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Gin Fizz

16 octobre 2012

Paris Paris combien, parie tout ce que tu veux

Paris_Priceless_2

Les parisiens sont râleurs, c'est un fait. Pourtant, dans leur grande majorité, ce sont aussi bien souvent des amoureux notoires de leur belle ville, capables de s'émouvoir de choses finalement simples, mais essentielles à leur bien-être et leur bonheur de citadin.
Moi, parisienne depuis presque toujours, je me surprends parfois à admirer ma ville avec des yeux de touriste, ou à l'inverse, j'aime parvenir à l'apprivoiser comme si je la connaissais par coeur, même si c'est bien entendu très illusoire...

J'aime quand, par exemple :

* Je rentre de voyage, de vacances, et m'imagine à la place d'un étranger qui débarquerait à Paris pour la première fois. Les taxis de l'aéroport qui filent à toute allure, le métro crasseux qui recèle pourtant de jolies stations, les lignes aériennes qui enjambent la Seine et laissent découvrir au détour d'un virage quelques uns des plus beaux monuments au monde. (Oui, je suis un peu chauvine là, je m'en rends bien compte). J'aime imaginer ce que pourrait penser un touriste anglais, japonais ou turc, qui découvre enfin la ville Lumière après l'avoir vue sous toutes les coutures dans les films et sur les cartes postales.

* Les rares fois où je dois me lever à l'aube, j'aime redécouvrir Paris encore endormie aux premiers rayons du soleil. Les rues calmes, les boulangeries qui distillent la bonne odeur du croissant frais, ou le métro qui ne draine pas encore son flot de jeunes cadres dynamiques des heures de pointes. Cliché, certainement, mais dans ces moments, j'aime me sentir parisienne.

* J'aime bien repasser devant l'immeuble où j'ai habité petite. Notre premier logement parisien, sur ce grand boulevard du 11ème arrondissement, qui n'avait à l'époque pas du tout la même connotation bobo qu'aujourd'hui. Regarder "nos" fenêtres, imaginer la nouvelle vie qui se déroule derrière. Est-ce aussi une famille avec trois enfants ? Et le commerçant en bas de l'immeuble, a-t-il changé ? Ah non, il a juste modernisé son enseigne, mais il est toujours là... Nostalgie du temps passé, et en même temps satisfaction du chemin parcouru depuis ces moments-là...

* Malgré mon horreur de prendre le scooter, j'aime rentrer tard le soir en 2-roues en passager arrière, et voir défiler autour de moi la ville et ses lumières. Le jeu continuel des feux tricolores, les enseignes allumées toute la nuit, les phares des voitures, les réverbères des trottoirs... Un spectacle son et lumières que je savoure en silence, murée dans mon casque qui assourdit le bruit autour mais le rend encore plus intense en même temps. Pour un peu, je me croirais presque dans mon propre générique de "Paris Dernière".

* J'aime enfin savoir qu'ici, tout est possible. Musées, théâtres, opéras, vernissages, spectacles de rue, petits concerts dans les bars, nouveaux restaurants... partout, tout le temps, il peut se passer quelque chose. Je n'y participe pas la plupart des jours, bien sûr, mais je sais que la ville est là, autour de moi, bien vivante, bien vibrante, et qu'il n'y aurait qu'à descendre dans la rue pour bousculer un peu mon ordinaire.

...
Pourquoi je vous raconte tout ça ? Non, je n'ai pas respiré trop de parfum de nostalgie ce week-end, ni avalé un paquet entier de madeleines de Proust. Je rebondis juste sur le sujet principal d'une très chouette opération dont j'ai eu envie de vous parler :

"Il y a certaines choses qui ne s'achètent pas...". Ce slogan vous dit certainement quelque chose. Depuis 1999, c'est une partie de la signature de communication de Mastercard, qui capitalise sur ce concept fort pour lancer, en cette fin d'année 2012, un projet de grande envergure à destination des parisiens (ou des amoureux de Paris) : Mon Paris Priceless. Forte d'une longue étude menée auprès de parisiens, la marque a déterminé tout ce qui rend Paris "priceless" aux yeux de ses habitants. A 80%, ceux-ci se déclarent toujours émerveillés par cette ville, et 74% considèrent que l'on y vit plus de moments inestimables, comparé à d'autres villes françaises ou internationales.

Entouré de partenaires prestigieux tels que Le Fooding, l'Opéra National de Paris, le Plaza Athénée, la Salle Pleyel..., Mastercard entame donc dans les prochaines semaines un programme Paris Priceless destiné à faire partager aux participants des instants uniques et privilégiés, leur permettant ainsi de vivre un moment qui n'a pas de prix. Quelques exemples : faire son marché de Noël à Rungis accompagné d'un chef triplement étoilé, découvrir les coulisses du grand Opéra de Paris, jouer à la pelote basque sur un frontis situé au dernier étage d'un somptueux immeuble ayant vue sur le tout Paris, etc.

Si tout se passe comme prévu, j'aurai bientôt la chance de vivre mon petit moment priceless à moi, dont je vous reparlerai ici. Quant à vous, tenez-vous prêts le 14 novembre prochain, car Paris deviendra très spécial lors de ce Priceless Day, avec mille surprises disséminées sur la base du hasard dans les rues (ou ailleurs). Soyez aux aguets pour vous laisser surprendre et savourer un moment qui ne s'achète pas...

(Billet absolument pas sponsorisé, si ce n'est par l'envie de partager une opération de communication qui me plait beaucoup).

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11 octobre 2012

En bracelet comme vous voudrez - Concours Swarovski

Article sponsorisé

La customisation, ça vous parle ? Réaliser un article sur mesure, rien que pour soi, et pas comme celui de la voisine. Un truc à nous, qui ne ressemblerait à aucun autre, et dont on pourrait dire avec une pointe de fierté "c'est moi qui l'ait fait". Gros succès ces dernières années, autant en mode qu'en beauté, puisqu'aujourd'hui, tout est personnalisable, des jeans jusqu'aux moccassins à pompons de notre enfance (enfin, perso, j'ai échappé à ce carnage, merci maman).

En matière de bijoux sur-mesure, Chamilia est l'une des marques les plus innovantes sur le net. Elle commercialise notamment un bracelet personnalisable, et entame à cet effet un partenariat avec un somptueux partenaire, Swarovski, réputé pour la grande qualité, pureté et intensité des materiaux employés (argent sterling, verre italien de Murano, entre autres).

