Culture Bio, la beauté sur-naturelle (Article sponsorisé)
J’ai un peu honte de le dire, mais niveau écologie, je ne suis pas ce qu’on appelle une super bonne élève. En dehors de faire parfois pipi sous la douche pour économiser une chasse d’eau et de recycler tous mes shopping bags en sacs poubelle, heu, ben, heu… bon. J’ai bien quelques plantes vertes sur mon balcon, mais j’imagine que ça ne compte pas suffisamment pour compenser la déforestation ? C’est ce que je pensais…
Histoire de me faire gagner quelques bons points, Yves Rocher m’a proposé de tester quelques produits de sa dernière gamme de cosmétiques Culture Bio qui comme son nom l’indique (pfff, truc de dingue), est composée d’ingrédients végétaux bio et de parfums 100 % naturels.
Il était temps, me direz-vous, qu’une marque orientée nature comme Yves Rocher se mette à la green attitude, hein ? Ben je ne vous le fais pas dire. Du coup, ils ont plutôt mis le paquet : 95 % minimum d’ingrédients d’origine naturelle, pas de paraben, pas de silicone, pas de colorants de synthèse, une démarche d’éco-conception par une réduction des emballages et des étuis conçus via recyclage de chutes de bois. Mazette !
Bon, perso, Yves Rocher, au début, j’étais plus que perplexe. Pour moi, ça a toujours été la marque un peu vieillotte dont ma grand-mère feuilletait le catalogue dans son fauteuil, et me filait les échantillons de parfum que je collectionnais jusqu’à ce qu’ils périment. J’étais donc pas super objective à la base.
Mais je dois dire qu’après une petite semaine de test, je suis plutôt contente des trois produits testés. La « crème du réveil » pénètre très rapidement et laisse un fini non gras parfait pour se maquiller sans attendre. La « crème du coucher » sent divinement bon, mais j’aurais plutôt vu son odeur orangée dynamisante en crème de jour, bizarrement. Quant à l’ « huile précieuse du soir », elle est juste parfaite à appliquer, et laisse une peau de bébé rebondie. Par contre, un conseil : quelques micro-gouttes suffisent. Le lendemain du premier essai, j’avais un peu trop forcé la dose et mon oreiller ressemblait à une feuille de sopalin après absorption d’une tournée de frites. Pas malin.
En plus, ça coûte pas un bras, ces machins, pour une fois : de 15 euros la crème de jour à 22 euros le flacon d’huile (qui va donc durer des mois, vu le peu à utiliser chaque fois). Non, vraiment, chapeau Yves, c’est du bio boulot !