at home, je me vois contrainte et forcée de vous abandonner quelques jours, jusqu’à ce que mon biiiiiiiiiiiiiiip d’opérateur internet ait fait le nécessaire.
Le présent message est posté en méga vitesse depuis un ordinateur qui ne devrait jamais avoir eu connaissance de l’existence de Gin Fizz, donc je fais fissa, juste pour vous tenir au courant, et j’efface ensuite toutes les traces de mon passage ici.
A très vite, mes petits biquets !!! (Quoi ? Vous me trouvez bien familière ? Ah…)

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