Le principe est tout simple : à partir d'une base de bracelet jonc en argent, on choisit et enfile dessus des "beads" qui nous plaisent, constituant ainsi un assortiment parfait à nos yeux. Des quoi, elle dit, la dame ? Des beads, c'est à dire des sortes de grosses perles, aux couleurs, formes et tailles ultra variées (trèfle, crâne, couronne Disney, triple anneau... tous les goûts sont dans la nature, et donc dispo sur le site). Nombre de beads, couleur, intensité... tout peut se moduler en fonction de nos choix, de notre humeur, de notre tenue même.



Pour vous présenter ces créations, j'ai reçu un bracelet en argent et 6 beads dans les tonalités bleutées, que j'ai aimé accessoiriser avec une montre en argent classique (mais classe) et un vernis bleu profond pour coordonner le tout. Bon, ça aurait encore plus de gueule sur une jolie main bronzée (et hydratée, mon dieu, où est ma crème spéciale mimines !), mais en attendant, je trouve quand même que ça a une certaine allure, non ?



* Attention Concours *
Et vous savez quoi ? J'ai le même bracelet à vous faire gagner ! Et croyez bien que ce n'est pas un petit cadeau de rien du tout, car l'équivalent bracelet + 6 beads représente une valeur de 391 euros tout de même. Oui, cette année, Noël tombe en octobre, il parait ! A vos claviers les filles (ou les garçons qui veulent jouer pour les filles).
Comment participer ? Rendez-vous sur le site www.chamilia.com et donnez-moi ici même le lien de la bead qui vous tente le plus. Moi par exemple, j'aime bien la petite pomme argentée, mais ça doit être mon côté Apple-addict qui parle... Je laisse les participations ouvertes jusqu'à jeudi 18 octobre 23h59 (c'est précis) et je désignerai parmi les participantes une gagnante qui recevra le bracelet montré ici en photo, dans un joli petit pochon vert. Attention, jeu ouvert uniquement pour la France métropolitaine. Bonne chance à toutes (ou tous !).

EDIT du 19 Octobre 2012 : *** CONCOURS CLOS ***

Merci à toutes/tous pour vos participations (oui, j'ai eu quelques hommes qui ont participé pour leur douce, c'est mignon !). Suite à un suspense insoutenable (et à un tirage au sort via les pseudos laissés par les participants - puisque Canalblog refuse toujours de numéroter les commentaires), je suis heureuse d'annoncer le nom de la gagnante du bracelet Chamilia / Swarovski, qui est... ... ... Camille ! (Commentaire du 18 octobre à 13:12).
Camille, je te contacte très vite pour récupérer ton adresse et t'envoyer le joli cadeau ! Quant aux autres participant(e)s, ne soyez pas trop déçu(e)s, j'espère avoir très prochainement d'autres jolies surprises à vous faire gagner ici ! Bon week-end !

8 octobre 2012

Bâtir des châteaux en Ecosse

Edimbourg_Ecosse_chateau

Allez, oui, un petit dernier pour la route. Un dernier week-end tourisme en amoureux, avant de se mettre en mode cocooning pour l'arrivée du bébé. La clôture de notre saison 2012 se fera donc avec Edimbourg. J'aurais préféré me refaire un petit shoot de soleil et de douceur avant d'affronter l'hiver, mais qu'importe, l'Ecosse m'a toujours attirée à sa façon, c'était donc l'occasion d'y faire un premier saut. Impressions en vrac et dans le désordre :

Question hébergement, j'ai cette fois-ci trouvé mon bonheur sur le site SkyScanner, un super moteur de recherche comparatif pour trouver des billets d'avion et des hotels partout dans le monde. Perso, j'avais certes acheté mes billets avec EasyJet il y a moult (je deviens la grande pro des week-ends plannifiés 10 mois à l'avance !), mais avec le bidou qui pousse, j'ai attendu jusqu'au dernier moment pour l'hébergement, histoire d'être sûre de pouvoir partir. Hop, en quelques clics (ville, dates, budget souhaité...), nous avons choisi un mignon petit hotel du centre ville, le Terrace Hotel, au charme british délicieusement suranné et aux petits déjeuners copieux à souhait.

Ce qu'il y a de bien en Ecosse, c'est que même si tu pars de chez toi avec un parapluie et des bottes jusqu'aux genoux, tu peux presque parier que tu auras quand même un grand soleil deux heures après. Et réciproquement, par contre. Le vent de mer (oui, Edimbourg, c'est quand même situé au bord de la Mer du Nord, donc assez venté) chasse et apporte les nuages au gré de ses caprices. En gros, impossible de prévoir le temps de la journée, et c'est sans cesse armés d'un imper ET de lunettes de soleil que nous avons silloné la ville, fidèles à nos habitudes de "marcher pour mieux s'imprégner".

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La ville est dominée par le so famous Château d'Edimbourg (oh, c'est fou comme nom), gigantesque citadelle fortifiée bâtie à flanc de colline. Pour grimper là-haut, laissez-moi vous dire que ça grimpe légèrement. Mais la vue est assez exceptionnelle, et donne toute la mesure du parfait mélange ville/nature offert ici. Partout, des étendues aux pelouses verdoyantes, des parcs ou des allées arborées. Et au loin, le must, la colline du parc Holyrood et son fameux point culminant, Arthur's Seat (nommé ainsi car selon la légende, c'était l'endroit où venait s'assoir le Roi Arthur pour contempler ses terres), qui surplombe la ville. Sans monter jusqu'au sommet (hé, ho, on m'a dit mollo sur les efforts), notre petite balade dans le parc nous a donné un avant goût de la vie au grand air appréciée des Ecossais, qui viennent nombreux courir, pédaler, roller-blader, ou leur chien promener dans le coin.

Et puis, moment de grâce ou de stupeur, j'hésite encore, nous avons aussi croisé ce doux-dingue, venu nourir les cygnes du lac accoutré d'un déguisement de girafe parfaitement mignon et grotesque en même temps. Sorti de nulle part, l'air sérieux et appliqué, il s'est installé sur la rive, son panier rempli de pain sec à côté de lui, et a gentiment conversé avec les oiseaux une heure durant. (Je ne sais pas ce qu'il prend comme drogue, mais ça a l'air sérieusement dosé).

