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Gin Fizz

1 mai 2006

ELLE, ton univers impitoyaaaaa-aaaa-bleeeee ?

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Dans le ELLE de la semaine dernière, on nous annonçait fièrement que l’émission C.Q.F.V (Ce qu’il faut voir), magazine sur l’actualité culturelle diffusé sur France 3, serait cette fois-ci tourné en direct des bureaux du magazine, et que l’on pourrait voir à quoi ressemblaient les locaux et les journalistes du mythique hebdomadaire.

J’ai pas rêvé, hein. C’était écrit, noir sur blanc. Alors en bonne groupie curieuse, j’ai bien évidemment enregistré le reportage, avide de scoops et d’infos, ravie de pouvoir mettre enfin un visage sur tous les noms dont je lis les articles chaque semaine.
Ben non. Quasi rien. Effectivement, on nous a bien montré quelques journalistes plaidant pour leur coup de cœur culturel de la semaine (et je sais maintenant à quoi ressemblent Florence Ben Sadoun, Sandra Basch ou Florence Delbecq), mais le croustillant s’arrête là. J’aurais aimé voir les bureaux des journalistes, les salles de conférence de rédaction, les bureaux de créa qui décident des couvertures, les showrooms remplis à craquer de toutes les fringues de luxe prêtées pour les shootings photo… ou même la salle de cantine, à la rigueur… Mais non.
Du fonctionnement quotidien de cette bible de la mode qu’est ELLE, nous ne saurons rien. De la façon dont grouille la petite fourmilière de journalistes nous ne verrons pas une miette.

Alors du coup, je me demande toujours si l’ambiance à la rédaction de ELLE, ça ressemble plus à la petite maison dans la prairie ou à Dallas et son univers impitoyaaaaa-aaaa-bleeeeee… Une idée sur la question ?

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28 avril 2006

Mes amis les sept nains

nain_1

Rassurez-vous tout de suite, je ne fais pas collection de nains de jardin (grand dieu, non, quelle idée !). C’est juste que l’autre jour, je pensais à mon groupe d’amis le plus proche, ma « bande », comme ont dit quand on est ado, et j’en suis venue à une conclusion un peu surprenante : chaque petit gars de ce groupe pourrait s’appeler comme l’un des sept nains de Blanche-Neige.

Je vous resitue le contexte, pour bien comprendre. Lycée, année de seconde, durant laquelle je rencontre successivement mes futures meilleures-amies-à-la-vie-à-la-mort, et un groupe de gars un peu plus âgés que nous (c’est trop la classe, d’avoir des potes plus âgés, quand on est en seconde !). Coup de cœur amical immédiat. Et ça fait douze ans que ça dure, au gré des engueulades, embrouilles, éloignements temporaires…

Mais revenons à nos brebis. Les sept nains, disais-je.

Il y a d’abord Prof (C.), qui sait toujours tout sur tout et mieux que tout le monde, qui adore ramener sa fraise pour nous apprendre un truc. Surtout qu’il est avocat, donc autant vous dire qu’il a un débit de parole assez phénoménal. Au bout d’un moment, ça peut devenir soûlant, je ne vous le cache pas. A tel point qu’on a parfois envie de lui dire « tais-toi, pour voir ? ».

Ensuite, il y a Timide (T.), très discret, limite casanier, mais sur qui on peut compter pour se confier ou pour garder un secret. Rarement au centre des prises de bec ou des débats, et aussi neutre qu’un horloger suisse (mais pas aussi ponctuel, puisqu’il est systématiquement le dernier à se pointer aux RDV !).

Grincheux (M.), lui, râle en permanence et n’est jamais content de rien. Il a une dose de pessimisme profondément ancrée en lui, et prétend que c’est son anxiété qui le pousse à penser d’abord aux côtés négatifs d’une situation. Admettons…

Simplet (B.) est très gentil mais parfois surprenant dans ses réflexions. Quand on lui demande par exemple d’apporter la salade pour un dîner, il répond un lapidaire "bah pourquoi ?" (heu… pour qu’on la mange, peut-être ?).