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Question gastronomie (ha ha, dire que j'ose employer ce terme pour parler de la nourriture écossaise, on aura tout vu), rien de grandiose à signaler. J'veux dire, si vous aimez les burgers de cerf ou le ragout en sauce, foncez. Mais sinon... rabattez-vous sur les pubs et les tavernes. Ah, l'Ecosse, l'autre pays du whisky, pourrait-on dire. Chéribibi, aux anges, m'a trainée quasi de force au Musée du Whisky, où une exposition kitchouille à mort nous retraçait les grandes étapes de fabrication du breuvage suprême. Plus sympa, la visite se poursuit par une initiation aux quatre grands arômes de malt (en fonction des terres où ils sont produits), suivie d'une dégustation appliquée, devant une superbe collection de plus de 300 bouteilles "grand cru". Perso, évidemment, j'ai passé mon tour et me suis rabattue sur la découverte du soft-drink local, le Irn Bru (a vos souhaits), une sorte de soda orange fluo qui bat à plates coutures la consommation de Coca-Cola dans le pays. Un bon goût de chewing-gum et de caramel, mmm, j'ai beaucoup aimé.

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Seul gros regret au moment du départ, celui de ne pas avoir eu/pris le temps de partir en escapade à l'extérieur de la ville, dans les landes écossaises remplies de bruyères, les loch aux monstres imaginaires (mais le Loch Ness était vraiment très loin), et les ruines de châteaux hantés perdus au sommet des collines. Il fallait faire un choix pour occuper nos presque trois jours sur place. Et les Highlands ne se visitent sans doute pas en un jour non plus...

Bon, sur ce, je vous laisse, j'ai envie d'aller écouter ma super compile "Best of 20 titres à la cornemuse" pour me replonger dans l'ambiance ! Bonne semaine à vous !

3 octobre 2012

Beauty crash-test : les lingettes Demak'Up

Lingette_Demak_up 

Article sponsorisé

Tiens, aujourd'hui, on a qu'à dire que je joue à la blogueuse beauté ! En exclusivité mondiale et inter-planete-internet, me voilà lancée dans le crash-test de produits beauty.
A la base, je ne suis pas une grande adepte des lingettes (en tout genre : beauté, ménage, déo...), mais je dois bien avouer que de temps en temps, ça dépanne furieusement !

Comme cette fois récente où je me suis rendue chez le petit photographe du coin afin de réaliser mes photomatons pour réactualiser mon passeport (oui, je m'étais bien fait embobiner par le coup du "faut pas des photomatons classiques, la préfecture vous les refusera". Et allez, 25 boules les 4 photos. Moches en plus. Mais bon, on parlera de ça dans un prochain billet, si vous le voulez bien...). Je disais donc, je me suis rendue chez le petit photographe du coin, qui me laisse cinq minutes pour me refaire la façade afin d'être "au mieux" sur mes photos.
C'te blague, oui. Dans la lumière blafarde de son arrière cabine, ET sachant qu'il vaut mieux forcer un peu les traits pour faire ressortir les yeux et la bouche en photo, je me peinturlure quasi à la truelle : et vas-y que je te colle la couche de fond de teint, de poudre matifiante et de blush. Et youpla que j'use et abuse du mascara, genre même Betty Boop aurait été jalouse de mes cils épais. Et vlan que je choisis une teinte de rouge à lèvres un peu plus foncée que d'habitude, pour "souligner ma bouche" (ah ça, elle était soulignée, oui. On aurait dit que je venais de manger des raviolis et que je n'avais pas fini de m'essuyer).

On prend la photo, clic clac, repassez dans 4h, merci, bonjour chez vous. Et je rentre tranquillement au bureau reprendre une activité normale (lire mes mails et les blogs, quoi). Mais j'oublie. J'oublie, en sortant dans la rue, à la lumière naturelle criarde du pseuso soleil d'hiver, que j'ai l'équivalent du stock Séphora sur la trombine. Et manifestement, ça se voit. Beaucoup. Trop. En gros, je fais peur. Vous connaissez Katia, de la Place Clichy ? Oui, bah... bon, voila.
Heureusement, comme dans les contes de Grimm, ils se marièrent et tout est bien qui finit bien, et une collègue-bonne fée me file sa trousse de toilette et son démaquillant pour me refaire une beauté plus... naturelle.

Bref, pourquoi je vous raconte tout ça (en dehors de ma grande aptitude à vous faire du 3615 ma vie mon oeuvre, direz-vous) ? Parce que Demak'Up, la marque chouchoute des cotons démaquillants, s'attaque maintenant aux lingettes sauve-la-mise pour les coups durs (et les paresseuses du démaquillage, aussi). Deux versions, une "Fraîcheur coton" à l'eau démaquillante, et une "Douceur coton" au lait. C'est cette seconde que j'ai choisie de crash-tester pour supprimer en un rien de temps fond de teint + crayon à yeux + rouge à lèvres tenace.

Verdict ? Really good ! Y'a qu'à voir le résultat en photo : lingette n°1 toute dégueu cra-cra (mais c'est bien ce qu'on lui demande), lingette n°2 nettement plus light niveau résidus de fond de teint, et coton de finition impeccable en étape 3. Banco, je valide et c'est mon dernier mot Jean-Pierre. 

test_copie     lingette_1

Pour découvrir d'autres anecdotes croustillantes de démaquillages en urgence, rendez vous sur le site de la marque, www.makeup.demakup.fr, où vous pourrez retrouver les petites histoires d'autres blogueuses. Et juste parce que j'aimerais me dire que je ne suis pas la seule Bridget Jones du coin, si vous avez une anecdote personnelle au sujet de maquillage/démaquillage, les commentaires de ce billet sont ouverts, et là pour ça ! Un jury Demak'Up élira l'anecdote la plus amusante parmi toutes les propositions (des blogueuses et des lectrices, en commentaire). Une chouette séance de maquillage à gagner pour 2 personnes à la clé. A vos cotons, les filles !

24 septembre 2012

3 ans 1/2 d'amour, et quelques semaines

Chaussures_trois

Voilà, on y est. Après un timide coming-out sur Facebook et Twitter il y a quelques jours, l'heure est venue pour ce blog de partager à son tour une jolie petite nouvelle. La photo d'illustration du billet en annonce assez clairement la teneur : oui, j'attends un bébé... Et vous pouvez vous fiez à la couleur des petits chaussons, c'est bien une petite chouquette qui viendra nous rejoindre, Chéribibi et moi, d'ici la fin du mois de janvier.

Hé oui, voici donc une petite partie des explications. Explication de mon presque silence cet été (fatiguéeeeeeee), de nos vacances un peu moins exotiques qu'à l'accoutumée... Les choses changent. Ce n'est pas pour me déplaire, mais il faut prendre le temps de s'adapter...

Oh évidemment, comme le chantait France Gall, "c'est peut-être un détail pour vous, mais pour moi ça veut dire beaucoup".

Beaucoup de joie dans l'absolu, car voilà un projet de longue date qui se concrétise enfin.

Beaucoup d'organisation à revoir, aussi. Mettre le hola - temporairement au moins - sur toutes ces petites escapades de week-end aux quatre coins d'Europe et ces envies de longs voyages à l'autre bout du monde. Déménager dans plus grand, plus adéquat. Revoir ses priorités sur le long terme.

Beaucoup d'économies à prévoir (la nouvelle collection Zara à tomber par terre ? Tsss, pas pour moi cette année !) et beaucoup de dépenses qui compensent (qui est-ce qui louche dès à présent sur les rayons Baby des grandes enseignes ? Qui est-ce qui gagatise à mort devant les grenouillères à rayures et les petites robes taille Minipouce ? Ca promet, tiens...)

Beaucoup d'angoisse et de stress, enfin. Je n'apprends rien aux déjà-mamans, mais les premiers mois de grossesse sont paradoxalement les plus épuisants physiquement et nerveusement. Ces premiers mois où on garde la nouvelle pour soi, où on le cache à son entourage. D’abord par superstition, on ne sait jamais ce qui pourrait arriver. Aussi par envie de conserver ce petit secret juste à deux, encore un peu.

Mais ces premiers mois, pourtant, où on aimerait aussi partager avec la terre entière ses doutes, ses interrogations, ses incertitudes. Où l'on aurait mille questions à la minute, envie de parler de ça sans cesse, et besoin d'être rassurée sur tout et son contraire.

Ces premiers mois où l’on préfèrerait dire calmement à sa collègue que là, en fait, le dossier Duchmolle, on s’en fout complet, étant donné qu’on a juste envie de dégobiller notre petit déj sur ses ballerines en daim. Où l’on aurait besoin de se rouler en boule sous sa couette après les déjeuners pour piquer un somme réparateur, mais où on lutte vaillamment devant l'ordinateur. Ces premiers mois où l’on aimerait enfin simplement hurler à la face du monde que, hé les gars, je suis en train de concevoir un bébé, je subis des tonnes de changements que je ne comprends pas, je suis fa-ti-guée, foutez-moi la paix merde à la fin. (Oui, la future mère a souvent tendance à se prendre pour le centre du monde, oubliant au passage que les femmes tombent enceintes depuis la nuit des temps et qu’elle-même ne fait que suivre le cours à peu près normal des choses…).

Le début d'une nouvelle ère, remplie de couche-culottes, vitesse de tétine, visites chez le pédiatre et doudou perdu sur le chemin de la crèche. A mon avis, ça promet quelques futurs billets pas piqué des vers... J'ai hâte !

(Si on m'avait dit un jour que je prendrai un titre de Patrick Bruel pour intituler l'un de mes billets... damned...)

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12 septembre 2012

Blog-notes #5

post_it4Oui, ça faisait longtemps, mais la rubrique Blog-notes renaît de ses cendres en cette rentrée chargée. Allez zou, un bon plan, et deux coups de coeur. Paf, comme ça, d'un coup !

LECTURE DU SOIR :
Je cherchais pour cet été un bouquin "suspensifiant" que je n'aurai pas envie de lâcher. Après un appel à l'aide sur Twitter, on m'a conseillé (merci miss) Avant d'aller dormir. Et autant vous le dire, aller dormir, c'était un peu le cadet de mes soucis tellement j'ai été prise par cette lecture ! Pourtant, ce n'est pas un polar classique, avec meurtre et découverte du cadavre au chapitre 1, et intrigue menée tambour battant jusqu'aux dernières pages où l'on découvre que, haaan, en fait c'était le gentil le coupable. Non, ici, point de revolver, d'autopsie ou d'interrogatoire policier.
L'héroïne, Christine, est une anglaise quarantenaire qui se réveille chaque matin avec un affreux trou de mémoire. Qui est-elle, qui est l'homme a côté de qui elle se réveille ? Mystère. Sur les conseils d'un médecin, elle va se mettre à relater chaque soir dans un journal le contenu de ses journées et les infos qu'elle a accumulées au sujet de sa vie, dans le but d'apprivoiser un peu mieux son quotidien. Mais petit à petit, en relisant ces pages, elle perçoit plusieurs incohérences entre ce que lui racontent ses proches d'un jour à l'autre, et ses quelques souvenirs éparses qui lui reviennent par flash. La vérité n'est peut-être pas celle qu'on s'acharne à lui raconter...
(Bon, je suis franchement nulle pour faire un pitch, ne vous fiez pas à ce résumé un peu minable).

Avant_d_aller_dormirJ'aime autant vous prévenir, le style d'écriture est un peu lent, on répète beaucoup les choses (puisqu'il faut répéter à l'héroïne qui elle est, chaque jour), mais pourtant, on ne s'ennuie pas un instant. Au contraire, il est très facile de se glisser dans la peau de Christine et de s'imaginer avoir perdu la mémoire (pourquoi ? comment ?), d'imaginer le désarroi dans lequel elle est plongée, et de cogiter sur "et si ça m'arrivait à moi, comment se passeraient les choses ?".
J'ai avalé ce bouquin en 3 jours chrono, et si ça n'est pas LE livre du siècle, j'en garde une très bonne impression et une envie de le recommander à mon entourage. Vous savez ce qu'il vous reste à faire...

Avant d'aller dormir, S.J. Watson, Editions Sonatine.

ADDICTIF :
Je ne vous parle jamais de séries télévisées sur ce blog, et pourtant, j'en consomme pas mal. J'en regarde certaines toute seule dans mon coin (forcément, Chéribibi n'est pas super fan des scénarios larmoyants de Grey's Anatomy...), mais d'autres constituent souvent notre programme visuel du soir (quand un foutu match de foot ne vient pas interrompre ce déroulé huilé). Dernière jolie découverte en date : Homeland. Vous en avez peut-être entendu parler, puisque la série débarque sur Canal + cette saison, et la chaîne fait un gros battage médiatique autour.
L'histoire, en gros : un soldat américain rentre au pays après avoir passé 8 ans séquestré et torturé par les forces afghanes. La nation le traite en héros et lui déroule le tapis rouge, mais Carrie Mathison, agent de la CIA bien rôdée aux techniques de guerre du Moyen-Orient, est persuadée que le bonhomme n'est pas aussi clean qu'il en a l'air, et qu'il pourrait bien être infiltré à la solde d'Al-Quaida. Elle devra tout mettre en oeuvre pour convaincre ses dirigeants que son intuition est justifiée, malgré ses méthodes de travail peu orthodoxes et un comportement qui ne prêche pas en sa faveur.