Joyeux (T.) est toujours de bonne humeur, a toujours la blague qui fait rire (ou presque…), est toujours partant pour faire des tas de trucs. Il est souvent l’élément booster du groupe, celui qui prend les initiatives… Parfois un peu trop agité, on lui demanderait bien de freiner sur le café.

Enfin, il y Dormeur (S.), peu bavard, un peu apathique, et toujours prêt à basculer du côté obscur de sa couette. C’est… comment dire… reposant d’être avec lui.

Si vous savez compter, vous avez compris qu’il en manque un à la liste : Atchoum. Ah, celui-là, il m’embête. J’ai pas de copain hypocondriaque, ni de chocotte qui chouine dès qu’il a attrapé trois microbes. On n’a qu’à dire que c’est l’exception qui confirme la règle.

Et puis il y a le Prince… Aaaaah le prince… Jadis (il y a deux ans environ), un huitième protagoniste joua un temps ce rôle-là pour moi. Ce fut une belle histoire très compliquée et chaotique, qui ne s’est pas terminée par "ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants". Aujourd’hui, le Prince est redevenu simplement S.

S. n’habite pas en France, il s’est exilé dans de lointaines contrées il y a près de 6 ans maintenant, officiellement pour jouer au grand garçon, s’émanciper et commencer sa carrière, et officieusement, pour s’affranchir d’une famille un peu compliquée à gérer. Il fait donc partie de mes amis, mais il reste entre nous, encore à l’heure actuelle, une sorte d’ambiguïté très difficile à définir. Un jour, je vous raconterai à quel point il est délicat et problématique de choisir son prince au sein de son groupe d’amis…

Bref, tout ce développement métaphysique pour en arriver à un constat incroyable, que je n’aurais sans doute pas voulu croire si on me l’avait dit il y a quelques temps : j’ai pour amis les nains de Blanche-neige ! Diantre !

28 avril 2006

Ô Maje ô désespoir

ceintre_2Je reviens à l’instant de la vente privée organisée par NGR, qui regroupe jusqu’à dimanche soir les marques Maje, Stella Forest, Hartford et d’autres bidules dont j’ai oublié le nom. Franchement, c’est la première vente privée à laquelle je me rends, et j’ai été surprise dans le bon sens : pas de harpies en furie qui se ruent sur les vêtements, pas de cerbère mal-aimable à l’entrée, et quelques vendeuses presque serviables (oui, presque !).
Maje, j’aime bien. C’est joli, féminin, et aérien. Mais c’est quand même drôlement cher pour ce que c’est, non ? Trois bouts de tissus en voile et 2 boutons en nacre, hop, 120 euros ! Ouille ! D’où mon intérêt pour cette vente privée, bien entendu. Je m’y croyais déjà, j’imaginais faire le plein de jupons multicolores, de top en mousseline brodée, voire carrément – poussons le vice jusque là - me dégoter une jolie petite robette pour faire ma starlette à Paris-Plage cet été.
Ah, quelle naïveté ! Et quelle déception ! Bilan des courses : rien… enfin, rien de potable à mes yeux, disons. Y’avait bien une belle jupe en tricot bleu canard, assez raffinée, mais il ne restait que des tailles L ou XL, qui baillent de partout sur moi. J’veux bien être à la mode et porter du Maje, mais à 130 euros la jupe soldée, j’aime autant ne pas me retrouver cul nu dans la rue, quand même ! Ah oui, je suis peut-être exigeante, mais c’est comme ça.
Alors voilà. Tous mes efforts de fashionista radine n’auront pas payé aujourd’hui. Je suis déçue, déçue, déçue…

PS : Note spéciale à la vendeuse de pulls en pseudo cachemire au fond de l’entrepôt. Oui, tes pulls sont doux, mais quand même pas donnés. Oui, tu as lourdement insisté (avec toute ta panoplie de "ah mais c’est mêêêrveiiiillleux, regardez comme il vous tombe bien sur les épaules, bla bla bla…") pour que j’embarque un pull col V qui ne m’allait pas. Donc oui, je l’ai roulé en boule sur un autre stand avant de me faufiler discrètement vers la sortie. Fallait pas me gonfler comme ça…

27 avril 2006

La bouche en coeur

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Non, cette photo n’a pas été prise au rayon Beauté du Monop’. Oui, tous ces tubes de rouges à lèvres, crayons et gloss appartiennent à la même personne. Moi ! Même pas honte d’abord ! J’assume pleinement mon addiction, d’autant que je sais de source sûre que je ne suis pas la seule… (non, Hélène, je ne citerai aucun nom, tu peux dormir tranquille !).