HomelandUn peu molasson au début (j'ai failli lâcher l'affaire au second épisode), la série prend vite un rythme soutenu et nous entraîne dans la psychose (justifiée ou pas) de Carrie tandis qu'elle progresse pas à pas dans son enquête. Certaines scènes m'ont fait bondir au plafond devant si peu de réalisme ("mais bien sûr, un agent de la CIA qui réagit comme ça, ben voyons") mais l'ensemble est quand même finement joué et remplit bien son rôle divertissant. Une première saison courte (12 épisodes), une seconde en cours de diffusion aux US... voilà au moins une série qui ne s'éternise pas sur 24 épisodes et va droit au but. Jolie réussite !

 

FASHION BON PLAN DU WEEK-END :
Avis aux fauchées, aux radines... ou tout simplement à n'importe qui ayant envie de faire quelques bonnes affaires modesques sans vendre un rein ! Vendredi et samedi prochain aura lieu la nouvelle édition du Vide-Dressing Violette Sauvage, où plus de 150 fashionistas en herbe viendront proposer à des prix touti-mini-riquiquis le trop-plein de leur penderie. Un lieu central (Bastille), un droit d'entrée minime (2 €) et tout plein de bonnes affaires à faire. Perso, j'y serai samedi en tant que vendeuse, car mon récent déménagement m'a permis d'exhumer de mon placard des tonnes de trucs qui seront ravis de s'offrir une seconde vie. A vos marques, prêtes... 

Plus d'infos sur Facebook, ici.

Vide_dressing     Vide_dressing_adresse

 

3 septembre 2012

Partie sans laisser d'adresse

parasol

Ouh, la vilaine. J'avais dit que... et puis en fait... rien. Rien de tout le mois d'août. Aucune nouvelle, zéro billet, nothing, nichts, nada. Parce que déménagement, parce que sans connexion internet à la maison (rétablie seulement ce week-end), parce que vacances loin de tout ordinateur/blogs/Facebook et compagnie. Et parfois, ça fait du bien ! ...

Cette année, pas de grand voyage exotique à l'autre bout de la planète pour nos congés d'été. Juste du repos, de la glandouille, du farniente et des siestes à rallonge sur les plages du pays basque et dans les montagnes des Pyrénées. Aucun scrupule à dormir tard, ou à scotcher durant trois heures sur la chaise longue, absorbée par un bouquin bien prenant. Parce qu'il faut bien dire que l'option "Routard en main gauche / GPS en main droite / En avant pour l'aventure", c'est topissime, mais loin d'être ultra reposant. Pour preuve, j'étais rentrée de notre road-trip américain avec de belles images plein les mirettes, mais presque deux fois plus fatiguée qu'avant de partir. Et entamer le mois de septembre avec le 'pêcho-mètre' au ras des paquerettes, c'est pas bon-bon pour le moral.

C'est la rentrée. Quand j'étais au collège, ce jour était synonyme de grande excitation : le cartable flambant neuf était prêt depuis des semaines, et ma tenue du jour J soigneusement choisie, jusque dans les moindes détails (je savais pas exemple quel soutien-gorge j'allais porter, voyez ?) (en même temps, à cette époque, je ne devais en avoir que deux ou trois, donc le choix n'était pas cornélien).
Aujourd'hui, me voilà donc de retour au bureau, motivée comme jamais !! (une blague s'est cachée dans la phrase précédente, sauras-tu la retrouver ?)
Avec un peu de chance (et beaucoup de ténacité), ce blog va finir par reprendre un rythme normal de parution. Enfin... disons que je passerai dans le coin plus souvent que cet été, ça c'est certain.

Je vous souhaite à tous une bonne reprise, sous les doux rayons d'un été indien qui s'annonce prometteur.


18 juillet 2012

Bref, je néglige complètement ce blog

Printemps_table     Street_Poesie

Oulala, on ne peut pas dire que je sois particulièrement assidue à ce petit blog, ces derniers temps (non, on ne peut pas). Que voulez-vous ? Je ne vous ressors pas l'habituelle rengaine "j'ai une vie à côté / je suis en panne d'inspiration / je manque cruellement de temps / j'ai d'autres impératifs" et toute la clique. Déjà, parce que ce serait faux : des trucs à raconter ici, j'en ai un paquet. (tu penses, depuis le temps que j'ai pas posté !).

Pourtant, le presque-silence radio ne va pas s'améliorer de sitôt, entre les vacances qui pointent doucement leur nez à l'horizon (bon, encore 4 semaines, d'accord...) et surtout, un déménagement à programmer d'ici début août. Je risque donc de passer toutes mes prochaines soirées à encartonner, scotcher, étiqueter, trier, démonter... puis à tout refaire dans le sens inverse. Sans compter les bonnes crises de rigolade qui se profilent avec le service déménagement de la FreeBox (je sens qu'on n'a pas fini), les assurances habitation à résilier et/ou souscrire, les compteurs EDF à activer et remettre à zéro... Bref, je déménage.

Du coup, comme je doute fortement que le sujet "combien de m3 à transporter pour établir un devis" vous passionne (ah... j'en étais sûre), je vous laisse quand même avec un petit patchwork de mes derniers instantanés Instagram (vous connaissez Instagram, quand même ?), qui retracent plus ou moins bien les quelques "événements" des dernières semaines (ah mais oui, investir dans 2 nouvelles paires de pompes, c'est un événement !)

Et je compte bien repasser par ici de temps en temps avant la rentrée, pour vous donner quelques nouvelles, et/ou, soyons fous-fous, vous faire de vrais billets rédigés et tout. Je sais, lançons les confettis, c'est carrément la fête, là ! Allez, je retourne à mes cartons, souhaitez-moi bon courage !

Fluo_touch     Ceinture_fluo

Belle_vue_Paris     feu_artifice_paris

Cornetto     Sieste

Shoes     Veste_Iro

Fluo     Vernis_Dior

De haut en bas :
Une jolie table printanière // Un moment de poésie dans la jungle urbaine
Mon addiction pour le fluo (j'avais avoué ici)
Un superbe apéro-terrasse pour le feu d'artifice du 14 juillet
Un mini mini goûter gourmand // Le meilleur moment des week-ends prolongés dans le sud
De la couleur dans mon "shoesing" // Ma veste clo-clo (merci les collègues)
Fluo, again and again (flou, aussi) // Les vernis Dior "Gloss" de l'été, tout en transparence

 

24 juin 2012

3 jours à Lisbonne

Lisbonne 1

(Encore partie en vadrouille ? Rhaaa, mais elle n'arrête pas, celle-ci !). C'est vrai, j'avoue. Grâce à Easy Jet et à une organisation ultra visionnaire (bah, tiens, réserver un week-end pour juin en plein mois de septembre, faut pas trop se stresser sur l'imprévu), à peine sommes nous rentrés de Rome que nous voilà repartis à l'assault de Lisbonne. Avec ce léger petit regret, toutefois, d'avoir plannifié les deux week-ends un poil trop rapprochés, et d'avoir à peine eu le temps de "digérer" le premier qu'il fallait déjà attaquer le second. (Mais voilà qu'elle se plaint, maintenant, je rêve...).

Lisbonne, 3 jours, Juin 2012. Encore une fois, cette satanée météo nous joue des tours et nous plombe le premier jour sur place sous un ciel bas et lourd. Dommage pour cette première découverte de la capitale portugaise, mille fois plus éclatante sous le soleil, comme nous le verrons les deux jours suivants.
Allez, je vous emmène pour quelques photos, anecdotes et bonnes adresses ?

* Cette fois, c'est sur Wimdu que nous trouvons un chouette petit logement en plein coeur du Bairro Alto, le quartier animé de la ville. Enfin, animé, tout dépend de l'heure, à vrai dire. Ce quartier est un véritable caméléon, qui change d'ambiance et d'atmosphère en fonction du moment de la journée : calme et assoupi jusqu'en milieu d'après-midi (au point qu'on s'est demandé si on ne nous avait pas embobiné à nous conseiller de loger dans le coin), il s'agite peu à peu au fil des heures. Les façades qui ne payent pas de mine révèlent soudain un petit resto convivial ou une boutique branchouille, qui n'ouvrent leurs portes que bien après l'heure de la sieste. Sans parler des nombreux bars et tavernes qui eux, ne vivent que de nuit ou presque, dans les quelques "rues de la soif" réputées du quartier. Ca vaut donc le coup de s'y balader à toute heure, pour avoir cette presque impression d'avoir visité deux ou trois villes différentes en un seul endroit.

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Sont stylées, les poubelles à verre devant les disco nights, non ?


* A partir du 10 juin, toute la ville est en fête pour honorer Saint Antoine de Padoue. Nous y étions quelques jours plus tôt seulement, et l'ensemble des rues et des habitants avaient déjà à coeur de soigner les décorations et pancartes à dégainer le jour J. Partout, des guirlandes colorées, des guinguettes éphémères et des estrades pour spectacles. Forcément, nous avons loupé les festivités, mais assister à ces préparatifs enjoués donne déjà la bonne mesure de la super ambiance qui doit régner dans la ville à ce moment-là.

* Mon quartier de prédilection ? L'Alfama, vieille ville dans la ville, quartier populaire par excellence fait de ruelles pentues et tortueuses. Le meilleur moyen de la découvrir est d'emprunter le bringuebalant mais mythique tramway n°28 qui traverse la zone de part en part, frolant les immeubles et les voitures garées. Se perdre dans les venelles, admirer les vieux balcons forgés, les linges étendus, les façades en azulejos bleus ou jaunes, écouter les voisins s'aranguer d'un porche à l'autre, et sentir toute l'atmosphère de ce coin si pittoresque.

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* Un peu au nord de l'Alfama, grimper au Castelo Sao Jorge, ancienne forteresse construite sur la plus haute coline de la ville. Inconvénient : ouais, ça grimpe sévère ! Avantage : l'une des plus jolies vues qui soit sur l'ensemble de Lisbonne jusqu'au Tage miroitant sous le soleil (oui, bon, si vous avez du soleil...). Le chateau en lui-même n'est pas franchement spectaculaire, mais la balade est jolie, et présente l'avantage d'être ventée et aérée juste ce qu'il faut, petite pause fraîcheur appréciée dans la chaleur estivale. Et les paons qui habitent le jardin ne sont pas farouches pour deux sous.

* Incontournable, la virée à Belém le dimanche, pour se la jouer couleur locale et se mixer aux habitants en guoguette et pique-niques sur les pelouses du coin. Et, of course, passer par la case "kilos bingo" en s'arrêtant à la si réputée Antiga Confeitaria de Belém pour s'y approvisionner en délicieux Pasteis de Nata, petits flans tièdes enrobés de pâte feuillettée croustillante et saupoudrés de cannelle. Une institution que même les locaux ne boudent pas !

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* Testé et approuvé : le fameux restaurant Chapitô, lieu hybride entre école du cirque, bar lounge et resto branché, qui offre une vue superbe sur le Tage (et un poulpe grillé qui m'a donné l'eau à la bouche, dommage, on avait déjà déjeuné). Rua Costa do Castello, 7.

* Testé et désapprouvé : la cantine du Bairro Alto, pourtant réputée dans les guides touristiques : Principe do Calhariz. Certes, il y a toujours du monde, oui ce n'est pas hors de prix, et oui il y a du choix. Mais le côté gras et lourd de la cuisine portugaise n'a jamais autant pris son sens que dans ce restaurant. Bien pour les gros estomacs qui recherchent la quantité, passez votre tour si vous voulez une ambiance douce et une cuisine un peu raffinée.

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Monsieur le crâneur en pleine action...

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17 juin 2012

Guess who ?

Guess Watch

Article sponsorisé

Am I the one to watch ? Hmmm, grosse question existencielle, non ? Ce serait super prétentieux de répondre oui, et vous me connaissez, ce n'est pas trop mon genre. Pourtant, j'ai accepté de me lancer dans la course du concours One to Watch proposé par les Guess Montres.

La marque a mis sur pied un grand concours international entre blogueurs avertis en matière de mode, tendances, air du temps, destinations... Sur ce blog, chaque participant partage sa propre vision du style, sans contrainte ni taboo, et au delà des clichés éculés de "ce qui est à la mode" ou de "ce qui est has been". Toujours à la recherche de nouveaux contributeurs, Guess Watch a donc lancé la chasse aux One to Watch dans différents pays, et j'ai l'honneur de faire partie des presque élus pour la France.