J’adoooooooore littéralement tous ces bidules servant à se peinturlurer les lèvres de toutes les couleurs. Et j’ai beau en avoir déjà au moins une trentaine (quoi ? oui, bon d’accord… une cinquantaine…), j’exulte toujours à la perspective d’aller fouiner dans les dernières nouveautés.

Bien sûr, dans le tas, j’utilise toujours les quelques mêmes tubes… mais il n’empêche que j’aime l’idée d’avoir le choix. Le choix entre les couleurs (rouge pétant, rose pétale, rose dragée, rose pouffiasse, orangé bonne mine, noisette grillée, aubergine écrasée), les textures (couvrant, transparent, glossy), les effets (mat, satiné, brillant, laqué, vinyle, métallisé), les applicateurs (raisin classique, pinceau, embout mousse, tube)…

Et puis j’trouve ça joli, moi, tous ces trucs colorés. Avec ça dans une pièce, on sait tout de suite qu’on est dans un appart de fille. C’est de la déco utile et à moindres frais, en somme. Non, je n’essaye pas du tout de me trouver des excuses. J’assume, j’ai dit !

Enfin voilà, vous l’aurez compris, si je suis en retard au bureau tous les matins, c’est souvent parce que je passe trois plombes à trouver lequel de mes petits trésors ira le mieux avec ce que je porte.

Mais ce qui est le plus étonnant dans l’histoire, c’est que dès que j’ai mis un peu de rouge à lèvres (ou de rose, ou d’abricoté… je ne suis pas sectaire, vous noterez) je me regarde dans le miroir et j’enlève quasiment tout, sous le prétexte que le rouge aux lèvres, ça ne me va pas si bien que ça, en fait. Comment ça, c’est bizarre, les filles ? Pfff, n’importe quoi !

26 avril 2006

Le marchand de sable s'est fait la malle !

marchand_de_sable_22

Alors, celui-là, si je le croise, il va passer un sale quart d’heure, c’est moi qui vous le dit ! Ca fait trois nuits de suite qu’il me pose un lapin. Trois nuits que je ne ferme quasiment pas l’œil, que je me tourne et me retourne dans mon lit en regardant les chiffres défiler sur mon réveil luminescent.

00 : 42 Ca va, il est encore tôt, j’ai de l’espoir. Pour passer le temps, je compte les moutons. 

01 : 16 Moutons, brebis, veaux, vaches, cochons… je les ai tous comptés, il n’y en a plus un seul dans l’étable, et je ne dors toujours pas. Changement de technique : je visualise ma journée du lendemain, je pense aux films que j’ai envie d’aller voir, à la petite jupe d’été que j’ai repérée. Objectif : faire diversion. Penser à tout sauf à "faut que je dorme".

01 : 53 Ca me tape un peu sur les nerfs, mine de rien. Allez, un peu de zen-attitude. Longue inspiration par le ventre sur huit temps, pause, expiration par le nez… Au bout de douze respirations, tout semble tourner autour de moi à cause du trop plein d’oxygène, mais je n’ai toujours pas sommeil.

03 : 18 Ca craint du boudin, comme dirait Charlotte, ma voisine de 10 ans. Je me demande si c’est la pleine lune, parce que j’ai tendance à mal dormir à ce moment-là (je dois avoir des gènes de loup-garou). Et puis je me ressaisis : la pleine lune une fois, ok, mais pas trois fois de suite, quand même ?

04 : 34 Je viens de me relever pour vérifier. Non, ce n’est pas la pleine lune.