Pourquoi "presque" ? Parce que pour arriver au bout de la course, il va falloir se battre. Se battre, avec l'aide de toute sa communauté, à grands coups de cahiers de tendances, de vision unique ou universelle de la mode, de style de vie à partager (voyages, photos, dessins...).

Honnêtement, la compétition s'annonce rude, car les autres blogs ont, pour certains, une sacrée belle communauté de lecteurs/followers/fans qui seraient prêts à les suivre jusqu'au bout du monde. Mais, si je n'ai pas trop d'illusion quant à l'issue du classement, j'ai quand même un orgueil et un ego qui me chuchottent à l'oreille qu'on ne va sûrement pas rester là à regarder les bras croisés, et qu'on va quand même jouer le jeu, pour la beauté du geste, le fun et le partage. Et puis, comme disait mémé Simone, l'important n'est-il pas de participer ? Si. (bon, vous voyez, on est tous d'accord).

Via une application Facebook dédiée au concours, je me suis inscrite et j'ai créé, comme demandé, ma toute première planche tendances (ça m'a rappelé mes stages en agence de pub où on devait faire des "mood boards" pour toutes les réunions clients. Ah ça, j'en ai usé, des magazines et de la colle en bombe !). ici, c'est plus simple : on choisit dans la banque d'image les visuels qui nous ressemblent et représentent le plus, et roulez roulez petits bolides, voici au bout du compte une planche qui représente ma (ou plutôt l'une de mes) vision(s) du style.

Planche tendance Guess Watch


J'ai instinctivement choisi surtout des formes douces et rondes, féminines et rassurantes. Parce que le contexte actuel est ce qu'il est, j'ai eu envie (et besoin) de quelque chose de doux et de maternel, qui n'appelle aucune agressivité, stress ou aigreur. Et les touches de couleurs pop et pepsy sont bien là pour réveiller le tout et mettre la touche fantaisie indispensable. Un peu à l'instar de la montre Guess que j'ai également reçue en cadeau pour l'occasion. Je l'ai choisie rose pêchu, pour une pointe de gaieté dans mes tenues restées encore bien moroses en ce printemps hivernal triste à souhait.

SI le coeur vous en dit, vous pouvez "liker" ma planche tendances directement sur Facebook, et m'attribuer ainsi des points de style. Le blogueur qui recevra le plus de points à la fin du concours (fin juillet) sera automatiquement qualifié en seconde étape. Mais on en reparlera en temps voulu...

Pour me suivre sur les réseaux sociaux :
Facebook par ici : katia ameur,
Twitter par là : KatiaGinfizz,
Instagram ici : katiaginfizz
et Pinterest là : katiaginfizz
(ouf !).

13 juin 2012

Mon homme, le sport et mon été pourri

Roland Garros 2012

Hypothèse n°1, confirmée : Cette année, après Roland-Garros vient l'Euro 2012, puis le Tour de France, puis les J.O de Londres.
Hypothèse n°2, affirmée : Chéribibi est fan d'à peu près tout ce qui contient un ballon, une roue et/ou des commentateurs hystériques.

Bien. Si je pose 2 et je retiens 4, carré de l'hypoténuse ou pas, je suis donc en mesure d'affirmer que je vais passer un été assez pourri. CQFD.

Déjà, en temps normal, le sport et moi, globalement, ça fait deux. J'veux dire, filez-moi par exemple une raquette entre les mains, et vous êtes à peu près sûrs de passer un très bon moment de poilade devant ma dexterité et mon sens de la grâce sur un court de tennis. Du coup, j'ai résolu la question avec plus ou moins de facilité, en me tenant très loin de toute salle de sport. (ho, ça va, je marche vite dans les couloirs du métro et je prends les escaliers, ça compense, non ?).

Mais alors, pour ce qui est du sport à la télé, j'avoue, je n'ai pas encore trouvé la solution. Donc je subis. Patiemment. En silence.
Au mieux, j'essaye de m'intéresser un peu à la chose. Roland Garros, par exemple, j'ai fini par bien aimer, et même par piger toutes les règles. Et pour le foot, remerciez bien fort Zidane, Lizarazu, Pirès et Henry qui ont réussi à me faire presque aimer les matchs qualificatifs d'équipe de France.

Bon, mais après ?

Je serai brève sur le cas "Formule 1", qui fait régulièrement le bonheur de mes dimanches après-midi. Cette impression d'habiter en bord du périphérique parisien grâce à la bande son des diffusions de Grands Prix me laisse, mmm, complètement sous le charme. Et puis peut-on décemment appeler ça du "Sport" ? A part un concours de moteurs bien carossés et de combinaisons intégrales bardées de logo mochingues, la F1, c'est quoi ? Que quelqu'un se dévoue pour m'expliquer parce que sinon, sincèrement, je ne vois pas.

Mais le cas le plus grave, le plus atroce, le plus abominaffreux, le cas qui relève du pénal, qui devrait vous coller directement en prison sans passer par la case départ ni toucher les 20 000, c'est... le cyclisme. (On dirait presque un gros mot).
Honnêtement, entre nous, qui de normalement constitué peut bien trouver un intérêt (même minuscule) à une troupe de gugusses en shorty moulants qui s'acharnent à pédaler sur les routes les plus pentues de France et de Navarre ? Hein, qui ? Chéribibi ? Hé bah bonne pioche !
Le Tour de France, c'est ma malédiction depuis la plus tendre enfance, quand déjà, mon grand-père, chez qui je passais mes vacances d'été, me faisait louper tous mes dessins animés préférés pour regarder ce programme soporifique au possible. Aujourd'hui, je ne regarde plus les dessins animés, mais j'ai droit à un compagnon qui est capable (oui messieurs dames) de me sortir des phrases comme "attends, j'enregistre l'étape de demain, c'est le col du Tourmalet, ça va être grandiose".

Je menace de demander le divorce jusqu'en septembre.

20 mai 2012

Vacances romaines

Rome monument VE statue

Quatre jours à Rome, plein mai 2012. Naïvement, en réservant les billets (moult ago, pour des tarifs EasyJet de compet'), j'imaginais que le beau temps serait immanquablement de la partie. Sauf que non. Et c'est avec un temps mi-figue mi-raisin que nous avons découvert la ville éternelle, piochant au fond du sac lunettes de soleil ou k-way selon les bons désirs de Madame Météo.