05 : 02 Tiens, mes yeux me picotent, on dirait bien que je vais m’endorm… ah bah non, fausse alerte !

07 : 52 : Bip bip bip biiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiippppppppppp  Aaah, mais qu’est-ce que c’est ? C’est l’heure de se lever ? Déjà ? Mais je viens à peine de…

Bah voilà ! Trois nuits de suite que c’est le même cirque ! Pourtant, j’ai tenté pas mal de trucs pour lutter contre cet étrange phénomène : la tisane « bonne nuit » ? Nan, faut que je me relève à 3h pour aller aux toilettes. Le petit verre de lait avant de se coucher ? Bof, c’est surtout bon pour mon chat qui vient réclamer sa part. Ah ça, après, il pionce comme un loir (mais à bien y réfléchir, il pionce tout le temps, alors ça ne compte pas). Les petits cachets à base de plantes ? Ben non, ça ne me fait pas grand-chose. L’album de Francis Lalanne, période 1987-1994 ? J’ai pas pu, j’ai pas pu, j’ai pas pu !

Alors quoi ? Faut que je me shoote au Donormyl et autre Stilnox pour espérer avoir mes huit heures réglementaires de dodo ? Ca me chagrine… Je préfèrerais quand même que le marchand de sable fasse son job correctement. Ca serait bien la moindre des choses. Peut-être qu’il a trouvé un meilleur emploi ailleurs ? Peut-être que c’était la fin de son CPE ? Il est passé, chez vous ?

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25 avril 2006

La petite histoire de mes belles ballerines beiges

ballerines_11Ce week-end, à Paris, il a fait beau ! (si si, je vous jure !). L’occasion pour moi de partir en mission spéléologie dans les tréfonds de mes placards, et d’en extirper tous les vêtements et chaussures d’été, qui étaient jusqu’alors soigneusement (hum…) rangées dans l’attente des beaux jours.
A chaque printemps, je retrouve avec joie mes petites jupes en mousseline de soie, mes tops légers et émanchés (très joli néologisme qui signifie donc "sans manche" comme vous l’aurez compris), mes sandalettes à lanières et mes ballerines… Il faut savoir que je suis assez fan des ballerines, et que j’en possède dans plusieurs formes et couleurs (comme toute fan qui se respecte).
Donc ce week-end, plantée au milieu de mon foutoir vestimentaire estival, j’ai fini par remettre la main sur mes ballerines chouchoutes, et je me suis dit que j’allais vous raconter comment elles avaient fini par atterrir dans ma malle aux trésors.
En fait, ce ne sont pas nécessairement mes plus belles chaussures, ni mes plus chères. Mais elles ont acquis le titre de chouchoute parce que j’ai eu un mal de chien à les dénicher (oooh… chien, dénicher… comme je suis drôle !).
J’ai eu le coup de foudre un beau jour de juillet 2004, quand je les ai vues aux pieds de J., ma copine-toujours-si-joliment-habillée-que-c’en-est-râlant. Je les matte en douce, pour ne pas paraître à l’affût du tuyau, et surtout ne pas faire genre "oh moi aussi j’veux les mêmes, tu les as achetées où ?" (j’ai ma fierté, merde !). Soudain, la belle se déchausse pour enfiler une autre tenue (je vous passe tous les détails de cette journée d’enterrement de vie de jeune fille, ou bien on est encore là ce soir !). Ni une ni deux, je m’approche discrétos et vois le logo de la marque sur la semelle interne. Bien, ces adorables bidules viennent donc de chez Bensimon. Ok, l’enquête prend forme, Colombo est sur une piste…
A ce stade de l’histoire, on pourrait penser que le reste de mon investigation était quasi bouclé : un saut à la boutique, "vous les avez en pointure 39 ?", carte bleue qui flambe et hop, l’affaire est dans le sac, et bientôt à mes pieds. Que nenni, mes amis, que nenni ! C’était sans compter que, en plein mois de juillet, les boutiques ont déjà écoulés leurs stocks d’été depuis belle lurette, et qu’elles en sont déjà à nous refourguer les moon-boots et caracos en fourrure d’écureuil. Le verdict est donc sans appel : "non, nous avons tout vendu. Non, nous n’allons pas en recevoir. Non, on ne passe plus de commande sur ces articles". Pour moi, c’est la fin du monde (au moins pour 5 jours)…
La vendeuse a dû noter mon air dépité, et me tend la carte des autres boutiques de la marque en France, en suggérant que peut-être, ailleurs, sait-on jamais…
Regonflée à bloc, je rentre chez moi fissa, empoigne mon téléphone, et me met fiévreusement à composer un par un tous les numéros de la carte. D’abord les autres boutiques de Paris et de sa proche banlieue, puis les grandes villes de Province : Marseille, Nice, Bordeaux. Rien. Je coche sur la carte de visite les boutiques déjà appelées une à une… et finalement, à force de patience et de ténacité, le miracle opère. A Strasbourg, il reste une paire en pointure 39, dans le coloris que je veux. Et cerise sur le pudding, elle est vendue au prix soldé de 50 %, fin de collection oblige. J’aurais eu la vendeuse devant moi, je lui aurais presque roulé une pelle, tellement j’étais contente ! (En même temps, faut quand même que je me calme, ce ne sont que des chaussures).
J’envoie le chèque, et huit jours plus tard, elles sont là, chez moi, flambant neuves. Bon, je vous l’accorde, sur la photo elles ont pris un sacré coup de vieux et certains d’entre vous ne doivent pas comprendre comment on peut déployer tant d’énergie pour une vulgaire paire de godasses. Bah moi, m’en fous, je les aime. En plus, on peut changer le ruban à volonté. Vous pensez bien que j’en ai toute une collec’, même si au final, je mets toujours les deux mêmes couleurs. Aaaah… devant tant de félicité, je ne peux que citer le grand philosophe grec Nikos Alliagas : "c’est que du bonheur !"…

24 avril 2006

L'ile aux trésors

Aujourd'hui, inauguration d'une nouvelle rubrique intitulée "Boîte à idées", pour vous parler de tous les lieux qui méritent un petit détour : resto, bar, boutique, musée, parc, quartier... (c'est évidemment un peu centré sur Paris, puisque c'est ici que je vis).

flo_32Découverte de mon week-end shopping : L'Ile à Flo. Une jolie boutique de décoration cachée dans une petite rue du 7ème arrondissement. Pleins de jeunes artistes et créateurs y sont exposés, et souvent renouvelés. On y trouve, entre autres, les sacs en tissus de Lili Cabas (créatrice qui monte, qui monte, qui monte...) ou les stickers pour décorer les murs de Fleur de Kookyse. Absolument superbe !
La boutique regorge de trouvailles originales et colorées, comme les guirlandes berlingots pour bébé, sur lesquelles j'ai totalement craqué (voilà une idée de kdo de naissance à garder en tête !). Bref, un régal pour les yeux et une mine d'inspiration pour des cadeaux originaux. J'adoooore !

L'Ile à Flo - 37, rue Malar - 75007 PARIS
Tél : 01 47 05 25 16
(photo : http://lileaflo.free.fr)

21 avril 2006

Keep it secret or not ?

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Messieurs dames, l’instant est grave. Maintenant que j’ai posé un pied dans la blogosphère, il me vient une question existentielle : dois-je révéler à ma famille ou mes ami(e)s la naissance de mon petit bout de blog ?

D’un côté, j’ai envie de me dire "pourquoi pas ?". Tout ce qui fait ma vie devrait pouvoir se partager avec les gens qui me sont proches. Et puis je pourrais demander conseil à certains plus calés que moi en informatique, parce que je suis une vraie truffe dans ce domaine (la preuve, j’ai toujours pas compris comment faire un joli bandeau pour mon titre de blog. Et j’ai cherché, je vous jure !)

D’un autre côté, j’ai aussi envie d’avoir ici un petit jardin secret, voire un exutoire pour les jours sans. A qui vais-je me plaindre des défauts de mon père, à qui vais-je raconter les petites crises entre copines, auprès de qui vais-je ruminer mes colères ou ma rancœur, si tous les gens dont je parle peuvent venir lire ici ce que je pense parfois d’eux, tout bas ?