Mais Rome reste Rome, et même sous un ciel de plomb, ce long week-end à arpenter la ville nous a laissé, en plus des ampoules aux pieds, une envie certaine de revenir un jour.
Je ne vous fais pas la visite guidée, les Routards et autres Lonely Planet le feront bien mieux que moi (j'ai autre chose à faire de mes vacances que de recopier les tarifs des bus ou des restaurants, en fait), mais je vous laisse avec quelques tips et petites anecdotes qui pourront vous servir, si d'aventure un court séjour dans la capitale italienne vous tente un de ces jours.

* Le prix des hébergements étant ce qu'il est en Italie, nous avons opté pour la location d'un petit appartement à Rome très mignon. Le budget final (incluant les frais de ménage) reste sensiblement le même que celui d'un hotel très correct, mais cette sensation d'être "chez nous" une fois rentrés de vadrouille, d'avoir une cuisine et un frigo rempli par nos soins à disposition, et de disposer de deux vraies pièces au lieu d'une unique chambre, c'est encore plus confortable.
Un petit nid idéalement situé en plein quartier du Prati, à quinze minutes à pied de tous les sites touristiques incontournables (Piazza Navona, Vatican, Villa Borghèse...).

Rome appart 1     Rome appart
Choupi, isn't it ?

* "A Rome, de bonnes pizzas tu ne mangeras point". Bon, ok, j'exagère un peu, mais ce n'est pas le fort de la ville, manifestement. Certes, la pate est fine, mais le reste laisse à désirer. Quand ce n'est pas purement et simplement une pizza surgelée qu'on vous sert (ce qui est inscrit sur la carte, en tout petit, bien sûr, les italiens ayant l'obligation de mentionner ce genre de choses). Jamais ça ne m'aurait traversé l'esprit qu'on puisse vous servir des pizzas surgelées dans une ville italienne ! Petit conseil : épluchez conscienscieusement la carte avant de commander. Ou rabattez-vous sur les pasta, qui sont, elles, nettement plus à la hauteur, dans l'ensemble.

* Quelle que soit la saison, il y aura toujours une queue immense pour visiter la Basilique Saint-Pierre au Vatican. Elle avance relativement vite, donc ne pas se décourager. Si la visite de l'église est gratuite, vous pouvez aussi, moyennant 5 euros, grimper au sommet de la Coupole, et découvrir une vue à couper le souffle sur toute la ville. "A couper le souffle", c'est peu de le dire, car il faudra pour cela grimper les 530 marches qui mènent au sommet. Escaliers de plus en plus étroits, impression et odeurs de renfermé, murs inclinés (sous le dôme)... la grimpette est sportive, et fortement déconseillée aux personnes âgées, cardiaques, femmes enceintes, ou claustrophobes. Tout est dit !

* Dans un autre genre de belle vue, le toit du Monument à Victor-Emmanuel II est également splendide. De part et d'autre de la terrasse s'étendent tous les monuments emblématiques de la ville. Impeccable en fin de journée, quand les rayons du soleil donnent aux bâtiments cette douce couleur mordorée.

rome vue colisée 2

Colisée, vu depuis le Palatin.

Rome Piazza Navona 1     Rome Piazza Navona 2

Fontaines de Neptune et des Quatre Fleuves, Piazza Navona

Rome Piazza     Rome Piazza Navona balcon

Rome texto

"Tiens, j'ai reçu un texto".

Rome ombre     Rome ombre forum

Rome louve     Rome paladin

* Visiter une ville sous une pluie battante, c'est la plaie. Mais cela permet également d'avoir nettement moins de touristes sur les sites touristiques, et donc sur les photos ! Nous en avons profité pour (re)découvrir le Panthéon, Saint-Pierre ou la Fontaine de Trevi... de nuit, puisque les éclairages y sont les mêmes par beau ou mauvais temps. Je vous mets au défi de réussir une photo de la fontaine sans un seul touriste assis sur le rebord pour se faire photographier en train de jeter sa pièce dans l'eau, à moins d'opter pour cette solution ! (oh, bah, on se console comme on peut, hein).

* A moins d'arriver aux aurores (et ceux qui me connaissent un brin savent que ce n'est pas gagné), la foule attendant pour visiter les musées du Vatican et la fameuse Chapelle Sixtine est dense, et la queue met parfois trois ou quatre heures pour arriver à l'entrée. L'une des solutions coupe-fil est d'opter pour la prestation d'un guide officiel, qui se chargera de vous faire entrer plus rapidement, et vous guidera pendant 2h30 de visite à l'intérieur des musées. La chose a un prix, 45 euros, et le concept n'est pas forcément au goût de tout le monde (perso, j'ai horreur de piétiner dans un musée en tendant l'oreille pour comprendre ce que raconte mon guide, alors que tout le monde trace autour de moi vers les oeuvres majeures). Dans ce cas, négociez ! Nous avons réussi à profiter de l'effet coupe-fil du groupe tout en esquivant la visite commentée, contre 30 euros par personne. Cher, certes. Mais l'entrée seule aux musées coûte déjà 15 euros. J'estime que rajouter 15 autres euros pour gagner plus de 3h de mon temps durant un court week-end sur place, c'est un investissement rentable.

Rome Vatican d'en haut

La place Saint-Pierre vue depuis la Coupole de la Basilique

Rome Vatican nuit

Le Vatican, de nuit.

Rome Panthéon

Le Panthéon, de nuit, un soir pluvieux (pas un rat !)

Rome Trevi nuit H     Rome voiture

* Testé et approuvé, trois chouettes petites adresses :
Restaurant Palazzaccio, une petite taverne familiale de quartier, jolie carte, poissons et crustacés à un bon prix, et petite terrasse très agréable. Via Ennio Quirino Visconti, 66-68
Osteria dell'Ingegno, un peu branchouille mais très raffiné dans l'assiette. Un peu cher peut-être, mais pour changer de la pizza ou du panino avalé rapidos le midi... Piazza di Pietra, 45.
Otello alla Concordia, au fond d'une allée, sous une veranda, une salle bruyante et animée (cantine de quartier) et une cuisine simple mais sympatique. Très bonnes pasta. Via della Croce, 81.

* Testé et desapprouvé, fuyez, fuyez :
San Silvestro, sur la place du même nom. Malgré une super adresse (jolie place calme et ensoleillée) et une grande terrasse accueillante, une cuisine fade et sans saveur, un service rochon, et des cheveux dans l'assiette. Passez votre tour !

Rome piazza spagna

Rome fleurs

Rome dolce vita

Rome vue villa Borghese

Vue sur Rome depuis la Villa Borghèse.

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