Ah, la question est délicate, vraiment…

Après mûûûûûre réflexion, je crois que je vais opter pour le mi-secret. Je ne révèlerai pas moi-même à mes proches mes obscures activités bloguesques, mais je ne m’en cacherai pas non plus. Si on me questionne, si on me torture, je ne nierai pas. Mais je n’irai pas non plus jusqu’à donner le nom de mon blog, ou l’adresse. Celui qui est curieux devra mener son enquête tout seul !

Et si par hasard l’un(e) d’eux tombe un jour sur ces pages, qu’il soit le bienvenu, et qu’il profite de ses lectures pour pouvoir un peu mieux comprendre celle que je suis…

20 avril 2006

Un nom qui pétille...

ginfizzPourquoi "Gin Fizz", me direz-vous ? Je sais pas, ça sonnait bien...
Bon, si vous insistez vraiment, je veux bien vous raconter l'histoire. Vous insistez ? OK...
Au départ, je n'avais pas du tout l'intention de nommer mon bébé blog comme ça. J'étais plutôt bêtement partie vers quelque chose en rapport avec mon prénom... Un truc autour de "Mademoiselle K" ou de "Miss K" (pourquoi chercher midi à quatorze-heure, hein ?) mais les deux étaient déjà pris (le second est d'ailleurs le site d'une strip-teaseuse, j'ai bien fait de trouver autre chose !).
Ensuite, j'ai cherché quelque chose autour du thème de "boudoir". Je trouvais que ça m'allait hyper bien, parce que je suis une grande boudeuse et j'aurais pu trouver des jeux de mots marrants là-dessus. Ben non ! "Déjà pris !", m'a répondu Google !
Je passe sur les idées débiles et saugrenues qui m'ont traversées l'esprit. Disons simplement que je n'étais pas dans un jour très "créa". A la radio, une chanson de Enzo Enzo, "juste quelqu'un de bien". Tiens, ça pourrait être ça, le nom de mon blog ? Mmmm, non, un peu prétentieux quand même...
Vient ensuite une vieille chanson de Yves Simon, B.O. du film "Diabolo Menthe" de Diane Kurys (bon, qui a dit que j'écoutais des radios ringardes ?!!). Bah voilà, j'ai trouvé : Diabolo Menthe. Ca me plait. Google a l'air de dire que c'est ok. Coooollll ! Je m'agite, je m'emballe, je pense déjà au beau décor vert que je vais pouvoir créer...
Je commence à remplir mon formulaire d'inscription sur canal blog, et là... c'est le drame ! "Cet identifiant existe déjà". Quoi ? Comment ? On m'aurait menti ? (Là, vous devez vous dire que je fais une histoire pour pas grand chose... mais non, les gars, je raconte de façon romancée, pour que vous viviez la scène comme si vous y étiez !)
Je remets dare-dare mes neurones en ébullition, et l'étincelle survient : Gin Fizz ! C'est joli, c'est court, ça sonne bien, ça donne l'impression de pétiller, ça me plait... et c'est libre ! banco !
Après coup, je préfère même Gin Fizz à Diabolo Menthe. Ca fait plus adulte, plus mature. J'ai passé l'âge de boire des diabolo menthe, non ?

(Après relecture : je me demande si ce blabla est vraiment intéressant. Mais c'est vous qui l'avez demandé, hein ?!!)

(photo : 1001cocktails.com)

20 avril 2006

Petit blog deviendra grand ?

pousse_2Ayééé... je me lançe ! Après quelques mois de fréquentation assidue de blogs en tout genre, me voilà moi aussi tentée par l'aventure. Débuts nerveux et hésitants, décor encore en construction, mais les petits papillons dans le ventre sont bien là. Vous savez, cette sensation étrange et agréable que, à l'instant T, quelque chose est en train de se jouer...
Au menu de ces pages ? Coups de coeur, coups de gueule, coups de blues, coups de speed... en vrac... au gré du vent...
Bienvenue dans mes bulles de vie !

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